mercredi 21 juin 2023

LA BELLE ÉPOQUE (DU GÉNÉRAL)

 

 


 

Rien à faire. L’Éternel (de l'Eternité) -qui faisait frissonner d’allergie invincible ce prof libre-penseur (éternel dans mes souvenirs, c’est vrai)- IL EST (id est), et belle et bien existe (à jamais!) C'est la première idée qui m'est venue à l'esprit en écoutant bouche bée (et larmes chaudes à l'appui, à quoi bon le cacher?) la mélodie  -de mes années adolescentes- mettant fin au film qui empruntait son titre à la chanson éternelle. Pour quoi? Procédure très fréquente dans l'industrie cinématographique ces derniers temps, a ce que l'on voit. Mais il y en a encore quelque chose, à ne pas en douter. L'éternité (sic) d'un même état d'esprit, jeunes et adultes et les enfants même, et d'une situation nouvelle , qui le restera  au bout des jours. Années soixante, époque éternelle, belle/époque. Jusqu'en 68 (et je n'entre pas en discussion bien entendu) Ou est-ce par hasard que ces deux chansons -d'une et même époque!- soient resté dans mes tympans (à jamais?) France éternelle, que dis-je, éternité du charme français! De la femme française -Sylvie, France (...)-, blonde  de préférence, et l'avouant de vive voix ou par écrit, que sais-je, le seul moyen de nous en voir -de m'en voir, moi, Espagnol- libres à jamais? Mais encore plus profond, plus inéluctable c'est la mise en valeur de la Culture (en majuscules)  que cette explosion de musique du peuple, de la foule, vint réhabiliter- de la France éternelle, de l'éternelle chanson/française, de sa douceur éternelle, d'une nouvelle/époque où l'on riait et l'on chantait et, comme je lisais hier dans ce temoignages de la mémoire visuelles que son les commentaires des discussions digitales, des réseaux sociaux, "où l'on dansait comme des fous dans une chambre, dans un garage, et on se bécotait dans le noir" (également comme des fous) Culture, Musique et Poésie allant de pair, populaires et élitistes à la fois, le grand scandale ma foi! Le secret de leur force, de leur accroche, tant d'années déjà passées, des années 60, époque dorée. C'est ce que l'on sentait et l'on ressentait comme une lubie, comme une obsession dans la presque totalité de commentaires (déjà vieux, en alluvion) du vidéos en question. Leur coté relâché (d'un engranage quelconque) et bénévole en même temps, bourgeois ou petit bourgeois, libre et désengagé, qui sait? France d'une nouvelle belle/époque? Peut-être mais ce qui est sûr c'est qu'elle portait un nom -d'emprunt ou vrai- sur tout autres, celui du chef d’État, qui sur elle et sur ses rires et ses espoirs ses joies et ses tristesses attentivement veillait. Celui -dont le nom est dans l'esprit de tous, savoir du Général -le Grand Charles- qui marqua son pays et son époque (de deux cotés de Pyrénées?). D’où le mystère de son secret. Entre la Grandeur et le Néant (De Gaulle, Dominique Venner díxit) Entre la gravité des affaires d’État et de la Politique (sacrée), et la plus pure et -gratuite- et frivole banalité. Et sous les airs de la chanson éternelle. "Je serais la plus belle, la plus belle pour aller danser"

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