vendredi 17 avril 2020

NÉGATIONNISME ET PSYCHIATRIE

Négationnisme, nouvelle forme du crime de l’Humanité, qui comme le peché contre l’Esprit ne connait pas de pardon ni dans la vie d’ci-bas ni dans celle d’outretombe. SoiT la négation des chambres à gaz ou d’autres points du récit officiel de la Seconde Guerre Mondiale, soit celle du corona virus et tout ce que de près ou de loin s’y rapporte. Telles que les mesures de confinements, en Allemagne –du gouvernement d’Angela Merkel- comme vient de l’apprendre à ses frais une juriste de Heidelberg, Beate Bahner, internée manu militari en psychiatrie –bien que relachée peu après- qui voulait saisir la Cour Constitutionnele à ce sujet, aux noms de libertés qui lui semblent mises en danger par la pandémie et par les fièvres et les paniques -et les mesures pari passu du genre liberticide en (flagrante) violation des droits el libertés les plus fondamentaux- qu’elle génère. L’incident aura servi du moins à mettre en lumiere cette dérive inquietante de l’Etat de droit de nos jours –et la grave menace et inadmissible chantage qui vont de pair- que comporte le reproche ou accusation de folie -teinté, aujourd´hui comme tojours, de la note d’infamie, une peine nota bene officiellement inexistante, inconnue, comme quelque chose propre de l’Ancien Regimen, dans nos modernes démocraties- et le recours de plus en plus fréquent des pouvoirs publics qui s’en servent en vue de démolir para tous les moyens ses opposants. Ce qui en Allemagne –la République Federale de nos jours, je veux dire- éveille fatalement des spectres d’un passé relativement récent, d’avant la chute du Mur, et des pratiques policières courantes dans l’Allemagne de l’Est. Ancien membre de la Stassi ou du moins tout proche en tant qu’ancien militante (reconnue) des Jeunesses Communistes, auxquelles l’actuel chef du gouvernement allemand, fille d’un pasteur protestan en mission –d’apostolat- dans la RDA, avait appartenu ? Inquietant et troublant quoiqu'il en soit, quelque chose devant quoi les citoyens ordinaires semblent dépourvus de la moindre defense, tant les mentalement sains comme les malades. Un pas de plus somme toute, dans la criminalisation, tout au long de l’Histoire de la Folie, comme l’explique Michel Foucault dans son ouvrage la-dessus. Ils commencèrent -au sueil de l’Age Classique comme il appelle les temps (et les systèmes) de démocratie- par interner les malades mentaux, pour quelques siècles plus tard finir par reserver -et ceci pour compte de ces derniers- le meme sort aux opposants mentalement sains. Faisant ainsi flèche de tout bois á l’heure de barrer la route à des concurrants potentiellement dangereux, comme Marine Le Pen, il n’y a pas si longtemps, ou se dressant comme une épée de Damôcle devant les plus bruyants et tonitruants et obstinés de l’espèce revisionniste (....) Faisant fi ainsi du droit sacré à notre liberté intérieure, comme je l’avais fait valoir -ce qui me valut sa reconnaisance (à tout seigneur, tout honneur)- devant l’illustre titulaire, Pedro Polonio, de la chaire de Psychiatrie de l’Universite de Lisbonne alors –qui risquait avec moi, disait-il, toute sa réputation professionelle et scientifique-, chargée par le juge de m’examiner lorsque je me trouvai prisonnier en Portugal, suite à mon geste de Fatima. Lá ou l’exemple d’Ezra Pound (voir photo) se dressait dans mes souvenirs, je l’avoue, comme seule consolation et argument. Lui qui évita la condamnation a mort –pour des faits de collaboration intellectuelle pendant la Seconde Guerre Mondiale (en Italie)- par l’internement et qui relâché bien des années après, vint en Europe où il traita les Etats-Unis, sa patrie, sans le mondre complexe, de pays de fous (sic) Dans quel pays, maintenant, dans quel monde vivons-nous ?

