vendredi 19 octobre 2018

MOLENBEEK, "¿OU SONT LES FEMMES?"

L’une des séquelles –avec les discriminations flagrantes que le nom ou l’origine espagnole comporte (de facon surnoise, feutrée, non déclarée bien sûr, on est civilisé ici en Belgique), dans des occasion signalées comme dans la vie de tous les jours- du dénouement de la Seconde Guerre Mondiale et des clausules explicites et non explicites ou discrètes des accords de Yalta, l’est sans doute l’asymétrie flagrante du système politique en vigueur –ici et dans tous les pays civilisés, mais ici pour des raisons qui m’échappent (ne soit-ce qu’un peu), plus qu’ailleurs- en faveur de la gauche et et de l’extrème gauche qui, à l’heure actuelle, est mise davantage en évidence en Belgique –si besoin en était- par le traitement médiatique carrément discriminatoire et sélective face au doble phénomene qui vient de se produire en simultané, lors des récentes élections belges, de la montée de deux extrèmes (de l’échiquier), le Vlaams Belang a l’extreme droite et le PTB a l’extrème gauche, surtout dans certains communes conflictifs ce-ci, comme á Molenbeek où la formation gauchiste aura entrainé –tel que prévu- le retour aux affaires du clan Moureau (du nom de l’ancien bourgmestre socialiste, véritable dinosaure de la politique communale de l’agglomération de Bruxelles) avec la fille de l’ancien bourgemestre en tête, nouvelle bourguemestre de la commune, toute sourire, comme si rien ne s’était passé sous l’ancien mandataire dans cette comnune de Molenbeek convertie –sous son mandat précisement- en répoussoir de l’opinion publique de par l’image de commune entamée (littéralement) par la invasion silencieuse, savoir l’immigration non européenne musulmane, et image emblématique aussi –apres la serie d’attentats sauvages, oeuvre d’islamistes- de repaire des terroristes. Et de caution suplementaire de la nouvelle (et flamboyante) bourgemestre socialiste de Molenbeek, outre son nom (tître d’appartenance au clan plus qu’autre chose), vaut toujour son epoux (fidèle), socialiste comme elle, Carlos Crespo, president du MRAX –« contre le racisme et la xenophobie- et comme tel, « ayatollah du politiquement correxte », ainsi titré dans la presse belge- d’origine espanole (comme par hasard) et appartenant a la communauté issue du courant migratoire espagnole années soixante et septante, qui viennent représenter une exception flagrante en confirmation de la regle, savoir de la discrimination (non moins flagrante) dénoncée au début de ces lignes. Un Espagnol–tel que les Basques et les Catalans-, ceux issus de l’inmigration (anti-franquiste) de ces années là, pas, somme toute, comme les autres, même si ici on les prends pour l’original et non pour ceux qu’ils sont au fond, des déracinés (plus ou moins victimisées), trainant derrière eux en outre un sacré problème de mémoire (historique) –en clair, de guerre civile- qui les sépare ou les distingue fatalement du reste de leurs compatriotes. L’extrême gauche, vient de reconnaitre la principale rédacteur du journal Le Soir dans un tres sérieux editorial, est liberticide mais l’extrême droite, convaincue et convicte qu'elle est de l’inégalité des êtres humains,  et coupable de racisme (par définition) et partant, de tendances génocidaires. Plus mauvaise et plus coupable et sans pardon donc. La Liberte étant ainsi carrément (et crassément) opposée à l’Égalité et a la Fraternité, le premier terme de la trilogie sacrosainte et intouchable sort quelque peu malmené, le moins que l’on peut dire, aux dépens du deuxième et du troisième, dans la dite asymetrie et essayant de justifier l’injustifiable. Je ne veux pas néanmoins à dessein, charger davantage cette famille devenue por un instant bouc émissaire de la nouvelle situation et du nouvel état de mentalités (en état de choc apres les attentats), et je préfère les voir tels qu’ils sont, des pauvres otages d’un phénomène de societé –l’immigration sauvage-, de notre époque, qui leur dépassait pour tant de concepts, et des victimes bien sur de cette dictature feroce –mentale- qu’impose à une majorité de nos concitoyens la pensée unique et le politiquement correcte, plus forte et inéluctable encore, cela va de soi, s’il sont des mandataires publiques. Et comme illustration aveuglante de cete situation au lendemain des élections, vaut la photo prise de la nouvelle bourguemestre molenbekoise fêtant sa victoire électorale (voir photo) sous les acclamations d’une foule où l'on ne distinguait que des hommes –barbus certains d’entre eux (...)- au point qu’on n’a pas pu empecher les commentaires spontanés. « Où sont-elles, les femmes ? » Impensable, l’on conviendra, dans un autre contexte, pas musulman sous-entendu. Preuve, une de plus, d’une idéologie ambiante (et rampante) –le féminisme, l’anti sexisme et anti-machisme etcétéra, etcétéra- de géometrie (et géographie) variable. Molenbeek, une commune pas comme les autres. Dans un pays qui veut rester lui-même, malgré les apparences (et l’invasion musulmane) A bas l’Islam ! Haut et fort. Avant quíl ne soit trop tard (...)

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