lundi 16 octobre 2017

LYNCHAGE DANS LES LES MÉDIAS ((Réplique à "LA CAPITALE")

Absent de ce blog pendant quelques semaines pour des raisons (de santé) étrangères à ma volonté, je renoue avec mes lectrices et lecteurs pour riposter à la nouvelle campagne de lynchage médiatique dont je me vois l'objet dans la presse belge, par un article (photo et gros titres dans la première page acompqgnant) paru récemment dans le journal "La Capitale' (de Bruxelles), vieille connaissance ma foi en matière de lynchage "( dénigrement) La pretexte ou alibi leur est fourni pr l'arrèt du Conseil d´Etat après l'audience du 5 septembre dernier que je vous avais déjà annoncée. J'y lis un écrit ou j'annonçais mon desistement quant à la première partie de la (double) requête, la supension) et non pas quant a la deuxème paritie (sur l'annulation) concernant le fond de l·affaire, bien sûr, pour lequel j'attends à être convoqueé bien tôt (et dont je vous tiendrai au courant, ma parole)

vendredi 29 septembre 2017

MON EXPULSION DE LA ROYALE (RÉPLIQUE Á LA "CAPITALE")

Après une longue absence pour de motifs tout à fait étranger à ma volonté, je renoue avec mon blog, alors qu'à ma grande surprise je viens de tomber sur une annonce en première page -et avec grande retard- du journal bruxellois "La Capitale" de mon interdiction d'entrée et de séjour dans la Royale, en premier plan, photo accompagnant (dans la version papier du journal)et rapportant des vieilles choses déjà archiconnues, et dans un esprit de dénonciation et de lynchage on ne peut plus évident, venant au surplus de la part d'un journal qui prit part -en première ligne- en antérieures campagnes de dénigrement et de lynchage à mon encontre. Je tiendrai ici donc seulement à faire brièvement état des précisions et démentis suivants, visant à contrecarrer l'image qui se dégage de l'article référé, de quelqu’un de violent -et incontrôlé- en parfaite syntonie ceci d’ailleurs avec la stratégie suivie par la partie adverse dans mon recours devant le conseil d'État: Primo. Je n'ai jamais été condamné -je suis formel là-dessus- pour des acte de violence par la justice belge Secundo Dans l'incident référé par l’article de journal ayant eu lieu dans le Palais de Justice je ne blessai le moins du monde le bâtonnier Me Erik Carre, au contraire de ce qu'affirme "La Capitale"
Je ne suis donc pas un être violent et dangereux par nature et passible, en consonance, d'être privé des droits les plus élémentaires de défense, tels que celui de savoir qui, et, surtout, de quoi -concrètement- on m'accuse, parbleu! ADDENDA (Omis par oubli dans la rédaction première de cet article) Je n'y fus en effet condamné -lors de l'incident devant le Palais Royal- que pour un délit de rébellion (sic), du fait d'avoir franchi la barrière (Nadar) de protection dressée à l’occasion de la visite royale, alors que pendant longtemps après -jusqu'à la requalification de l'affaire par la Chambre de Conseil de Bruxelles-, je restai accusé de tentative d'attentat (sic) contre la personne du roi des Belges (ce qui fut amplement diffusé et répercuté dans la presse belge) D'autre part, l'article de "La Capitale" -modèle d'intox dans son genre d'ailleurs- laisse insidieusement entendre -de toute évidence par omission délibérée- que le Conseil d'État vient de confirmer mon expulsion, ce qui n'est pas vrai. Il ne se bornait en effet qu'à acter mon désistement de la part de la (double) requête concernant la suspension de la mesure d'expulsion, mais la requête en annulation suit son cours, ce dont (promis) je vous tiendrait au courant. Comme je l'ai expliqué devant le tribunal dans un long écrit lu par moi-même, ce n'est pas le retour à tout prix, à un établissement où, en apparence du moins, je suis considéré persona non grata et devant être évité par tous les moyens (comme un pestiféré, et pour des motifs qui m'échappent au juste), si non d'élucider le fond de l'affaire qui me presse et m’intéresse, savoir les accusations (anonymes, infâmes et calomnieuse) portées contre moi. Il y va de mon honneur en effet. Individuel aussi bien que collectif (même s'il est peut-être trop demander que ceci, les intéresses, savoir mes compatriotes, finissent par le comprendre et l'admettre (avec toutes ses conséquences)

mercredi 26 juillet 2017

AUDIENCE CONSEIL D'ÉTAT 5 SEPTEMBRE

Je communique à mes lecteurs que je viens de recevoir notification de l'ordonnance du Conseil d'État fixant l’audience concernant ma double requête -en annulation et suspension- contre l'ordre d'expulsion pour un an à mon encontre de la Bibliothèque Royale de Bruxelles. L'audience -en séance publique- aura lieu le 5 septembre prochain, mardi, à 09h. 30 Elle se tiendra dans la salle d'audiences du Conseil d'État (rue de la Science , 35)

jeudi 20 juillet 2017

FRANCO ET L'AMIRAL HORTHY

Franco reste toujours une figure entourée de taboues pour une majorité ds Belges. En trente ans de séjour en Belgique je n'ai jamais lu ou entendu rien qui eut laissé traduire une tentative aussi timide fût-elle et aussi honteuse eût-elle été jugée par certains- de réhabilitation de la figure historique de l'ancien chef d'État espagnol. Au contraire certains n'hésitant pas, à maintes reprises de s'en prendre à Fabiola reine des belges, des deux cotés de la barrière linguistique -plus néanmoins du coté flamand- pour ses liens réels et présumés -elle autant que sa famille espagnole- avec Franco et son régime. Certains ont quand même la mémoire courte, ou disons plutôt, qu'ils font preuve d'une mémoire sélective. La Belgique entretint toujours des rapports officiels avec le régime franquiste, et même dans la période critique qui s'en suivit au retrait d'ambassadeurs en 1946, et bien que l'ambassadeur belge se joignit au retrait généralisé, il n'y eût pas de rupture des rapports diplomatiques ni fermeture de l'ambassade belge à Madrid non plus. Même la gauche belge aurait intérêt à faire oublier des gestes ou des faits qui ne pourraient pas moins passer aujourd'hui pour des preuves de soutien à un régime qu'ils exécraient publiquement. Certains néanmoins ne se cachaient pas. En privé du moins. Ce fut le cas de feu Robert Joly longtemps professeur ordinaire à l'ULB -et aujourd'hui pratiquement oublié dans cette université-, qui fut mon professeur -deux années de suite- et avec qui j'entretins des rapports cordiaux, qui m'avoua une fois avoir donné conférences les dernières années du regime -début des années septante- à l'université de Barcelone en proie alors à un fort mouvement de contestation universitaire calqué de mai 68. En compagnie (nota bene) du français Louis Rougier, rationaliste et athée -comme Joly- et maître à penser de la Nouvelle Droite. Invités tous les deux par les responsables de l'université cherchant par là contrecarrer -m'avoua-t-il- l'influence du courant subversive d'extraction catholique et de signe ecclésiastique gagné à la subversion anti-régime (au nom du concile Vatican II)  Il est oublié aujourd'hui Robert Joly à l'ULB. Comme s'il n'avait pas existé. A cause de ces « velléités » politiques qui furent les siennes, même s'il affichait publiquement ses idées socialistes et sa militance dans le PS? Mémoire sélective des médias sur la figure de Franco et le franquisme. Alors que nous assistons à la réhabilitation de l'amiral Horthy (voir photo) ancien régent de la Hongrie les années d'entre-deux-guerres et pendant la Seconde Guerre Mondiale, qui fut beaucoup plus loin dans son compromis avec les régimes nazi/fascistes que le régime de Franco en Espagne. Exception espagnole toujours en vigueur en Belgique ?

mercredi 19 juillet 2017

SOROS LACHÉ PAR LES SIENS?

La Hongrie est un grand inconnu dans la plupart des pays européens. Incrusté au cœur du continent, il se voit entouré des pays et des populations de langue et d'origines très différentes. À l'heure actuel il fait partie de l'UE et dans son sein il forme -avec la Pologne, la Tchéquie et la Slovaquie- le groupe dit « de 4”  (ou de Visségrad) qui s'opposent résolument à l a politique de Mme Merkel et des instances dirigeantes de l'ULB d'accueil massif de réfugiés. Mas c'est surtout la Hongrie et son chef de gouvernement Viktor Orban qui se voient (à nouveau) cloués au pilori de certains médias occidentaux à cause de la campagne en cours dans le pays -notamment par des affiches géantes dans les rues de Budapest ("ne lui laissez pas rire le dernier") (voir photo)- à l'encontre du milliardaire américain d'origine juive hongroise Georges Soros, l'homme par qui le scandale arrive régulièrement dans l'actualité du monde la plus brûlante depuis les origines de la crise financière mondiale en 2008 et auparavant, déjà en 2007 depuis la chute des bourses asiatiques qui en furent le prélude et dont il se vit accusé de les avoir déclenchées. Et même de bien avant, et c'est que l'homme traîne une légende d'instigateur des soi-disant révolutions "de couleurs" qui secouèrent les pays de l'Est et de l'ancien URSS et limitrophes, à partir de la chute du Mur et du démantèlement de l'Union Soviétique. Et non seulement, on voit aussi sa main dans le déclenchement des printemps arabes. La légende lui prête également avoir été le créancier de Boris Eltsine -en échange des plus savoureuses leçons de morale bien entendu- , qui succéda à Mikhaïl Gorbatchev après la chute de celui-ci. Beaucoup pour un seul homme, aussi riche, aussi puissant et manipulateur soit-il? Il est prouvé en tout cas son rôle dans l'éclosion du mouvement des indignées dans le principales capitales espagnoles en 2011, qu'il finança directement et auquel il prêta couverture médiatique à l'échelle de la planète. et un soutien logistique dans le domaine de la communication. Pour rappel, les indignés espagnols essayèrent d'essaimer en Belgique l'été 2011, venant quelques dizaines d'entre eux camper dans certains lieux publiques -des places et des parcs en particulier- de la l'agglomération de Bruxelles, à Saint-Gilles notamment, comme par hasard (...)-, avant de se faire évincer, obligés même de quitter le pays accusés d'insalubrité et d'altération de l'ordre publique, et après qu'ils n'eurent rencontré le moindre écho dans la population belge. Le gouvernement hongrois accuse Soros de vouloir installer un million de réfugies en Hongrie et les pays de l'UE. Et c'est dans ce contexte particulièrement tendu, que Viktor Orban reçoit maintenant le premier israélien Netanyahu, de visite dans son pays. Soros lâché par les siens. Ainsi titre un journal français son reportage sur la visite

mardi 18 juillet 2017

VICHY ASSEZ DE REPENTANCE!

