mardi 8 juillet 2025

GRAND REMPLACEMENT ET MOI


"Quand on parle en francais, avait ecrit Joseph de  MAISTRE, l'Europe entière écoute et comprend". Encore aujourd'hui? .On peut repondre oui, depuis l'Espagne ou je me (re)trouve.  Mais ceci avec le décalage obligé de par la difference linguistique et culturelle entre les deux pays et également de par le retard proverbial à reagir et riposter des Espagnols du fait du clivage -entre l'au-dela et l'en-decà dont parlait PASCAL- que nous impose les Pyrenées-, qui fait des Espagnols un peuple en tension dialectique entre l'ouverture hors frontières -ce dont ils ont fait leurs preuves- et le repli sur eux-mèmes. Et c'est, tout ce qui précède, au sujet de l'idée -distincte, toute francaise- du grand Remplacement, qui aura fait soudain son irruption .en Espagne -avec tant de retard- dans le debat politique d'aujourd'hui. La Belgique, c'est un pays entamé (sic) par l'invasion (silencieuse) marocaine. Je l'ai dejà dit et j'y tiens, a quoi bon de nier l'évidence? Ou de dire tout bas ce que j'ai crié sur tous les toits avant de quitter -de mon propre pied- le pays il y a quelqus mois, le Premier fevrier plus exactement? Je n'y voulais pas croire mais ils me firent changer d'avis des mois et des mois sans toit -savoir sans domicile fixe (SDF), sans me l'attendre nullement, il faut bien le dire- qui eurent leur début, comme par hasard, à la veille de l'arrivée du pape Francois à Bruxelles, dont j'avais mis en question certains de ses positions dans ce blog et dans la toile et ses réseaux sociaux egalement. Ils me permirent donct -tous ces mois sans toit- de voir Bruxelles la nuit, à l'envers pour ainsi dire, et "pari passu" voir de mes yeux sur place  l'emprise et le controle, abusifs, exorbitants, exercés par cette communauté, qui se conduisent sans exagerer le moins du monde comme en pays conquis (ou invahi). Dans des etablissements ouverts encore la nuit  -comme les McDonalds-, dans les gares -Centrale et Midi-, ou dans les rues au centre ville -Ixelles ou 1000 Bruxelles- que j'avais fréquentés surtout, tous ces mois. Et pas seulement. Dans la gare du Métro [a Ixelles) également. où je me fis voler ma montre par des procedes fourbes d'une fausse politesse -du genre "quel joli montre laissez moi le voir un instant!"- ceci de la part d'un fonctionnaire de cette gare, marocain bien entendu, et portant l'uniforme de son emploi, avec des signaux distintifs d'autorité, s'il vous plait. Un éclairage corsé le mien, en effet,  au prix de me faire voler comme je viens de vous le dire, mais pas seulement: au prix egalement des tentatives (serieuses) d'agression dont je fus l'objet toujours par des marocains, comme par hasard.. Par trois fois, et en nombre (minimum) mes agresseurs de deux toujours. Et sans la moindre explication ni le moindre motif ou pretexte, si ce n'est le fait par trop visible que je n'étais pas un d'entre eux, mais un Européen autant dire, dans mon cas, un Espagnol comme les autres, catholique, protestant ou laíc à peine. Autant dire, Européen. Mais il n'y a pas que ca. J'oubliais de ce parcours agité que je viens ici d'exposer., une des étapes, la plus marquantes de toutes, peut-être. Gérée par un marocain -Tarek de son prénom- la maison d'accueil "Home Baudoin",au centre ville (1000 Bruxelles) m'offrit du logement pour quelques  jours, avant de me faire retourner à la case depart après que je m'eus trouvé dams la rue à`nouveau. Mais cette fois je fus mis, au bout de trois quatre jours, dans la rue â noveau, par un directeur suppléant, marocain également, qii s'avisa de ce que je parlais trop fort -sans injurier ou insulter personne, rien que pour me faire entendre dans un pandemonium pareil- et fit me mettr à la porte "manu militari" à l'aide de policiers appelés a la rescousse qui me tenaient fort et me mirent dehors, sans violence. HALTE A L'INVASION MAROCAINE! Ce que j'ai crié´sur tous les toits avant de m'en aller et retorner dans mon pays. Un cri qui me semble la glose apropié de tout ce que j'y ai vécu et que je viens de vous exposer ici.. Discrimination positive? Tu parles!  

lundi 27 janvier 2025

DUTROUX, SUSPECT NUMERO UN? (...)

 


