"Quand on parle en francais, avait ecrit Joseph de MAISTRE, l'Europe entière écoute et comprend". Encore aujourd'hui? .On peut repondre oui, depuis l'Espagne ou je me (re)trouve. Mais ceci avec le décalage obligé de par la difference linguistique et culturelle entre les deux pays et également de par le retard proverbial à reagir et riposter des Espagnols du fait du clivage -entre l'au-dela et l'en-decà dont parlait PASCAL- que nous impose les Pyrenées-, qui fait des Espagnols un peuple en tension dialectique entre l'ouverture hors frontières -ce dont ils ont fait leurs preuves- et le repli sur eux-mèmes. Et c'est, tout ce qui précède, au sujet de l'idée -distincte, toute francaise- du grand Remplacement, qui aura fait soudain son irruption .en Espagne -avec tant de retard- dans le debat politique d'aujourd'hui. La Belgique, c'est un pays entamé (sic) par l'invasion (silencieuse) marocaine. Je l'ai dejà dit et j'y tiens, a quoi bon de nier l'évidence? Ou de dire tout bas ce que j'ai crié sur tous les toits avant de quitter -de mon propre pied- le pays il y a quelqus mois, le Premier fevrier plus exactement? Je n'y voulais pas croire mais ils me firent changer d'avis des mois et des mois sans toit -savoir sans domicile fixe (SDF), sans me l'attendre nullement, il faut bien le dire- qui eurent leur début, comme par hasard, à la veille de l'arrivée du pape Francois à Bruxelles, dont j'avais mis en question certains de ses positions dans ce blog et dans la toile et ses réseaux sociaux egalement. Ils me permirent donct -tous ces mois sans toit- de voir Bruxelles la nuit, à l'envers pour ainsi dire, et "pari passu" voir de mes yeux sur place l'emprise et le controle, abusifs, exorbitants, exercés par cette communauté, qui se conduisent sans exagerer le moins du monde comme en pays conquis (ou invahi). Dans des etablissements ouverts encore la nuit -comme les McDonalds-, dans les gares -Centrale et Midi-, ou dans les rues au centre ville -Ixelles ou 1000 Bruxelles- que j'avais fréquentés surtout, tous ces mois. Et pas seulement. Dans la gare du Métro [a Ixelles) également. où je me fis voler ma montre par des procedes fourbes d'une fausse politesse -du genre "quel joli montre laissez moi le voir un instant!"- ceci de la part d'un fonctionnaire de cette gare, marocain bien entendu, et portant l'uniforme de son emploi, avec des signaux distintifs d'autorité, s'il vous plait. Un éclairage corsé le mien, en effet, au prix de me faire voler comme je viens de vous le dire, mais pas seulement: au prix egalement des tentatives (serieuses) d'agression dont je fus l'objet toujours par des marocains, comme par hasard.. Par trois fois, et en nombre (minimum) mes agresseurs de deux toujours. Et sans la moindre explication ni le moindre motif ou pretexte, si ce n'est le fait par trop visible que je n'étais pas un d'entre eux, mais un Européen autant dire, dans mon cas, un Espagnol comme les autres, catholique, protestant ou laíc à peine. Autant dire, Européen. Mais il n'y a pas que ca. J'oubliais de ce parcours agité que je viens ici d'exposer., une des étapes, la plus marquantes de toutes, peut-être. Gérée par un marocain -Tarek de son prénom- la maison d'accueil "Home Baudoin",au centre ville (1000 Bruxelles) m'offrit du logement pour quelques jours, avant de me faire retourner à la case depart après que je m'eus trouvé dams la rue à`nouveau. Mais cette fois je fus mis, au bout de trois quatre jours, dans la rue â noveau, par un directeur suppléant, marocain également, qii s'avisa de ce que je parlais trop fort -sans injurier ou insulter personne, rien que pour me faire entendre dans un pandemonium pareil- et fit me mettr à la porte "manu militari" à l'aide de policiers appelés a la rescousse qui me tenaient fort et me mirent dehors, sans violence. HALTE A L'INVASION MAROCAINE! Ce que j'ai crié´sur tous les toits avant de m'en aller et retorner dans mon pays. Un cri qui me semble la glose apropié de tout ce que j'y ai vécu et que je viens de vous exposer ici.. Discrimination positive? Tu parles!