Assez de repentance ! Le président français Emmanuel Macron aura profité de la venue en France du chef d'état israélien Bejamin Netanyahu dans l'anniversaire de la « rafle du Vel d'Hiv » pour se livrer à un exercice de repentance et autoflagellation tant individuelle comme collective. On le croyait gaulliste bon teint, « ni de droite ni de gauche » -lui et son mouvement-, et il se révèle disons un gaulliste de gauche, chiraquien pour tout dire dans tout ce qui se rapporte à la Seconde Guerre Mondiale et au différents chapitres et épisodes du passé français dans la période contemporaine, comme par exemple la guerre d'Algérie. Pendant sa campagne électorale il avait surpris certains et irrité beaucoup d'autres en demandant pardon au nom de Français lors de sa visite à Alger lorsqu'il avait qualifié la colonisation française de crime (sic) contre l'Humanité. Maintenant il aura déclaré qu'il entendait « reprendre le fils jeté par Jacques Chirac en 1995", lorsque celui-ci avant rendu responsable l’État français (sic) de la politique anti-juive du gouvernement de Vichy. Se démarquant nettement ainsi de la position défendue par le général De Gaulle dans la matière, pour qui ni la France ni l’État français ni l'ensemble du peuple français n'était pas représentes par le régime de Vichy. Et du fondateur de la Ve République qui rendit célèbre son exclamation « la France c'est moi » et qui avait déclenché une tollé de commentaires et protestations en novembre 1967 -quelques mois à peine seulement nota bene avant la révolte de mai 68- qualifiant les juifs de « peuple d'élites et dominateur », il est fort parier néanmoins qu'il ne se serait pas reconnu dans les propos de son lointain disciple devenu président de la République La faute donc aux juifs ? Au judéo christianisme, dirais-je. Savoir cette pulsion d'autoflagellation (voir photo) fort ancrée dans notre tradition culturelle et religieuse européenne marqué de fond en comble par le judeo/christianisme. Qui tend a justifier toute sorte excès. Comme ce fut le cas de l'assassinat en novembre 1993 de René Bosquet l'ancien chef de police du régime de Vichy et antérieurement haut fonctionnaire de la III République, assassiné à sang froid -et sans sommation- par un individu qu'on se pressa de déclarer déséquilibré dans les médias, condamné néanmoins par la suite (et libéré au bout de cinq ans d'emprisonnement) Le soir de l'assassinat l'auteur de ces lignes se vit mêle à un incident dans un bar des des jeunes des alentours de la place Fernand Cocq à Ixelles que je fréquentais assidûment depuis mon arrivée en Belgique quelques années auparavant. Et ce fut à cause de toute une pile du numéros d'une édition extraordinaire du journal Libération -sortie ce soir même- entassés au présentoir des journaux et revues de l'établissement mentionné, et consacrée à l’événement du jour, se livrant carrément à une apologie scandaleuse du meurtre et de l'assassinat pour des motif politiques. Devant cela je ne pus pas moins faire état devant les employés et responsables de l'établissement de mon désaccord et ma désapprobation catégoriques et s'ensuivit une scène de menaces de leur part qui resta sans suite, devant la détermination qu'ils durent sentir en moi, jusqu'à ce que quelques minutes plus tard je quittai le local de ma propre initiative, sans plus jamais y retourner jusqu'à aujourd'hui (presque vingt-quatre ans plus tard) Assez d'autoflagellation! Tant sur le plan collective que sur le plan individuelle. Et l'auteur de ces lignes sait un peu de quoi il parle

mercredi 12 juillet 2017

FILLONISME SANS FILLON

Fillonisme sans Fillon. Un des traits du paysage politique français après la présidentielle et les législatives. C'est ce que vient mettre en évidence la crise des républicains, déchiré entre deux tendances, celle des identitaires, et celle de "constructifs" Un article du journal le Figaro d'aujourd'hui vient reconnaître cette réalité, faisant état d'une majorité -écrasante même- au niveau de la militance du parti, qui pousse désormais au renvoi du parti des “constructifs” savoir ceux qui ont choisi de rallier Macron et son parti « En marche” Le meeting du Trocadero (voir photo) ce fut le grand tournant du parti, vient dire l'article du Figaro, et ses actuels dirigeants et ceux qui aspirent à diriger le parti, doivent en tenir compte et finir par assumer la nouvelle donne, ce que les « constructifs » refusent éperdument. Fillon fut le grand perdant des présidentielles, mais il laisse derrière lui un capital électorale intacte. Ce que personne ne peut lui contester. Et un parti en outre, soudé par sa base et faisant bloc désormais contre une éventuelle alliance avec le parti du nouveau président. Comme vient l'annoncer la suspension décidé -dans l'attente d'un exclusion éventuelle- à l'encontre des six figures du camp des « constructifs » C'est l'heure de la vengeance de Pénélope

mardi 11 juillet 2017

NIQAB INTERDICTION AU NOM DU "VIVRE ENSEMBLE"

La Cour Européenne vient de donner raison à la Belgique suite à une plainte de femmes musulmanes -une d'entre elles âgée de dix ans au moment de déposer sa plainte- qui accusait la loi de 2011 interdisant l'usage du niqab -o de la burqa- de violation du droit a pratiquer sa religion et du droit à la liberté d'expression. La Cour a tranché maintenant déclarant que la mesure d’interdiction était proportionnelle au but poursuivi, savoir la préservation (sic) du vivre ensemble. La France fut pionnière dans l'interdiction du voile intégrale (octobre 2019), et la plupart des pays occidentaux semblent marcher dans la même direction. Pratique religieuse ou vestimentaire à peine? C'est la question que l’auteur de ces lignes se posait à la vue d'une jeune femme enturbannée (sic) -et couverte de la tête au pieds- qui fréquentait l'année dernière la Salle de travail de la Royale (à Bruxelles) Elle s'asseyait pas loin d'où je m'asseyais moi-même et ma foi qu'aussi grande put être ma perplexité je ne laissait jamais rien transparaître ni je lui fis jamais la moindre remarque, sans lui manquer jamais non plus la politesse plus extrême, pensez-y! Toujours est-il qu'au bout de quelque temps elle quitta sa place à la Salle de travail et vint s'installer dans la salle de lecture un étage en-dessous. Et puis à partir d'un moment donné, je ne le vis plus jamais dans la Bibliothèque. Se sentait-elle gênée ? Ou lisait-elle la gêne cachée chez les autres ? Ma foi qu'il serait difficile à dire. Quoiqu'il en soit, il est à craindre que la décision de la Cour des droits de l'homme ne puisse pas apporter une solution définitive au problème. C'est ce qui me venait à l'esprit, aujourd’hui même alors que la nouvelle était déjà connue, lorsque je croisai dans une surface proche de la place Flagey une femme en niqab accompagné d'un homme, qui se promenaient d'un bout à l’autre de l'établissement tous les deux, de façon pour le moins voyante, le moins que l'on puisse dire. Car si le cas -fort probable- s’avérait qu'ils s'en étaient au courant, cela voudrait dire qu'ils cherchaient l'incident. Un de semblable sans doute à celui à l'origine de cette saga judiciaire. Qui saura attacher le grelot ? La question qu'on peut se poser (à l'aide de La Fontaine) (voir photo)

lundi 10 juillet 2017

VERS UNE ALLIANCE RÉPUBLICAINS FN?

Vers un alliance objective Républicains FN? Tout semble aller dans ce sens. Du cote des LR la route semble se dégager pour Laurent Wauquiez grand favori pour la direction de parti. Ce-ci après l'abandon successif des candidatures de deux des figures marquantes du courant constructif (pro-Macron) dont Valérie Pécresse, présidente de la région Isle-de-France. Pour rappel, Valérie Pécresse ensemble avec Laurent Wauquiez (et Eric Ciotti) furent des soutiens indéfectibles de François Fillon lors de la lutte (acharnée) qui opposa ce dernier 2012 à François Coppé à l'occasion des élections internes pour la direction de parti. Les pro-Macron dénonce maintenant par contre le triomphe -avec Wauquiez- d'une ligne identitaire (sic) et décomplexée au sein des LR, vouée fatalement à une alliance objective avec le Front National. Du coté du Front national nombre d'indices semblent également pointer dans la même direction. Et pour commencer la prévisible défenestration de Florian Philippot -qui n'obtint pas de siège lors des législatives (battu par un macroniste)- affaiblirait fatalement l'aile gauche du parti, anti-capitaliste et anti-UE, et favoriserait par contre son aile droite qui de toute évidence attendent toujours le retour de Marion Le Pen (voir photo) connue pour favoriser une alliance stratégique avec la droite

vendredi 7 juillet 2017

TRUMP, UN OUI A ASSAD?

