lundi 16 avril 2018

ORDRE DE YALTA EN ECHEC EN SYRIE

Lignes/rouges, inventées tout recemment, ou plutôt cachées ou enfouies dans les clausules ou protocoles plus ou moins secrets ou discrets des accords de Yalta ? Tout y amène à le penser. Et avec cela tout s'explique de la crise actuelle, où le monde entier a été mis a noveau au bord du gouffre d’une troisième guerre mondiale, lors des frappes alliées –France, Angleterre et Etat-Unis- -comme au canal de Suez- en Syrie (voir photo, sur Damas) Car ce n`est pas seulement le regime d'Ássad qu’y etait mis en question, mais surtout –voila la clé- tout l’ordre ou plutôt l’equilibre international (pour le moins bancal, comme il s’avère maintenant) imposé dans la Conference de Yalta par les vainqueurs (en 1945) de la Seconde Guerre Mondiale. Conference de Yalta, traité de Versailles (.../...)

 (.../...) « Une partie trop douce pour ce qu’elle avait de dur », avait ecrit de ce dernier, Jacques Bainville. un des maitres à penser –et chef d´’école de ses historiens- de l’Action Francaise. En faisant reference par là, d’un coté, a la sauvegarde de l’unite de l'Allemagne que le traité n’avait pas pu empecher, en effet, ce que Yalta par contre eut soin d’éviter, et de l’autre coté, aux réparations et amputations territoriales qui se vit imposées l’Allemagne vaincue, ce dont les vainqueurs en 45 ne se soucierent le moins du monde, convaincus -ce qui n’était pas le cas des artisans de Versailles-, qu'il travaillait –comme dans l’Empire romain (Nietzsche díxit) – « dans la durée », c’est à dire pour toujours, pour l’eternité. Le désarmement, voilà la clé, ou plutot la dissuassion nucléaire qui le remplaça d’un traite ou d’une guerre a l’autre. Un equilibre de la terreur auquel echappent –ou se derobent en tout cas plus facilement, de par leur nature- les armes chimiques, un défi qu’il fallait donc contrecarrer par tous les moyens, en les discalifiant ou jettant sur elles l’opprobe d’abord, sur les plans historiques ou moraux –ou tous à la fois- pour leur rôle réel ou présumé dans l´holocauste juif, cést a dire dans « le crime contre l’humanité » Une arme nouvelle ou secrete salie a jamais dans "le crime contre l´humanite" ne pouvait etre que criminelle par definition en effet, dans la guerre comme dans la paix, aus frais néanmoins de la verite historique la plus élémentaire, savoir, de l´emploi de la part des vainqueurs –un fait historique irréfutable, et dans les deux camps d’ailleurs- de ces armes chimiques dans la guerre du 14-18, qu’on crut pouvoir bannir désormais de la memoire collective (de l´Humanité) Pure hypocrésie et logique partisane de vainqueurs (des deux guerres mondiales) En quoi en effet, etait-elle plus inhumaine, une arme a tuer qu’une autre, en quoi était-elle plus cruelle la mort des victimes gazées que celle des brulées vivantes, comme ce fut le cas des bombardements –des Alliés vainqueurs- dévastateurs à l’extrème, a Dresde, à Hambourg, à Hiroshima et à Nagasaki, ou –moins connu- celui de Courtrai, en Belgique (surtout zone flamande) ? Car c’est là la racine historique et diplomatique de célebres lignes/rouges, qui ont servi maintenant d’alibi a point nommé dans l’agression contre un état souverain, sans concertation préalable et en dépit de toute légalité internationale. Attaque chimique à Douma (Ghouta orientale), vrai ou faux ? La question n’est pas là –au risque, en avançant cela, de passer pour cynique de trop-, tellement cela s’est averé en effet une pratique reguliere voire routiniere de la part de deux parties en lice tou au loin de la guerre en Syrie, mais l’ìmportance stratégique de ces lieux c'est ce qui explique en échange l’enjeu auquel nous assistons, et c’est d’une campagne d'opinion publique de la plus grande ampleur –comme il y a trois ans dans la première crise du genre- qui se prête à toute sorte de spéculations, savoir, de provocation calculée, des montage –de medias o des parties impliquées, interposées, et partisanes, dont les Casques Blancs, trop connus pour leur soutien averé de la rebellion- ou de la plus grossière manipulation. Et c’est suffisamment illustré ce que je prétends établir ici dans la prise de Douma (principale place dans la Ghouta orientale ) par l’armee syienenne. En effet tout se passe comme si cela avait été le declencheur ou détonant dernier de l’intervention alliée et aussi -cela va de soi-, des bravates –par des non moins celèbres tweeters (nocturnes) interposés- de Donald Trump. Les langues se delient entretemps, du fait ne fut-ce que de la terreur, ou dans d’autres termes, de la perspective spectrale, terrifiante, d’une déflagration mondiale qui risqueriait fort d’être la toute denière. Partout et ici en Belgique aussi. Les Belges ont la mémoire longue, ainsi le montrent du moins certains déntre eux, regardant toujours –même dans le occasions les plus banales et insolites de la vie de tous les jours (et ma foi je sais de quoi je parle) - quatre ou cinq siècles en arrière, vers le temps (honni) des Espagnols. Une période beaucoup plus récente semble néanmoins sillonné des leurs grandes lacunes de mémoire ou des plus flagrants de leurs oublis. Comme ce fut le cas du bombardement d’Ixelles (7 septembre 1943), commune où je réside depuis une vingtaine d’années, cruel et devastateur en extrème, en effet, entoure des plus grands silences et de plus épais des tabous, dont je n’eus connaissance que depuis de longues annés de séjour dans cette commune en effet. N`y eut-il pas des armes chimiques du moins en apparence ? C’est vrai. Fut-il moins cruel et devastaeur pour autant ? De même ( a croire Hugo Claus hors de out soupçon) dire de Courtrai (...) A bas l´hypocresie devenue la seule règle morale dans les champs des relations internationales !

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