vendredi 29 septembre 2017

MON EXPULSION DE LA ROYALE (RÉPLIQUE Á LA "CAPITALE")

Après une longue absence pour de motifs tout à fait étranger à ma volonté, je renoue avec mon blog, alors qu'à ma grande surprise je viens de tomber sur une annonce en première page -et avec grande retard- du journal bruxellois "La Capitale" de mon interdiction d'entrée et de séjour dans la Royale, en premier plan, photo accompagnant (dans la version papier du journal)et rapportant des vieilles choses déjà archiconnues, et dans un esprit de dénonciation et de lynchage on ne peut plus évident, venant au surplus de la part d'un journal qui prit part -en première ligne- en antérieures campagnes de dénigrement et de lynchage à mon encontre. Je tiendrai ici donc seulement à faire brièvement état des précisions et démentis suivants, visant à contrecarrer l'image qui se dégage de l'article référé, de quelqu’un de violent -et incontrôlé- en parfaite syntonie ceci d’ailleurs avec la stratégie suivie par la partie adverse dans mon recours devant le conseil d'État: Primo. Je n'ai jamais été condamné -je suis formel là-dessus- pour des acte de violence par la justice belge Secundo Dans l'incident référé par l’article de journal ayant eu lieu dans le Palais de Justice je ne blessai le moins du monde le bâtonnier Me Erik Carre, au contraire de ce qu'affirme "La Capitale"
Je ne suis donc pas un être violent et dangereux par nature et passible, en consonance, d'être privé des droits les plus élémentaires de défense, tels que celui de savoir qui, et, surtout, de quoi -concrètement- on m'accuse, parbleu! ADDENDA (Omis par oubli dans la rédaction première de cet article) Je n'y fus en effet condamné -lors de l'incident devant le Palais Royal- que pour un délit de rébellion (sic), du fait d'avoir franchi la barrière (Nadar) de protection dressée à l’occasion de la visite royale, alors que pendant longtemps après -jusqu'à la requalification de l'affaire par la Chambre de Conseil de Bruxelles-, je restai accusé de tentative d'attentat (sic) contre la personne du roi des Belges (ce qui fut amplement diffusé et répercuté dans la presse belge) D'autre part, l'article de "La Capitale" -modèle d'intox dans son genre d'ailleurs- laisse insidieusement entendre -de toute évidence par omission délibérée- que le Conseil d'État vient de confirmer mon expulsion, ce qui n'est pas vrai. Il ne se bornait en effet qu'à acter mon désistement de la part de la (double) requête concernant la suspension de la mesure d'expulsion, mais la requête en annulation suit son cours, ce dont (promis) je vous tiendrait au courant. Comme je l'ai expliqué devant le tribunal dans un long écrit lu par moi-même, ce n'est pas le retour à tout prix, à un établissement où, en apparence du moins, je suis considéré persona non grata et devant être évité par tous les moyens (comme un pestiféré, et pour des motifs qui m'échappent au juste), si non d'élucider le fond de l'affaire qui me presse et m’intéresse, savoir les accusations (anonymes, infâmes et calomnieuse) portées contre moi. Il y va de mon honneur en effet. Individuel aussi bien que collectif (même s'il est peut-être trop demander que ceci, les intéresses, savoir mes compatriotes, finissent par le comprendre et l'admettre (avec toutes ses conséquences)