Vladimir Poutine et Donald Trump viennent de conclure un accord de cessez-le-feu sur la Syrie lors du sommet du G-20 à Hambourg. Où est prévu l'établissement d'une zone de sécurité (ou désescalade) dans trois zones stratégiques du Sud-ouest du pays, dont Deraa, ville de la plus haute valeur symbolique pour avoir été le foyer premier de l'insurrection anti-Assad qui allait déboucher dans la guerre civile, contrôlée en grande partie à l'heure actuelle par l'armée syrienne. Les deux autres zones inclues dans l'accord sont celle de Soueida, frontalière avec la Jordanie et celle de Qouneitra située dans le plateau du Golan et frontalière avec l'état d’Israël. L’accord survient alors que se poursuivent depuis des semaines des conversation de paix d'Astana en Asie centrale sous l'égide de président russe Vladimir Putin. Et il arrive six mois après le dénouement de la bataille d'Alep (voir photo) avec la victoire (éclatante) du régime. Parmi des rumeurs que la Maison Blanche et Donald Trump s’apprêterait a accepter que Assad reste au pouvoir, comme voie de solution de la crise. Le gouvernement syrien pour sa part se sera montré réservé jusqu'à vielle de cet accord, sur l'établissement des zones de désescalade craignant qu'elle puisse servir de prétexte à l'intervention de puissances étrangères impliquées dans le conflit syrien, pointant par là notamment la Turquie et l'Arabie Saoudite et le Quatar. Du nouveau, quoi qu'il en soit -l'accord qui vient d'être signé-, dans un conflit qui dure déjà depuis six ans, l'un des plus meurtriers après la Seconde guerre Mondiale, traînant derrière lui d'un bilan de plus de deux cents mille mort, des centaines de milliers de blesse et mutilés, et des millions de déplacés. Ce qui est à mettre pour compte en grande partie de l'administration Obama, responsable directe de la grande manœuvre de déstabilisation des pays arabes musulmans qui accompagna les printemps arabes. Quelque chose qu'on doit pouvoir dire haut et fort, après l'accord qui vient d'être signé à Hambourg par les deux plus grandes puissances de la planète. Même en Belgique ou la réprobation du régime (légitime) de Bachar-el-Assad était devenu presque unanime dans les médias comme dans la classe politique. Et où la défense du régime syrien légitime se sera vu criminalisé et stigmatisé dans la vulgate bien pensant et politiquement correcte en vigueur jusqu'il y a peu dans la matière dans l'ensemble des pays occidentaux. Et en Belgique peut-être plus qu'ailleurs.. Voilà qui est dit ADDENDA Le dénuement de la bataille d'Alep aura été le grand tournant de la guerre en Syrie qui aura précipite la dynamique en faveur de la paix que nous voyons à l’œuvre maintenant propulsée par les deux plus grandes puissances de la planète. Une mère de batailles du conflit syrien dont la phase finale et décisive aura duré six mois. Six mois dune guerre sur le terrain et ">d'une autre guerre dans les médias, et sur internet et les réseau sociaux que l’auteur de ces lignes aura suivie à la minute depuis ce blog -et aussi href="http://juanfernandezkrohn.blogspot.be/2016/08/alepo-y-las-guerras-de-internet.html">depuis mon autre blog en langue espagnole- sans varier jamais d'une pouce, contre tous ou presque tous, ma position et le signe de mon pari(gagnant) Comme tous mes lecteurs peuvent bien le constater

jeudi 6 juillet 2017

L'OAS, ET LA BELGIQUE (Guerre Civile européenne) (16)

Jean-Jacques Susini,le chef de l'OAS est mort. Il en avait prit le commandement -pendant la guerre d'Algérie- après l'arrestation du fondateur de l'organisation, le général Salan (voir photo) Il était âgé de quatre-vingt ans. Pour rappel, l'OAS fut l'organisation qui prit les armes pour le maintien de l'Algérie dans la France et dont le nom était emprunté (nota bene) à des groupes de la Résistance pendant la Deuxième Guerre Mondiale. Curieusement, les origines du nom pourraient se trouver même en Belgique. L’Armée Secrète en effet -comme le rappelait l'historien belge Francis Balace dans l'un de ses travaux sur la guerre civil espagnole- fut le nom du premier groupe de la Résistance belge fondé par Alphonse Hoornaerts, qui avait été pendant les années d'entre-deux-guerres, fondateur et dirigeant de la Légion Nationale, un groupe rassemblant des supplétifs de la Gendarmerie belge, né au lendemain de la fin de la Première Guerre Mondiale, qui mena des campagnes des rues en faveur du camp nationaliste (”nacional”) pendant la guerre civile espagnole. Hoornaerts mourut -décapité- en déportation en Allemagne. Et pour ce qui est de la guerre d'Algérie comme pour d'autres épisodes marquants de l”histoire de l'après-guerre -comme la guerre civile espagnole ou mai 68, ou l'expérience marxiste (radicale) d'Allende au Chili- une vulgate bien pensante circule en Belgique depuis toujours qui fait la part belle bien sûr au camp gagnant, celui du FLN lequel pratiqua des méthodes de terrorisme le plus sauvage, et dont l'OAS ne prétendit somme toute que lui rendre la monnaie de sa pièce. Y eut-il du militantisme pro-FLN en Belgique ? A en croire certains -et notamment, une célèbre journaliste du Soir- ce fut bien le cas. Et dans un article là-dessus elle mentionnait des exemples bien connus, comme celui de l'ancien bourgmestre de Saint-Josse, Guy Cudell -que l'auteur de ces lignes eut l'occasion de croiser plus d'une fois de son vivant, me promenant au long des étangs d'Ixelles alors que le dénommé fréquentait avec son épouse un restaurant très connu du coin- ou de l'avocat Serge Moureaux, frère de l'ancien ministre PS Philippe Moureaux et socialiste lui aussi. Revendique-t-on encore ces vieilles gloires guerrières dans le PS à l'heure du déclin et après tout ce qui s'est passé en Belgique -et à Molenbeek- ces dernières années? On peut se permettre d'en douter. A l'opposé de l'échiquier, n'y eut il pas en échange le moindre écho favorable en Belgique à la lutte en faveur de l'Algérie française? Tout mène a penser le contraire, aussi bien au niveau de la classe politique que de la diplomatie belge que des secteurs de l'opinion publique. Ainsi, la Belgique offrit refuge à la fin de la guerre d'Algérie, après les accords d'Évian, à dirigeants connus de l'OAS, tel que Pierre Sergeant, ancien résistant, et officier de la Légion Étrangère

mercredi 5 juillet 2017

CELTES ET IDENTITAIRES (Guerre Civile européenne) (15)

L'approche de la figure du poète britanique Dylan Thomas -aussi bien de sa vie que de son œuvre-, que je me suis permis ces dernier temps et dont j'ai déjà rendu compte dans ce blog et aussi dans l'autre blog que j'édite « on line » en langue espagnole, m'aura également familiarisé un peu plus avec phénomène culturel linguistique et idéologique et politique à la fois du monde celte appartenant à une zone géographique qui va de l'Irlande en passant par l'Écosse et les pays de Galles -et l'île de Man- jusqu'à la Bretagne. Le Nord de l'Espagne, sa zone cantabrique -la Galice et les Asturies- fait partie sur le plan anthropologique du monde celte aussi, mas aucune trace linguistique en est restée alors que les dialectes qu'on y parle appartiennent tous a la branche occidentale de l'arbre des langues romanes (et latines) Le monde celte -aussi bien dans sa versant gaélique (irlandaise et écossaise), que dans son autre versant, brittonique (le gallois et le breton)- est actuellement le théâtre d'une résurgence culturelle qui ne nourrit pas moins des revendications nationalistes, ou en langage actuel, identitaires. En Écosse, au pays de Galles et en Bretagne, le nationalisme identitaire prit sa forme actuelle dans la période d'entre-guerres, et revêtit à ses origines un caractère philo-nazi ou philo/fasciste indéniable. Comme l'illustrent la trajectoire de quelques unes de ses principales figures. Ainsi au pays de Galles, le père fondateur du nationalisme gallois contemporain, Saunders Lewis, -à qui une figure si hors de soupçon que Dylan Thomas (d'origines galloises) rendait hommage sur le plan littéraire et linguistique- fut accusé de velléités favorables à l'Allemagne nazi. De même peut-on dire du nationalisme breton, et de sa figure plus connue, Olier Mordrel, cofondateur du journal «Breiz Atao» (voir photo) et condamné après la guerre pour délit de collaboration -et forcé à des longues années d'exil- avec l'occupant. Pour ce qui est du nationalisme écossais, sa figure plus connue l'est sans doute Hugh McDiarmid, écrivain et poète (en anglais et en écossais) d'un profil atypique au plus haut point sur le plan politique -ayant oscillé à travers de sa vie entre le communisme et le nationalisme écossais-, subit lui aussi la tentation fasciste à une date aussi tardive que celle de 1941