"Maldoror", le filme par quoi le scandale (de nouveau) arrive. Inspiré dans le célèbre affaire qui traumatisa tout un pays, de par la nuée des questions surtout qu'il reussit a éventer restées alors jusqu'au aujourd'hui ans réponse. Mise ou remise (brutale) en question de tout le système en bloc d'un pays (judiciaire, policiere, politique somme toute) , et je dirais aussi de sa propre histoire. Autant dire en mettant en avant le  prodrome (sexuel) seul capable de donner réponse a toute cette nuée -comme une bombe a retardement- des questions également sans réponse et d'infirmer -a titre de clé ultime d'explication et interprétation- les versions les plus communément admises de l'histoire officielle -écrite par les vainqueurs-, et de certains de ses chapitres ou épisodes relevant notamment d'un passé qui ne passe toujours pas, comme c'est le cas peut-être plus qu'ailleurs ici, en Belgique.  Dans 'autres mots, le passé de cette dernière lors de la Seconde Guerre Mondiale et la remise sexuel en question que celle-ci entraîna, notamment de la part de l'un et l'autre des camps idéologiques engagé dans le conflit et véhiculant chacun d'entre eux tout un programme de modernité, principalement le camps des vainqueurs, mais subsidiairement aussi le camp des vaincus qui d'une certaine manière incarnaient l'Autre Modernité, comme on peut le déduire aisément. Dans d'autres termes, la politique -et les guerres qu'elle déclenche- exutoire du sexe, et celui-ci exorcisme dernier de celle-là. Ce qui explique d'ailleurs l'épais tabou entourant toujours cet autre film, de "Salò ou les 120 jours de Sodome" de Pier Paolo PASSOLINI, ayant comme cadre ambiant la République sociale et les derniers jours du fascisme et de la Seconde Guerre Mondiale, a Salò, au Nord de l'Italie (sous domination allemande) Ce film a son tour s'inspire dans l'ouvrage du même titre du marquis de Sade, dont l'action se passe à la fin du règne de Louis XIV (mort en 1715) comme dans un signe avant-coureur de la Révolution française. Affaire Dutroux, Belgique années 90, comme on le souligne dan le trailer annonciateur, a l'affiche a présent dans les salles au centre de Bruxelles. Une époque révolue -a jamais?- celle des mes premières années ici.Une Belgique a papa, toute douceur et toute sourires, celle que je vis et vécus de mes propres yeux a Ostende un des mes premiers lieux de séjour. Et qui allait me dire?  alors que je me promenait insouciant enfilant les arcades la bas, tout seul, en train de préparer -dans le silence et le calme de la nuit régnant dans ses lieux-, des examens des cours que je suivais alors à l'univ-, et c'était celles du palais royal qui allonge la digue et sa plage majestueuse, car peut-être pas très loin de là et justement alors se perpétraient les horribles crimes -des viols et disparitions de jeunes femmes flamandes elles toutes), à plusieurs,- dont personne n'en parlaient jusqu’à ce que l'affaire -avec la disparition de Julie et Melissa-finit par éclater au grand jour, a peine -comme le film se charge de mettre tout discrètement en lumière quelques semaines plus tard, avec la disparition des filles ci-dessus nommées. Figuration, parano d'un flic trop zelé, et dans ses trousses, de l'auteur de ces lignes? Peut-être pas, mais ma dure et assez longue cohabitation (forcée)  -dans des quartiers ou des prisons de haute sécurité suite à mon geste de Fatima,  avec le monde du crime organisé, me fait douter, et penser, suivant les pas du policier héros du film que le suspect numéro un, ne fut pas et n'ait toujours pas celui qui donna son nom à l'affaire Tel que l’illustre le look du suspect numéro un "officiel" -Marc DUTROUX- de la haute, d'une Belgique a papa, bourgeoise, en somme "de droite" celle qui s'agissait de démolir a tout prix dans le traitement médiatique de la presse mainstream. Et tel que semble le prouver le modus operandi de celui (récidive) que le film présente comme le vrai suspect (des constructions servant de cages pour les pauvres victimes enlevées) La tête de l'emploi Marc DUTROUX (et non pas celle de celui que le film annoncé met en avant?) De tout ce qui précède, il m'est permis d'en douter (je crois) Un conte (d’Épinal) de bons et méchants plutôt, où le rôles de victimes et de bourreaux de voient assignés convenablement d'avance, comme il faut., celle que nous servaient les media alors, a profusion.Un drame (tragique) en échange transposé sur le plan politique, social ou sociologique celui qui nous offre, impromptu ce film dérangeant. Où les bourreaux étaient issus (tous) de "la haute". Une Belgique à papa, de droite somme toute, celle des perdants lors de la Seconde Guerre Mondiale? 

Et les victimes en échange, tous de la classe ouvrière ou tout au plus (bien) d'une classe ou origine plus modeste tel que l'illustrent les déclamation des parents plus médiatisés de l'une des fillettes disparues au nom de la démocratie voire de la Résistance (*) Ou le rôle bien au devant de la scène de l'un des principaux personnages dans les marches et recherches des fillettes et dans les campagnes d'opinion qui s'en suivirent (2) Des fantasmes des "chevaliers blancs" -sur des réseaux et des complicités dans tous les domines (policiers y compris) a tous les niveaux? Comme le suggère maintenant certaines critiques du film? Peut-être, n’empêche que l'affaire DUTROUX reste toujours irrésolu à nos jours. Et de ce point de vue là, il justifie pleinement la plaidoirie (sincère, déchirante, douloureuse) du héros du film, le jeune policier mis sous la touche -pour excès de zèle- par ses supérieurs hiérarchiques delors. Nemesis, et l'heure de la vengeance, ce a quoi nous fait penser au premier lieu ce film. Comme une bombe à retardement en effet. 

Guerre de polices, aussi banal et aussi enfoui dans la mémoire collective fût-il, ce phenomène troublant, pure produit du système démocratique: c'est lâ la clë -ou le chiffre- et de l'affaire DUTROUX, et de ce film`à succès (et à la fois, quelque peu attardé) 

(*) Ce fut le cas de Carine RUSSO

(2) On pense a Arthur HAULOT, figure emblématique de la gauche et du socialisme belge, du temps de la Secone Guerre MonDiale. qui fraya la chronique d'actualité, juste avant que l'affaire n'éclate- de par ses déclarations explosives -il l'aurai pendu en haut de la corde de ses propres mains (sic)- à l'encontre de Leon DEGRELLE