lundi 13 avril 2020

CHERCHEURS CONTRE MÉDECINS

La meilleure amie -malade du corona virus et en voie tout de même de guérison -de Brigitte, l’épouse de Emmanuel Macron, lui passait, cela fait à peine quelques jours, son médecin soignant, personne d’autre que Didier Raoult, au téléphone, résultat, presque dès le lendemain, dans son centre hospitalier et universitaire « Mediterranée » à Marseille, ce dernier recevait–en gloire et majesté (voir photo) - la visite de monsieur le président de la République, s’il vous plait. Le fait, tout sauf anecdotique, outre de bannir pour de bon toute la vague de critiques et sales blagues inlassablement déversées pour compte du microbiologue marseillais devenue une superstar, aura eu en échange l’effet de mettre au grand jour la lutte sourde qui couvait depuis bien avant, depuis le début de la pandemie –et on dirait que depuis toujours-, entre les médecins –ou « guérisseurs »- et la clique, ou la race des chercheurs (et chercheuses) pour compte de la Santé–« médecins de bureau » les appelle Raoult-, de ceux qui ne sont –ajoute-t-il- « ni médecins, ni n’ont jamais gueri personne » A quoi servent-ils donc ? À faire avancer la Recherche, nous souffle-t-on, comme dans une pétition de principe, sans rougir. Ah bon ! (----)

vendredi 3 avril 2020

VIVE LE DOCTEUR RAOULT !!!