mardi 4 juillet 2017

SIMONE WEIL ET LE CARDINAL LUSTIGER

Je ne me rappelais même plus, mais à l'occasion du décès de Simone Weil, dans l'un des articles nécrologiques -hagiographiques à proprement parler- qui lui sont dédiés apparaît mentionné, parmi ceux qui lui furent proches, celui qui fut cardinal archevêque de Paris, sous le pontificat du pape Jean Paul II, Aaron Jean-Marie Lustiger -fils de parents juifs (polonais) baptisés- que j'eus l'occasion de connaître personnellement. C'était dans les semaines qui précédèrent mon geste de Fatima. Je ne me rappelle pas exactement où cela se passa, si ce n'est que je me trouvais en compagnie de fidèles de la chapelle traditionaliste que je desservait alors- et c'était dans une église en banlieue (Ouest) parisienne où la visite du cardinal Lustiger avait été annoncée. Et comme il était prévisible, puisque la Pologne était dans touts esprits suite à la proclamation de l'état de siège par le général Jaruzelski (voir photo) -aux ordres de Moscou, quelque temps auparavant (décembre 1981)- l’archevêque de Paris aborda le sujet dans son homélie. Le message était clair, les Polonais n’avaient rien à attendre de dehors. Et il martela la phrase je ne sais pas combien de fois. Ils n'ont rien à attendre, rien, rien, rien ! Et la conclusion -sous-jacente, implicite- était plus claire encore. Acceptation des faits accomplis, bien entendu. Cela me survolta et je finis par monter en chair à coté du cardinal où après l'avoir interrompu, je l'avais réfuté et accusé de ce qui me semblait une attitude de compromis honteuse et inadmissible. Aujourd'hui je ne suis pas sûr d'avoir eu raison alors, je dois le dire. Mas je ne renie pas non plus ce geste qui aidera a comprendre à certains de mes lecteurs l'état d'esprit -extrêmement sensibilisé- de ce qui me semblait (et l'était réellement alors) la menace communiste. Lustiger (quoi d'étonnant!) n'était pas de cet avis, mais ces arguments auraient justifié aisément cinquante ans plus tôt l'attitude (sincère) de collaboration de beaucoup de catholiques français, qui méritait sans doute la réprobation -et les anathèmes-aux yeux du cardinal de Paris, résistant devant l'Éternel, bien entendu

lundi 3 juillet 2017

MOI ET LA CULTURE BELGE FLAMANDE (Guerre Civile Européenne) (14)

Nu is van Kalifornische goud de tijd; De sterrevende zon vergaart haar krachten voor een verre vaart, de laatste van die dag, ter aardewaart. Daar heeft de zon een laatste maal haar stervensweeë gouden praal verzameld in een glazen tramportaal ('Valavond' "Music Hall", 1915) .../...Mes premières années en Belgique -où j’arrivai le 11 mars 1987- j'eus ma résidence en région flamande, la première année à Anvers et par la suite pendant presque quatre ans, à Ostende la plupart du temps, et quelques mois à la fin, avant de venir habiter à Bruxelles, au Coq -De Haan- belle plage, ma foi, et lieu de villégiature plaisant au plus haut point sur la cote belge. Et je fus dès le début tout à fait réceptif au néerlandais, soit dit dans ma décharge, compte tenu des déboires qui me furent infligés à plusieurs reprises pendant toutes ces années de la part de certaines instances belges flamandes sous prétextes linguistiques pur et simplement. Et je renonçai pour de bon cela fait déjà quelques douze ans à décrocher le certificat de néerlandais langue étrangère (CNAVT) -qu'on m'imposa abusivement à la VUB-, et ce fut surtout après un examen oral au ministère flamand où pendant une durée entre cinq et dix minutes -je n'exagère pas- je menai une conversation en néerlandais fluent avec les sept membres du jury qui m'écoutèrent d'un air complaisant et me questionnèrent en toute normalité, sans me faire la moindre critique ou remarque dès le début jusqu'à la fin. Résultat, je fus recalé, comme je le craignais, d'ailleurs. Je compris alors -ik had het voor gezien (en néerlandais)- et je n'insistai plus jusqu'aujourd'hui, sans cesser pour autant de m’intéresser à la langue et la culture néerlandophone. Pouvaient-ils tous ces messieurs censeurs m'enlever ce droit pour autant? Et je m’intéressai en particulier aux traces dans le néerlandais parlé laissée par la cohabitation plusieurs siècles durant avec la langue espagnole autant ou presque qu'avec le français, de l'ensemble de la population des anciens Pays-Bas (du Sud) Quelque chose entourée des plus rigoureux des tabous entre linguistes et grammairiens néerlandophones, au point que jamais ne vint à ma connaissance le moindre écho ou référence écrite -sur le plan académique ou autres- à un phénomène si évident. Rien à voir cette cohabitation ancienne -et avec le français et avec l'espagnol- des néerlandophones (et leurs descendants) ayant resté de ce coté-ci de la frontière religieuse après la Paix de Westphalie, avec le fait indéniable que le néerlandais parlé par les belges flamands est (nettement) préféré par les Hollandais à leur façon de parler leur propre langue ? On ne nous le fera pas croire. On ne m’empêcha pas pour autant de m’intéresser non plus à la culture belge flamande frappée dans son ensemble d'ostracisme et de mise en quarantaine après la fin de la Seconde Guerre mondiale en 45. Et en particulier à un courant poétique flamand avant-gardiste des années de la Première Guerre Mondiale dont l'exposant le plus en vue fut sans doute Paul Van Ostaijen (voir photo) condamné après la guerre 14-18 pour délit d'activisme et d'outrage dans la personne du cardinal Mercier à à qui il fit siffler (en 1917, pendant l'occupation allemande) Ainsi, dans un petit livre, "Liefdesbrieven aan Antwerpen"  où je commençai apprendre le Néerlandais à mon arrivé en Belgique -ensemble avec une édition bilingue du « Chagrin des Belges »- je tombai sur un court poème de l’auteur mentionné (reproduit ci-dessus) qui me frappa particulièrement, je ne sais pas bien pour quelle raison. Sans doute de tout ce qu'il reflétait de l'esprit de son temps. De la Belgique de son temps, et en général, de ces années-là qui marquèrent -en Belgique- le début de la guerre civile européenne

samedi 1 juillet 2017

DYLAN THOMAS ET LA GUERRE CIVILE ESPAGNOLE (Guerre Civile Européenne) (13)

Tel que je l’annonçais dans la dernière entrée de ce blog, je viens de faire une découverte fascinante. Et ce n'est rien de moins que celle de la poésie contemporaine en langue anglaise, et ceci à travers sa figure et l’œuvre non moins fascinante d'un de ses plus grands représentants, et j'entends par là me référer à Dylan Thomas. Une oeuvre littéraire aussi fascinante que la vie de son auteur en effet, dominée -de fond en comble- par l'inspiration poétique et par le travail d'écriture, et marquée par la démesure (hubris) et par le tragique d'une destinée, celle de quelqu'un décédé encore jeune à l'age de trente neuf ans dans des circonstances obscures qui firent parler de suicide à certains. Dylan Thomas fut un grand poète et également -comme si l'un ne pouvait pas aller sans l'autre- un grand amoureux, qui connut plusieurs femmes dans sa vie, et fut marqué surtout par un amour malheureux qui fit peut-être la cause dernière de sa mort. Et moi je l'avoue humblement, ce qui me fascine de lui surtout c'est l'image d'un pur poète, ce qui le rapprochait sans doute de l'idéal l'art pour l'art et de la bohème héroïque née en France au dernier tiers du XIXe siècle et répandue dans la plupart des pays européens. Et c'est cette image -d'un pur poète et un bohème à la fois (voir photo)- qu'il aura légué à la postérité. Et plus fascinant encore -je parle pour moi en tout cas-, le lyrisme irréductible de Dylan Thomas allait se traduire par un apolitisme non moins intransigeante qui allait se manifester -avec éclat (en vision rétrospective, je veux dire)- lors de la guerre civile espagnole de 1936 oú le poète gallois fit figure d'exception à la règle par rapport à un conflit qui passionnait -et divisait et chauffait à blanc- la gent littéraire et les opinions publiques dans les différents pays pays européens, comme ce fut le cas en Angleterre, et en particulier celui de poètes et écrivains contemporains et du même âge a peu près que Dylan Thomas, dont le cas de Auden -qui s'engagea même du coté des Rouges en Espagne- soit le cas le plus connu et le plus éloquent et illustratif. Ce ne fut pas le cas du poète gallois -ou anglo-gallois- quoiqu'il en soit, comme l'illustre un travail universitaire récent, fouillé en extrême et dédié à sa poésie, où l'on essaie -désespérément-, dans l'un des chapitres faire de lui quelqu'un d'engagé, dans ce conflit qui ravageait et déchirait l'Espagne et les Espagnols. En vain, et ma foi que c'est flagrant et frappant à la fois (op. cit. pp. 342-343) Et cela m'ouvre moi des perspectives et des vues nouvelles et de cet auteur et de l'ensemble de la littérature et de la poésie anglaise contemporaine. Merci, Dylan Thomas

