mardi 30 avril 2019

ALAIN SORAL, ÉCHAPPE-T-IL À LA PRISON?

Alain Soral l’échappe belle. A la prison, je veux dire, et une fois là-dedans, au règlement de comptes (...) Le Parquet de Paris a en effet interjecté appel de sa condamnation à une peine de prison ferme à son encontre –avec mandat de dépôt, qui est du fait du recours, suspendu- pour délit de revisionnisme et de négationisme y compris. « Sans base legal », estime le Parquet, déclenchant par là une tollée monstre dan les milieux attitrés –LICRA, MRAP, SOS Racisme, L’UEJF, J'Accuse,etcétéra, etcétéra- qui lui font la guerre et qui semblent perdre les pédales au fil des derniers événements. Le prononcé qui lui condamne ne venait signé que par des magistrats femmes (en nombre de trois) (...) et il visait aussi l’avocat de Soral, maitre Viguier, pour les propos (inouï, du jamais vu) contenus dans les écrits de ses conclusions de défense. La goutte qui deborde le vase ? 

vendredi 19 avril 2019

CAYETANA ET LE DUC D'ALBE

Dedicacées ces lignes, exprès, aux nationalistes flamands, du moins à ceux d’entre eux qui sont près de l’orgasme (et je m’excuse de ce langage outrancier) à la pensée de la sécession et de l’indépendance de la Catalogne : car elles sont reservées a l’une des etoiles montantes de la cause espagnole ou du « parti » des amis d’Espagne dans cette région espagnole. Et ce n’est personne d’autre que Cayetana Alvarez de Toledo, marquise de Casa Fuerte et –tel que son nom l’indique- descendante en ligne droite de Fernando Alvarez de Toledo, personne d’autre (horresco referens !) que le Duc d’Albe, "repoussoir" attitré (et «maudit ») numéro un (Anne Morelli dixit), et felon parmi les felons de l’histoire et de l’historiographie de Belgique surtout dans sa version flamande (néerlandophone) Elle est tête de liste du Parti Populaire en Barcelonne pour les prochaines élections générales et cible préferée en tant que telle, et pour ce qu’elle est, de toutes les haines et phobies des nationalistes catalans (séparatistes) Une Espagnole pas comme toutes les autres, ou du moins ne repondant du tout –mais pas du tout- au cliché fort ancré repandu dan les têtes et dans le subconscient de tant des Belges pour compte de femmes espagnoles, aux cheveux noirs et a la peau brune –« ambrée » (Rodenbach díxit)- de préference , danseuses comme la Malibran, ou courtisanes (drôles de bergères !) comme , Lola Montes, Eugenia de Montijo, ou la Belle Otero, qui laissèrent des souvenirs vivaces et un nom et une légende –plutot noir, et pleine des clisés et des préjugés (hispanophobes) qu’autre chose- dans les pages d’histoire, lors de leurs passage filant, fugace et autant mouvementé, bruyant et foudroyant ces derniers siècles au-dela des Pyrénées.