lundi 1 avril 2024

L’AMOUR EST FOU

L’Amour c’est l’amour, l’amour fou, l’amour pur, propre et libre des souillures de la coulpe, de la repentance -oh non! (et je n’entre pas en polémiques, de plein dessein)- du (libre) examen de conscience et du pardon, de pardonner ou de demander pardon  (oh non!!!)  Et tout ça soit dit pour compte du film que je viens de voir hier, une coproduction franco italienne qui fait fureur, récompensée des plus hauts prix -comme par hasard- au pays alpin. 

Un bon film,  je ne dis pas non, mais dont les meilleurs moments -comme je l’ai lu dans une critique de spectateurs-, m’auront  été  octroyés -après la lenteur désespérante des scènes, et de l’attente (interminable) d’une fin plus que prévisible- au moment de pouvoir quitter la salle (en fin) Ceci en dépit de la belle prestation des protagonistes principaux, regrettant néanmoins le choix du personnage féminin, excellente actrice également mais (sérieusement) handicapée par son fort accent (non français), ce qui me faisait peut-être préférer la réalisatrice du film -actrice brillante également, très connue-, qu’on entend seulement -dans un second rôle- au début du film, mais qu’on ne voit pas. Préfèrée de loin celle-là, oui, et ceci malgré le choix traduit dans le film, et de la personne et du beau rôle -de rival gagnant et non pas d’épouse délaissée, comme ce fut le cas- qui revenait à mon humble avis, à mon goût, de plein droit, à ma préférée, oui, de par son physique et de par son parler féminins, et de française (francophone) Voilà qui est dit. Sans complexes et sans détour. 

Une interminable histoire à la place donc, non pas d’ amour à proprement parler, mais de rapports -conventionnels de trop (conjugaux ou extra-conjugaux)- d’un couple (ordinaire), celle que nous aura desservie le film dont j’entends faire la recension ici. Où le fil de l’intrigue n’est rien d’autre que l’acheminement laborieux, douloureux -adouci par les beaux et nostalgiques paysages de plages bretonnes  (horas-saison) à répétition, et ennuyeux à mourir finalement-, qu’est celui du protagoniste pour se faire pardonner (sic) son libre choix, savoir celui d’être parti pour de  bon, ou en langage espagnol d’autrefois, d’être allé acheter du tabac (horreur!) 

Et Vive la comédie française, et « à la française »! Car « l’amour est fou, fou comme toi et fou comme moi » (qu’on entendit dans un Festival de la Chanson) (…)