vendredi 30 juin 2017

ESPAGNOL, "AFRANCESADO" ET EUROPÉEN

Je suis un Espagnol francisé -afrancesado-, je l'assume, je le fus depuis très jeune, de bien avant mon arrivée en Belgique. Mais ici je ne voulus jamais de propos délibéré devenir  un “francophone” ( ne fut-ce que d'adoption) Au contraire, sans laisser de pratiquer verbalement et par écrit la langue de Molière -pari passu avec ma langue maternelle- je ne m'ouvris pas moins, dès le début de mon arrivée, au Néerlandais que je commençais a apprendre dans une édition bilingue du “Chagrin des Belges” Par contre, l'Anglais, la culture anglaise et anglo-saxonne vint représenter un grand lapsus chez moi, ce qui inviterait sans doute à une démarche d’introspection psychanalytique. Lorsque j'étais tout jeune dans l'enseignement espagnol d'alors chez les prêtres -et non moins dans un reflet de l'esprit de l'Espagne de ce temps-là en proie a un procès de développement économique de grand ampleur et sous l'emprise des technocrates omniprésents dans le gouvernement et dans tous les secteurs de la société-, l'Anglais l'emportait de beaucoup dans l'étude de langues étrangères. Mais le procès normal d'apprentissage subit chez moi une brusque interruption lorsque je finis par éprouver la séduction de la langue française (a travers d'auteurs français de droite, "réacs", je l'avoue, pour la plupart) D'ailleurs, la difficulté évidente de l'apprentissage d'une langue germanique pour ceux qui héritent d'une langue et une culture latines, -ce qui était bien mon cas-, se traduisait chez moi par une masse de mots rebondissant dans mon cerveau, manque de pouvoir les assimiler d'un coup, ce qui allait se répéter dans un phénomène similaire pour ce qui fut de mon apprentissage du néerlandais, donnant lieu a une longue courbe d'achèvement, proportionnellement décroissant qui au fil des années me fit arriver à bon port. Pour ce qui est de l'Anglais par contre, ce ne fut jamais le cas. Et maintenant, la découverte -foudroyante- de la figure et de la poésie de Dylan Thomas (voir photo), poète surréaliste, néo-romantique, avant-gardiste et parfaitement apolitique à la fois, me fait envisager un achèvement relativement rapide dans mon procès d'apprentissage de la langue de Shakespeare. En gage sans doute de ma vocation européenne

jeudi 29 juin 2017

PAPE FRANCOIS, DÉBUT DE LA FIN?

Le numéro trois du Vatican et ministre des Finances du pape François, le cardinal australien Georges Pell, se voit maintenant dans l’œil du cyclone après avoir été inculpé par le Tribunal Suprême de l'Australie accusé directement de faits de pédophilie, et après avoir été périodiquement l'objet depuis les années quatre-vingt-dix du siècle dernier d'accusations dans la matière, s'étant toujours borné à en reconnaître uniquement distractions coupables (sic) devant les faits de pédophilie attribués à des prêtres qui lui été subordonnés. Le pape argentin vient d'accepter ces dernières heures que le cardinal inculpé prenne congé pour se défendre, mas ne lui a pas retiré sa charge (nota bene), le droit canon le lui interdisant (parai-t-il) interdisant même la réduction à l'état laïque de l'accusé, comme cela se sera avéré dans de cas retentissants tel celui de l'ancien évêque de Bruges (nommé à son poste par le pape Jean Paul II ) qui s'était démis de ses fonctions après avoir été accusé publiquement des faits de pédophilie (anciens) et ayant vu accepté sa démission par le pape Benoît XVI. Et elle est curieuse -façon de parler- cette impuissance (manifeste) du droit canon à l'heure de réprimer des faits de mœurs, comparée aux procédures expéditives dont il dispose en matière de discipline, tel que le prouve et illustre le cas de feu Monseigneur Lefebvre, l'archevêque traditionaliste français toujours excommunié post mortem, même après que le Vatican -dans le pontificat antérieur de Benoît XVI- eût entamé la procédure de réconciliation canonique des prêtres et évêques qui furent ordonnés par lui (et ses successeurs) Il parait en effet que l'excommunication pour faits de mœurs est théologiquement impossible (ou impensable) , ainsi nous l'avaient-ils expliqués en tout cas les médias avec le plus grand sérieux lorsque éclata le cas de l'évêque de Bruges. De même que se voir déchu de leurs dignités ecclésiastiques. Ainsi, monseigneur Van Gheluwe se voit aujourd'hui reconnu le plus officiellement du monde évêque émérite de Bruges. Début de la fin du pape François compromis de toute évidence dans l'affaire du cardinal Pell qu'il aura toujours soutenu? Ainsi semble résumer la situation un hebdomadaire français d'actualité -Le Point- hors de tout soupçon d'anti-cléricalisme ou d'une tendance anti-ecclésiale quelconque. Et par là le pape actuel se voit fatalement rattrapé par l'héritage dans la matière de son prédécesseur Jean Paul II qu'il aura (nota bene) fait canoniser lui-même. Un pape acclamé tout au long de son pontificat (interminable) par les média du monde entier, les mêmes qui le déclarent maintenant coupable d'avoir protégé les coupables (au-delà de l'indéfendable) Et l'ironie de l'histoire veut que pendant que le pape Wojtyla voyageait en odeur de triomphe et de sainteté au tour de la planète et charmaient des jeunes catholiques de tous les pays leur prêchant la chasteté, en leur incitant publiquement ainsi a agir contre-nature (Nietzsche dixit) (voir photo), ce-ci dans l'approbation et l'applaudissement universel -comme ce fut le cas également en Belgique, dans le consentement tacite même des milieux laïques (dont l'ULB)-, la plaie de la pédophilie et des abus (et viols) de mineurs se propageait foudroyante entretemps -comme une calamité biblique- à l'intérieur de l'église et au quatre coins de la planète. “Sic transit gloria Ecclesiae”

mercredi 28 juin 2017

DONALD TRUMP SIGNE DES TEMPS

Donald Trump présent à la tribune des Champs Élysées le 14 juillet prochain. Dans le centenaire de l'entrée en guerre des États-Unis lors de la Première Guerre Mondiale. Rien à dire, quoique certains -en France et ailleurs- en voient certainement pas d'un bon œil la présence en sol français du mandataire américain. Le États-Unis sont une nation (relativement) jeune, son histoire et son rôle du premier plan ces cents dernières années échappent néanmoins quelque peu -pour de raisons diverses- à la mémoire collective de nations européennes plus anciennes comme c'était le cas de l'Espagne. Lors de la guerre de l'Irak le chef du gouvernement espagnol alors, Jose Maria Aznar, avait justifié son pro-atlantisme, qui le poussa à l'entrée d'Espagne en guerre à coté des États-Unis -sous la présidence Bush (fils)-, évoquant dans une intention clairement belliciste l'aide espagnole (sic) aux États-Unis au moment de son indépendance et de sa naissance comme nation, quelque chose qui semblait tombé néanmoins presque complètement dans l'oubli des générations et générations d'Espagnols ou en tout cas pas si agissante dans la mémoire collective que semble par contre l'être la mémoire des Français et des Américains pour ce qui est de l'aide française à l’Indépendance des États-Unis, symbolisée dans la figure de Lafayette, héro reconnu des deux rives de la Méditerranée. Les Espagnols ,nous eûmes en plus la guerre de Cuba un siècle après la déclaration d’Indépendance américaine, l'intervention américaine dont le naufrage du cuirassé Maine (voir photo) -coulé par une explosion dont les causes ne furent jamais élucidées devant le port de La Havanne- fut catalyseur décisif de par la campagnes de presse anti-espagnole que déclenchèrent des grands magnats de la presse jaune, notamment William Randolph Hearst et Joseph Pulitzer (Remember the Maine! To hell wiht Spain!) Pour tout dire, le pro-atlantisme n'a  pas la même force ni la même capacité d'évocation dans tous les pays européens. Quoi qu'il en soit, si la globalité et ses avatars sont un signe de notre temps ne le sont pas moins les réactions que tout cela provoque, aussi globales de part et d'autre. Et il est clair que l'arrivée de Donald Trump a la Maison Blanche est un signe majeur de notre temps qu'on ne peut pas ignorer. Et moins encore en France, traditionnel allié des États-Unis dans les deux guerres mondiales. Nouveau génie de la realpolitik, Emmanuel Macron ? Tout arrive, chères ombres!

mardi 27 juin 2017

L'ÉGLISE ET L'ORDRE NOUVEAU (Guerre Civile Européenne) (n° 12)