Didier Raoult? En Belgique –on dirait-, « on ne connait pas ». Le médecin, microbiologue et infectiologue francais –en poste à Marseille- dont tout le monde parle, et au centre d’un debat –avec l’epidemie (ou pandemie) du corona virus en toile de fond- qui passione l’opinion publique d’un pays a l’autre et on pourrait dire, compte tenu des circonstances, dans la planète toute entière, fait néanmoins figure d’illustre inconnu en Belgique, pour l’ensemble de son opinion publique qui semble peu ou prou s’y interesser, et se sent par ce debat encore moins concernè. Symptomatique ? Va savoir. Et ce serait de par la puissance énaurme –et réellement disproportionnée, sans parangon autre qu’avec la Justice, dans le cadre de l’Etat et au sein de la societé belge- dont le lobby sanitaire (en grosses majuscules, la Santé) jouisse dans celui qu’on est tenté parfois irrépressiblement (encore et toujours) de’appeler petit pays. Appareil tentaculaire avec ses réseaux d‘hôpitaux publiques et juste a coté, ses hôpitaux et cliniques privés (coûteux et inaccesibles par definition) , en échantillon du compromis a la belge –en paralèle à celui qui est monnaie courant dans le domaine politique et linguistique- dans tout ce qui touche de pres ou de loin à la Santé et son assistanat. Et avec ses réseaux -non moins étouffants- de médecins traitants, secteur ou domaine institutionnel emblématique et influent au plus haut point ici, vraiment. Héritage lointain du medecin de famille de jadis, de libre choix autrefois, qui le reste toujours aujourd’hui, mais un petit peu moins. Point de passage obligé plutôt on serait tenté de le dire, qu’il faut suivre pas à pas, sous peine d’etre « radié » (et je n’exagère pas) Savoir, d’être l’objet de suspicion –et médisances- et exclusion á la fin, et à la merci de toutes sortes de brimades et vilenies et harcélement a l’intérieur de la sainte/famille (je veux dire au sein des gens du métier, avec des forts reflets corporatifs, s’il vous plaît) et c’est dès qu’on met le pied dans leurs établissements et dès que l’unanimite d’une penséee -unique- médicale, ou l’ordre ètabli dans les comportements au niveau des protocoles médico-sanitaires, par des faits ou par des paroles, semble ne soit-ce qu’un peu etre mis en question. Où est-ce que vous voulez aller par là? –j’entends la reaction décontenancée, de ceux qui me lisent déjà. Tout simplement, d'essayer de décrypter a mes yeux d’abord et pour tous ceux qui me lisent ensuite, cette sensation drôlement incomfortable qui m’envahit fatalement –a mon âge- pour la première fois dans ma vie, ma fois, depùis quelque temps déjá, et ceci –soit-il dit dans ma décharge et vu ma condition d’étranger ici- depuis pas mal d’années de séjour Belgique, ou en transit ici, aussi bien du coté francophone que du cote flamand. Et c’est, carrément dit, de manque de liberte, bref de me sentir parfois l’objet d’abus de pouvoir dans le domaine médical et partant –ce qui est bien plus grave- de me sentir menacé dans mon intégrité physique ou du moins, de manque ou privation de convenable assistance médicale –un spectre qui nous hante toujours,tous les citoyens,  -le corona aprés ou avant-, ces derniers temps (et comme toile de fond, le Grand Remplacement) , et c'est en guise de retaliation ou du moins de (serieux) avertissement. Et c’est ce que le professeur Raoult semble etre venu a point nommé á mettre au grand jour dans les réflecteurs des médias de la presse globale. Et c’est par les graves dénonciations qu’auront accompagnée sa percée foudroyante dans l’opinion. En ce qui concerne, par exemple, la politique du confinement, qu’ici on est en train d’appliquer un peu moins radicale, voire moins brutale, que dans d’autres pays –comme la France ou l’Espagne (mais attendons voir)- et prenant néanmoins distance à la fois d’autres pays non moins proches comme la Suisse ou le Pays Bas qui ont choisi d’autres voies de prevention et contrôle de l’epidemie, plus souples et plus civilisées, sans parler de l’Allemagne et n’en parlons pas d’autres cas de figure emblématiques en extrême aussi comme c’est la Corée du Sud. Et c’est lorsque le docteu mentionné dénonce la politique du confinement –telle qu’elle est en train d’etre appliquée maintennat, non pas seulement aux cas testés positifs mais a l’ensemble de la population- comme quelque chose propre (sic) au Moyen Age et en tout cas –comme on l’a vu avec des Espagnols et Italiens- loin d’être efficace. Et des voix s’élèvent en France en même temps, leur constitution et leur code de droit penal a l’appui, pour dénoncer comme crime (sic) contre l’Humanité, toute forme de privation (grave) de liberte physique, tel que c ‘est le cas maintenant- . Et en Espagne on pourrait parler d’un droit reconnu dans leur Constitution –niée o meconnue de par l’état d’alarme que vient de déclarer l’actuel gouvernment (socialiste, et de gauche extrême sur bien de points), savoir, le droit a la libre circulation (sic), qui se voit l’objet de serieuses entorses -l'une derrière l'autre- autorisées seulement par la Constitution, dans le cas non pas d’état d’alarme mais d’etat de siège ou d’état d’exception. Par où l’on voit l’importance et la gravité –en dedans et en dehors du domaine mèdical- du débat declenché par le Docteur Raoult dernièrement. Qui aurai eu la vertu de délier les langues de certains leur permettant d’y voir clair, a l’aide du docteur controversé, empetré souvent (ce que l’on voit bien maintenant) de par ses recherches et l’exercise de son métier -de médecin-,  dans des conflits d’intérêts avec les plus hautes instances de la politique sanitaire francaise au niveau gouvernementale, tel que se voit illustré par son contentieux bruyant –et á la une des medias- avec la ministre de la Santé du gouvernement Macron, Agnès Buzyn et son mari, Yves Lévy, infectiologue comme Raoult –et aussi prestigieux que ce dernier-, impliqué dans un projet de residence biologique (anti-virale) quelque peu de temps à peine avant l’éclatement de l’épidemie dans ce qui devint l’épicentre de celle-ci, en Chine, savoir la ville de Wuhan (...) A ce point elle nous semble forte en effet, l’empreinte dont nous nous sentons être l’objet ou victime désormais et c’est d`avoir été trainé au beau milieu d’un (autre) conflit d’intérêts et de la pensée unique médicale, sinon du despotisme et du pure caprice d’une des figures du plus haut relief dans la santé belgue –concrètement en neurologie- lors de mon hospitalisation quelques semaines, suite à l’AVC dont je fus l’objet (fin juillet 2017) et devant la volonté obstinée (et injustifiée) de celle-ci -et de mon refus inalterable en parallèle – de me fixer en chaise roulante (on dirait que pour le reste de mes jours) Liberté dans le domaine médical !!! Maîtres à jamais de nos âmes et nos corps, et toujours debout!!! Vive le docteur Raoult !!!