Dans l’Histoire de la Collaboration de Dominique Venner se voit insérée a titre d'annexe à la fin de l'ouvrage une relation épistolaire des dernières lettres des miliciens fusillés à la fin de la guerre au Grand-Bornand (en Savoie) après passage en cour martiale improvisée par des membres de la Résistance (FTP, communistes) Et ce qui m'aura frappé le plus et poussé à leur consacrer cette entrée de mon blog c'est de m'être reconnu ne soit-ce qu'un peu chez certains d'entre eux, sans doute la plupart, -pas tous néanmoins (des athées avérés certains d'entre eux)- et c'était de par le background sociologique et familiale bien ancrée dans le catholicisme romain qu'on partagea sans doute, moi comme eux, ce que laissaient transparaître leurs derniers mots d'adieu aux leurs. Des paysans pour la plupart. Très jeunes certains d'entre eux, le plus jeune, âgé de seize ans. Leur foi (héritée) dans l'Au-delà ne leur épargna pas leur triste sort, néanmoins mais au moins leur aida ou disons qu'elle ne leur empêcha pas -sans doute à leur corps défendant- tenir bon à la fin, comme l'illustraient leurs témoignages poignants au plus haut point. Des cas isolés? Disons plutôt représentatifs d'un aspect de la Seconde Guerre mondiale et de l'Occupation dans des pays catholiques comme la France ou la Belgique, entouré de taboues, et ce fut de l'attitude d'une écrasante majorité du bas clergé en milieu rural surtout qui prit fait et cause pour l'Ordre Nouveau sans réserves ni complexes. Ce fut le cas en France comme en Belgique. Dans le cas belge -sas doute plus que dans le cas français- la Collaboration du clergé et d'une écrasante majorité de catholiques se vit pudiquement voilée après la guerre par la mise en exergue systématique des cas singuliers et non moins atypiques du signe contraire, comme ce fut le cas du doyen de Charleroi fusillé ensemble avec le reste des otages exécutes sommairement -en représailles- à Courcelles vers la fin de la guerre, ou des ecclésiastiques faisant partie du Front de l'Indépendance, ou encore du personnage du prêtre jésuite -sans doute tiré d'une figure en chair et en os- du roman (autobiographique) de Hugo Claus « Le Chagrin des Belges », arrêté pendant les cours devant ses élèves -chez les bonnes sœurs (...)- et amené en déportation. L'exception à la règle sans aucun doute. Et la règle venait plutôt l'illustrer en Belgique francophone le cas emblématique de Léon Degrelle ancien louvaniste d'une famille ayant fuit par la branche paternelle la persécution religieuse dans le Nord de la France au début du vingtième siècle. Curieusement Degrelle, comme il l'avoue dans certains de ses écrits d'après guerre, entendit s'inspirer pour son mouvement rexiste de Joseph Darnand -catholique d'AF à ses origines-, et de la Milice dont ce dernier fut le chef et fondateur. Et la Belgique flamande ne fut pas l'exception dans la matière, comme se dégage du roman -en néerlandais-de Gerard Walschap « Zwart en Wit » (« Noir et Blanc ») ou il dénonçait que le gros de condamnations à la peines de mort (exécutées) à la Libération avaient frappé des jeunes d'extraction catholique pour la plupart, épargnant systématiquement les collaborateurs venus de la gauche,beaucoup plus nombreux du coté flamand que du coté francophone. Un passé sans doute lourd à assumer mais dont l'Église se défit avec la plus grande aisance et désinvolture-et à toute vitesse-, en Belgique, en France et ailleurs . Comme ce fut le cas mutatis mutandis du clergé espagnol par rapport au franquisme à la fin du régime antérieur. C'était plus facile en effet tourner le dos au passé et se ranger tout doucement du coté des vainqueurs de 45. La Seconde Guerre Mondiale, ou l’Église à l'épreuve de la Mémoire

lundi 26 juin 2017

FILLE DE DALI?

Je suis surpris de l’écho et de l'ampleur médiatiques dans les médias belges et en particulier dans la RTBF à toutes les heures dans leurs flash informatifs depuis ce matin- de la nouvelle de la demande d'exhumation du corps de Salvador Dali de la part d'une espagnole de soixante ans qui aura vu satisfaite maintenant sa demande par une juge madrilène. Il y a quelque chose d'indécent en apparence du moins dans des exhumations de ce genre, ce qui serait en échange pleinement justifié dans des affaires criminelles, ce dont il en s'agit nullement par contre dans le cas qui nous occupe. Et elle reste fraîche ma foi encore dans les souvenirs l'exhumation des restes d'Yves Montand, suite à une réclamation de paternité, de la part d'une femme française qui s'était soldé par u n fiasco retentissant pour la partie demanderesse. N'empêche, Montand lui il n'était décédé que depuis six mois, Dali décéda lui cela fait vingt-huit-ans (...) Quoiqu'il en soit il est explicable sans doute l’engouement dont semblent faire montre maintenant les Belges à l'égard de Dali si l'on pense que la Belgique est un peu la patrie du surréalisme, quoique Dali fait figure de précurseur par rapport aux deux grands génies du surréalisme belge, Paul Delvaux et René Magritte qui jouirent tous les deux de l'amitié et du magistère du peintre catalan. Qu'il me soit permis néanmoins faire part de mon scepticisme, devant la réclamation dont Salvador Dali se voit l'objet maintenant « post mortem ». Pour plusieurs raisons, et pour commencer, eu égard à la personnalité polémique et controversée de la demanderesse qui avait déjà interposé querelle judiciaire en 2005 -avant d'être déboutée- contre l’écrivain Javier Cercas, auteur du roman “Soldats de Salamine” -avec comme toile de fond la guerre civile- pour s'être reconnu dans l'un des personnages du roman, une voyante, alors qu'effectivement la demanderesse aura tenu un cabinet de voyance et de tirage du Tarot pendant une décennie en région catalane. Un autre motif de scepticisme tient à un trait de la personnalité de Salvador Dali entouré de taboues depuis toujours et sans doute plus encore en Belgique, pour les raisons qui soient. Et c'est les rapports complexes -et sans doute passablement tourmentés- qui furent les siens avec les femmes, au point que certains n'hésitèrent pas à parler d'homosexualité, une légende nourrie depuis les années de jeunesse du peintre de par ses rapports étroits d'amitié avec Garcia Lorca, ce qui nourrit une montagne des spéculations dans ce sens, (toujours démenties c'est vrai par le peintre catalan) Je pourrais ajouter un autre échantillon dont il ne me serait pas difficile épiloguer en raison de la circonstance anecdotique que voici. Et ce fut mon passage dans un programme de "reality show" de la chaîne de télévision française TF1 en octobre 1994 dirigé par Jean Marc Morandini, qui portait comme titre -passablement sensationnaliste- “les Tueurs” et où, en compagnie de l'autre intervenant un ancien mercenaire anglais des guerres coloniales d'Afrique je fus interviewé sur mon geste de Fatima. Et curieusement la personne qui 'accompagna Morandini dans l’interview et dans le programme n'était autre qu'Amanda Lear, dont je n’avais jamais même pas entendu parler auparavant et dont je ne vins savoir que plus tard que c'était la personne qui avait fait compagnie a Salvador Dali ses dernières années, comme sa secrétaire. Et ce ne fut que beaucoup plus tard encore que je finis para apprendre -quelque peu ébahi- la transsexualité qu'on attribuait à l'ancien (ne) secrétaire du peintre espagnol. Une fille Salvador Dali ? On peut le mettre en doute, vraiment

samedi 24 juin 2017

SYNDICATS DÉMASQUÉS

La FGTB menace d'une grève générale vendredi 30 juin, jour du grand départ en vacances. Ils s'en défendent mais ils ne donnent pas moins l'impression de venir en toute hâte à la rescousse d'un parti socialiste (PS) en pleine crise et menacé d'éviction du pouvoir dans la fédération Wallonie-Bruxelles. Moi, je n'aurai jamais été dupe, quoi qu'il en soit, et je ne sais pas si beaucoup pourraient en dire autant. Depuis mon arrivé en Belgique j'avais refusé de m’affilier sous le signe qui fût, un choix personnel -irresponsable aux dires sans doute de certains-, qui ne me condamnait néanmoins pas plus à une exclusion sociale à laquelle j'étais fatalement vouée de par ma circonstance -de notoriété publique- personnelle et intransmissible. Aujourd'hui cela me revête, tous en conviendront, d'une certaine force morale à l’heure de donner mon point de vue sur une hégémonie syndicale (de gauche) -je parle de la Belgique francophone- qui aura garanti et assuré plus que quelconque, et plus que toute autre chose, de par leur capacité de mobilisation et d'agitation sociales, le monopole du pouvoir par le parti socialiste pendant trente ans en Belgique francophone. Les trente ans grosso modo d'une traversée du désert sur le plan social et professionnel que fut celle de l'auteur de ces lignes, depuis son arrivée en Belgique. En effet, lorsque au bout de quelques années déjà de séjour ici je finis par me rendre à l'évidence que -en vertu de ma circonstance personnelle (savoir un passé qui ne passait toujours pas en rapport avec mon geste de Fatima)- il s’avérait utopique et illusoire de prétendre trouver un débouché dans le marche de l'emploi conforme à mes qualifications et mes diplômes, j'optai par entreprendre un vrai parcours du combattant dans les circuits -tortueux et prenant parfois tous les airs de labyrinthes sans la moindre issue- de la réinsertion professionnel dans les domaines de la recherche d'emploi et du recyclage professionnel. Une descente “ad inferos” -a chaque fois, à chaque échec, plus bas dans l'échelle sociale et du travail- qui eut seulement son coup d'arrêt définitif suite à ma détention -a cause de mon acte de protestation devant le Palais Royal-, en mai du 2000, lorsque je me vis finalement obligé à opter pour le travail manuel le moins qualifié, la seule voie qui m'était offerte de toute évidence -si je voulais continuer à résider en Belgique- en vue de pouvoir m'arracher à la situation de exclusion qui était la mienne. Émargeant aux CPAS depuis une dizaine d'années et sans pouvoir accéder, dans la situation bloquée qui était la mienne au statut (comme un mirage illusoire) du chômeur-complet-indemnisé, ce que des Espagnols affiliés aux bons syndicats (hégémoniques et majoritaires) -UGT (socialiste) et Comisiones Obreras (CCOO), liées de ses origines au Parti Communiste espagnol (voir photo)- se voyaient octroyé rien que dès leur arrivé en Belgique et sans guère d'autres conditions requises que de montrer bonne patte, savoir la bonne carte syndicale. Comme il me fut donné de constater plus d'une foi dans mes longues années d'avoir du faire la file dans les points de passage obligés (ONEM, CPAC, CPAS, CAP-Emploi, et qu'en sais-je encore) et d'avoir eu affaire en permanence à des mines renfrognées, méfiantes et parfois drôlement arrogantes, le tout assorti souvent de leçons de morale des plus savoureuses ma foi! S'en suivirent des années -après mon arrestation en 2000 et ma condamnation postérieure- où je dus transiter par des circuits d'insertion proprement infernaux soumis à des contrats « sociaux » tout à fait atypiques -sans droit même à préavis (s'il vous plaît)-, qui n'aboutirent qu'au bout de presque quatre ans, -étant donné que j'avais dépassé déjà l'âge fatidique des cinquante ans- à pouvoir accéder enfin au statut rêvé du "chômeur complet indemnisé" En fin ! Mais ce fut seulement au prix de me voir soumis juste à la fin à un procès à l'ONEM, en bonne et due forme pour abandon d'un emploi convenable (sic) -drôle d'euphémisme!- qui était à leurs yeux le travail/esclave -dans une ferme, d'ouvrier agricole pendant presque deux ans- sans droit au préavis, et sans d'autre possibilités donc de pouvoir le quitter (sans me voir sanctionné) que d'avoir trouvé un autre au préalable. La lune, pour tout dire (...) Résultat, une condamnation “syndicale” -que c'est comme ça que je la ressentis- à deux semaines de privation de salaire. Mais c'en était fini (grosso modo) du cauchemar. Et je reste persuadé que tous ces déboires m'auraient été épargnés -dès le début- de par une bonne carte syndicale. Je ne le regrette pas, et je n'ai guère de reproches à faire non plus, les règles du jeu étant celles qu'elles étaient. Seulement, cela finit par me donner une vue par le bas de la réalité sociale et de l'emploi en Belgique de ces trente dernières années que beaucoup de Belges auraient voulu pour soi. Même des plus à gauche. Semper idem néanmoins. Sans m'être plié à aucun moment au rite de passage de l'affiliation syndicale. La chute du PS risque-t-elle maintenant d'entraîner aussi celle des syndicats, une fois les masques tombés ? Pas une larme de ma part !

vendredi 23 juin 2017

NKM FEMME MÉDIATIQUE

L'agresseur présumé de NKM vient de livrer sa version des faits qui ne semble pas convaincante. Moi, il ne me convainc pas, du tout. Par contre la version donné par la victime et les témoins de la victime me semble l'être beaucoup mus. D'aucuns seront un peu étonné de me voir prendre si ouvertement position en faveur d'une politicienne avec qui je ne me sens pas identifié sur sas mal points de vue, et qui a un parcours qui m'échappe en partie, ne soit-ce que de par s'agit d'une personnalité de la politique française dont je n'aurais pas suivi l'actualité d'une façon aussi si attentive ou au jour le jour comme c'est bien mon cas aujourd'hui. Moi ce qui que me m'attire et me fascine (un peu) je l'avoue de NKM c'est son coté médiatique indéniable. On pourrait dire que c'est le cas de tous les hommes et femmes qui font de la politique. Pas tout à fait. NKM fait parler d'elle beaucoup plus par elle même que par son action en politique. Et l'agression dont elle vient d'être victime le prouve une fois de plus. Et ce coté médiatique indéniable de sa personne n'est pas doute étranger a ce trait si voyant de sa personnalité de ne pas laisser tomber, de ne se déclarer vaincue jamais. Comme cela semble maintenant de nouveau le cas après sa remonté spectaculaire (quoique insuffisant) au deuxième tour des législatives. Au point qu'elle pense déjà -même sans être rétabli tout à fait- à l'avenir immédiat. Femme devant l'éternel, Nathalie Kosciusko-Morizet. Et devant les médias ma foi aussi

jeudi 22 juin 2017

VERS LA FIN DU FRONT NATIONAL?

Vers la fin du Front National? Je n'eus jamais rien a avoir -soit dit d'emblée- et je n’aurais jamais mis me espoirs dans le parti des Le Pen, et encore moins noué des contactes avec ce parti ou ses dirigeants. Cela ne veux pas dire que je partageai -le moins du monde- le cordon sanitaire et le traitement de pestiférés qui leur fut infligés pendant des décennies, un pue partout et n'en parlons pas des milieux universitaires. Dans ma mémoire encore fraîche en effet les souvenirs de mon (premier) passage à l'ULB cela fait trente ans déjà lorsque je venais de débarquer en Belgique et lorsque des professeurs de cette université se sentaient dans l'obligation morale deux fois sur trois de mettre en garde à ses élevés contre le fondateur du Front National, et ils étaient des athées libre-penseurs affichés mais ma foi qu'on aurait pu dire qu'ils croyaient mordicus a l'existence du démon (sur terre) Il y en beaucoup en Belgique -et en dehors- cependant qui ne pourrait pas dire la même chose que moi. A un moment ou à l'autre certains en Belgique en effet, auront misé carrément sur la montée du Front National français encouragé dans l'ensemble des médias ces dernières années -sous marine Le Pen-, ceux mêmes qui m'auront toujours tourné le dos m'ignorant -ou plus exactement faisant semblant de m'ignorer- totalement, sans doute du fait de harcèlement médiatique dont je me voyais périodiquement objet dans les médias, et encore plus de l'excommunication latae sententiae dont je me voyais objet (nota bene) du fait de mon geste de Fatima, s'agissant de gens placé dans -qu'ils le reconnaissent ou pas- dans l'orbite de l'église catholique. ce fut le cas en Belgique, comme en Espagne, en Italie, Portugal (et j'en passe), mais sans doute encore plus en Belgique, et cela du fait de la pilarisation (sic) -entre laïcs et catholiques- un phénomène typiquement belge, sans parangon dans les pays européens environnants (en Espagne non plus bien sûr) Et il est clair que de par mon extraction sociologique et familiale et de ma trajectoire j'avais beaucoup de raisons de m'attendre à plus d'empathie et de compréhension du coté catholique du clivage « philosophique » qui divise -de fond en comble- la société belge. Aujourd'hui, le Front National après l'échec cuisant de Marine Le Pen dans les présidentielles, et de son échec (relatif) indéniable au deuxième tour des législatives, semble un mouvement sans avenir, comme vient de le proclamer Jean Marie le Pen, demandant la démission de sa fille, et il l'aura répété aujourd'hui dans un débat dans le programme d'Eric Zemmour (Paris Première) (voir photo) Et je ne m'en réjouis pas, mais il est clair que la crise du Front National risque de faire sombrer certains dans le plus profond désarroi. Et je les comprends, m'efforçant de leur montrer plus d'empathie que celle -nulle- qu'il montrèrent envers moi. Même lorsque je me trouvai devant les tribunaux ou écroué dans les prisons belges, pour des motifs qui avaient beaucoup d'idéologiques et politiques (sauraient-ils me le nier?)

mercredi 21 juin 2017

PLAT FROID LA VENGEANCE (PROVERBE CHINOIS)

François Baryrou, ministre de justice du premier gouvernement d'Emmanuel Macron suite au dénouement des présidentielles, et parrain en tant que tel du projet de loi sur « la moralisation de la vie publique » avec comme toile de fond le cas Fillon, se voit obligé a abandonner son poste suite au dernière remaniement ministériel après le deuxième tour des législatives françaises et derrière lui tous les ministres du gouvernement membres de son parti (le Modem) impliqués dans un scandale d'emplois fictifs au parlement européen. « Alguacil alguacilado » en expression de la littérature espagnole du Siècle d'Or. La vengeance est un plat qui se mange froid, dit pour sa part un proverbe chinois. Et je sais de quelqu'un qui doit être entrain de ricaner dans ce moment. Il n'y pas d'ailleurs que Bayrou et ses ministres centristes, à abandonner le navire, un autre membre -emblématique en extrême- du premier gouvernement Macron, Richard Ferrand quitte aussi son ministère pour aller atterrir à la présidence de l’assemblée, poursuivi par un scandale du même acabit. Si l'on ajoute le très élevé pourcentage -le plus élevé de l'histoire de la Ve République- on peut conclure que « la nouvelle politique » arrive passablement lestée du « vieux monde » -savoir tous ceux qui ne se sont pas rallié à Emmanuel Macron (voir photo)-, qui résiste assez bien toute sorte de tempêtes, médiatiques comme judiciaires (...)

mardi 20 juin 2017

CATHOLICISME ET SOCIALISME EN BELGIQUE FRANCOPHONE (Guerre Civile Européenne) (n° 11)

Dans son ouvrage “Histoire de la Collaboration”, fort documenté et rempli d'analyses en extrême lucides et précises, Dominique Venner ne manque pas de souligner les gages donnés à l'occupant et au régime de Vichy jusqu'à un moment donné en tout cas de la marche de la guerre par des figures les plus saillantes et prestigieuses de l’épiscopat français telles que les cardinaux Suhard et Baudrillart. Et on peut dire que  non moindres furent les gages donnes pendant l'Occupation par l'épiscopat belge dans la figure de son primat, le cardinal Van Roey, qui survécut à la Libération, restant primat jusqu'à sa mort en 1961. Comme celui d'avoir béni le mariage de Liliane et du roi Léopold (voir photo) Non moindres non plus furent ceux donnés par le futur cardinal Suenens, une des figures de proue de « l'aile marchante » de l’Église au Concile, et grande vedette des médias pendant ces années, qui avait été administrateur de l'Université Catholique de Louvain pendant les années d'occupation. Veillant du début jusqu  à la fin pour le bon fonctionnement de l'institution. Ces sinuosités du catholicisme belge pendant la guerre -comparables sans doute a celles de bien d'autres pays- expliquent sans doute en partie, l'attitude de soumission du parti social-chrétien francophone -aujourd'hui CDH- mis à remorque du socialisme pendant des décennies, venant ainsi a servir de caution d'une valeur inestimable à l’hégémonie du parti socialiste (PS) du coté francophone de la frontière linguistique belge pendant trente ans, ceux que j'aurai vécu en Belgique justement. Après des décennies dans l'ombre, des lendemains qui chantent ?

lundi 19 juin 2017

VALLS OU LA DÉMOCRATIE ROUGE/ESPAGNOLE

Démocratie au cachet rouge/espagnol à la mairie d'Evry (Essone) dimanche dernier à l'annonce des résultats. La victoire chahutée et contestée -sur le fil du rasoir- de Manuel Valls nous rafraîchit certains la mémoire en effet. Ni les Français ni les Belges ne connaissent bien l'histoire de la guerre civile espagnole à cause surtout des clichés politiquement correcte en vigueur pendant des (longues) décennies dans la matière. Mais c'est surtout qu'ils méconnaissent le climat de guerre civile larvée qui régnait dans l'ensemble de la géographie espagnole les mois qui précédèrent l'éclatement du conflit, suite au triomphe du Front Populaire (février 36) marqué par des tricheries et plus encore des menaces et de violences ayant laissé parfois à certains endroits des lourds bilans de morts et des blessés. Mais les cas le plus emblématiques furent surtout les élections dans deux capitales de province, Cuenca et Grenade dont les résultats furent annulés -par dénonciations de la part de la droite des tricheries à grande échelle- et qui furent répétés dans un climat de violence et intimidation (de la part de la gauche) ayant atteint un paroxysme tel, que dans le cas de Grenade mena au retrait de la candidature conjointe des droites -qui portait le nom (nota bene) là et partout ailleurs de Frente Nacional-, et dans le cas de Cuenca -où se présentèrent ensemble la seconde fois Franco et José Antonio Primo de Rivera (fondateur de la Phalange)-, à une répétition aggravée des résultats de la première fois, favorable à la gauche (savoir, le Front Populaire). Est-ce pur hasard maintenant que le scandale majeur qui aura marqué le second tour des élections législatives françaises du dimanche dernier ait eu comme protagoniste -accusé des tricheries par son rivale- l'ancien ministre de l'Intérieur de François Hollande, quelqu'un qui aura toujours assumé l'héritage des gauches espagnoles de la guerre civile sans le moindre complexe? On comprend aisément ainsi le sans-gêne dont il aurait fait preuve en proclamant sa victoire dans la soiré électorale au milieu des chahuts et des cris hostiles, au point que la police dut déloger certains agitateurs. Et on comprend mieux encore la meute des journalistes qui l'attendaient aujourd'hui aux portes de l’Assemblée Nationale (Palais Bourbon) dans des scènes qui n'allaient pas sans rappeler le spectacle offert par l'ancien vice premier ministre belge Willy Claes -milieux des années quatre-vingt-dix- comparaissant inculpé devant la Cour de Cassation belge en tant que secrétaire général de l'OTAN (dont il se démit tout de suite après) au milieu d'un foule de journalistes qui l'attendaient devant l'entrée du Palais de Justice de Bruxelles, et qui l'assaillirent à questions, face à quoi il n'eut d'autre issue que de prendre la poudre de escampette. Valls ne le fut pas cette fois-ci mais ses casseroles faisaient autant de bruit. Casseroles rouge/espagnoles de la guerre civile pour la plupart (...)

samedi 17 juin 2017

QUI ET DE QUOI ON M'ACCUSE , PARBLEU! (Vidéo)


RÉSUMÉ 

Je viens de recevoir par mon avocate lundi dernier la note d'observations de la partie adverse à notre double requête en suspension et annulation de l'ordre d'expulsion -pour un an- qui m'aura frappé, de la Bibliothèque Royale. Elle est signée -au nom de Mme Zuhal Demir, secrétaire d'État à la Politique Scientifique-, par deux jeunes avocats du cabinet Xirius, l'un d'entre eux -comme par hasard (…)- de toute vraisemblance, espagnol et de nationalité espagnole (...) On m'y reproche d'avoir médiatisé l’affaire, et on fait valoir dix-sept témoignages (dix-sept) -produits nota bene sous demande de confidentialité- en farde à part du dossier administratif -me privant ainsi en fait du drot d'y avoir accès-, et provenants de plaignantes couvertes sous l'anonymat, et qui entendent vouloir le rester apparemment tout le long du procès (...) Ceci sous prétexte d'avoir peur (sic) de moi, eu égard à mon passé judiciaire et au fait d'être connu (sic) pour des actes de violence, ce que je réfute, je ne fus jamais condamné pour des faits de violence en Belgique, en effet. Et lors de ma détention devant le Palais Royal à l'occasion de la visite du roi Juan Carlos en 2000, l’expertise qui me fut imposée conclut a mon état de parfaite santé mentale, ajoutant que je ne constituais pas « un danger social » ce qui vient de rappeler le journal espagnol El Pais dans un article m'étant dédié à l'occasion de la visite du Pape François à Fatima. Je dénonce un manque de compétence de la part de M. Robert Nowen, l'un des cosignataires de la lettre de mon expulsion, qui n'était pas à charge de la Salle de travail, et je dénonce également un chantage inadmissible à la peur, et une discrimination flagrante et scandaleuse -parfaitement inconstitutionnelle d'ailleurs- pour compte de ma personne et de mon passé qui voudrait me priver des plus élémentaires droits de défense. Tel que celui de savoir qui et de quoi on m'accuse, en effet

jeudi 15 juin 2017

NKM AGRESSÉE CONSTERNATION ET REJET

C'est dans des sentiments de consternation profonde et de rejet catégorique que j'apprends la nouvelle de l'agression dont s'est vu victime aujourd'hui Nathalie Kosciusko-Morizet (voir photo), alors qu'elle faisait campagne pour le deuxième tour des législatives françaises du dimanche prochain, victime d'un individu d'une cinquantaine d'années qu'après l'avoir malmené verbalement en l'insultant -”bobo de m...!”- l'aura frappé au visage ce qui lui fit perdre l'équilibre faisant une chute qui lui aura laissé inconsciente quelques minutes avant d'être amené à l'hôpital. A plusieurs reprises ces derniers jours j'aurai abordé sur ce blog le phénomène -emblématique et atypique à la fois- qu'incarne NKM, de femme en politique dans la société française d'aujourd'hui. Une femme de son temps, fidèles à ses convictions et à ses loyautés quoique on puisse dire, et quoique puissent laisser à penser parfois des hésitations et des revirements apparentes prototypiques d'une personnalité (féminine) qui en se laisse pas cataloguer facilement. Et dont je ne partage pas forcément -cela va de soi- tous les points de vue ou prises de position qui sont parfois les siennes. Une survivante du naufrage de la droite (filloniste) lors des dernières présidentielles et du raz de marée au premier tour des législatives de la majorité présidentielle, c'est l’image que NKM aura réussi a donner d'elle même ces derniers jour, malgré qu'elle se trouvait en ballottage défavorable en vue du deuxième tour dimanche prochain. Suffisant pour attiser les rancunes de certains et l'exposer plus que jamais à la vindicte de gens violents et méprisables. Métier à haute risque, la politique en période électorale telle qu'aime le pratiquer Nahtalie Kosciusko Morriset. tractant à corps perdu en plein rue, dans des lieux publiques, sans escorte et dans une solitude assez pathétique (du moins en apparence) il faut bien le dire. Et elle sait maintenant par propre expérience le prix de son courage et de son charisme indéniable. Nos meilleurs vœux de rétablissement pour elle, et notre condamnation sans réserves d'un acte tellement vil, lâche et méprisable ADDENDA Victime d'un malaise après une altercation? Jusqu' à quand le langage de bois (de gauche) à la RTBF. Spectacle insupportable depuis des décennies!

mardi 13 juin 2017

REQUÊTE CONSEIL D'ETAT DERNIÈRES NOUVELLES

Je tiens a vous faire part, lectrices et lecteurs de mon blog, de la note de la partie adverse -qui vient de m'être remise par mon avocate- en réponse a ma double requête en suspension et annulation, devant le Conseil d'État, de la mesure qui m'aura frappée d'expulsion de la Bibliothèque Royale. Elle est signée par deux avocats du barreau de Bruxelles appartenant au cabinet Xirius, Me Emmanuel Jacubowitz, et Me Diego Gutierrez Caceres. Au nom de Mme Zuhal Demir, Secrétaire d'État à la lutte contre la Pauvreté, à l'Égalité des chances, aux Personnes handicapées, et à la Politique scientifique. On m'y reproche d'avoir médiatisé l'affaire -à travers de ce blog- et partant, d’être le seul et ultime responsable de l'attente à l'honneur que mon expulsion de la Royale m'aura fatalement infligée. Ce qui n'est pas juste, ni exacte. Ce ne fut pas moi à avoir donné de la publicité à mon expulsion, étant quelque chose, bien au contraire, qui ne faisait que découler fatalement des circonstances qui accompagnèrent mon éviction du bâtiment. Dans des heures d'ouverture -vers quatre heures de l'après-midi- et me voyant accompagné de membres de la sécurité du bâtiment qui m'éconduisirent -me gardant et surveillant de près à la fois- dès l’intérieur des salles de lectures jusqu'à la sortie de l'établissement. Pas moins de deux cent personnes -de la Salle de Travail, de deux salles de lecture et du personnel- furent ainsi témoins oculaires de mon expulsion manu militari, le 6 mars dernier. Certains d'entre eux des gens qui me connaissaient bien, et qui m'appréciaient fort. Dans la note de la partie adverse on fait également une demande de confidentialité (sic) pour les plaintes -à caractère sexuel- dont je me vois objet, autrement dit, ne pouvant pas ainsi être consultées par la partie requérante. Dix sept charges (dix sept), chacune -on s'en doute- plus scabreuse et colorée et imagée que tout le reste. Toutes « confidentielles » et toutes anonymes et entendant vouloir le rester -sans blagues- tout le long du procès. ¿Estamos aquí o en Flandes ? A vous de juger, chers amies et amis de mon blog. Je vous tiendrais au courant des ultérieurs développements, je vous le promet