vendredi 21 septembre 2018
MARINE LE PEN ET LA PSYCHIATRIE (ET MOI)
Marine Le Pen refuse un suivi quelconque à l'examen psyquiatrique –vache!- demandée par convocation judiciaire suite a ses tweets –déjà vieux- où elle montraient des photos (de grande crudité, parait-il), des attentats sauvages de Daesch, Armée Islamique, dont la France était alors l’objet, faisant parmi des civiles, des nombreuse victimes. Et débutant ceux-ci d’abord (nota bene) dans les boites de nuit, comme dans la guerre d’Algérie (...) La mesure dont elle est frappée maintenant (déroutante, ma foI, en extrème, et à première vue inexplicable et injustifiée) aura provoqué une forte tollée, aussi bien parmi les proches de la dirigeante du Front National (devenu Rassemblement National mantenant) comme chez certains analystes (hors de soupcon) de la presse « mainstream », garants supposés du politiquement correcte, bien sûr. Avec des allusions aux pratiques des régimes ou systèmes totalitaires, à l’archipel Goulag, etcétera, etcétera (...) qui ne sont nullement deplacées ou hors des propos, loin de là, mais qu’ils semblent creux, le moins que l’on puisse dire, aux ouïes d’un secteur d’opinion, avec la force de leur convaincre en moins, je veux dire, et c’est qu’elles manquent fatalement, ces reflexions, du poids ou la force de gravitation que donnent fatalement les arguments du vécu ou de la propre expérience, en l’occurrence, celle de l’auteur de ces lignes. Car le sentiment m’assaille une fois de plus, de servir d’avant-coureur, voire de me trouver nollens vollens a l’avant-garde ou en premier ligne du front, et c’est de la bataille d’idées ou de la guerre de propagande qui se dessine nettement derrière la chronique d’actualité la plus brulante –à la veille où nous sommes des elections europeennes-, electrifiée au surplus par les plus recents sondages qui donne coud a coud le parti au pouvoir (d’Emmanuel Macron) et le RN de Marine Le Pen. Et si l’on ajoute en plus la toute recente mise en examen –curieusement passé soigneusement sous silence des médias francais- de son père, Jean Marie Le Pen pour ses déclarations –déja vieilles aussi- sur les immigrés -suite à leur tour a d'autres siennes sur le cas de Maurice Audin-, cela nous donne la mesure exacte du défi ou du danger que l’offensive surnoise, insidieuse –davantage letal, et dangereuse ma fois- de l’actuel president francais de la République, Emmanuel Macron, pose a la position identitaire, européenne (si l’on peut l’appeler ainsi) Le spectre de la psychiatrie ou de la psychiatrisation (infondée) m’aura porsuivi inlassablement une grande partie de ma vie, à maintes reprises, en effet. Et en Belgique encore plus. La dernière occasion en date ce fut lors de ma détention devant le Palais Royal pendant la visite du roi d’Espagne Juan Carlos a Belgique en mai 2000, où je fus soumis a un examen psychiatrique en bonne et due forme d’où on dut conclure a mon bon état de santé mentale et au fait de ne pas constituer (sic) danger social, aucunement. J’avais dit le dernier exemple en date et j’aurais du dire l’avant-dernier, car il m’attendait encore un autre, un peu semblable a l’anterieur, et non moins redoutable (comme une boule puante)-les motifs (raisonables) ou la justification en moins et le cote surnois et insidieux en plus. Et ce fut lors de mon hospitalisation cela fait un peu plus d’un an, suite a l’ACV –accident vasculaire cérébral (léger)- dont je fus victime, dans le contexte d’une tres grande tension, suite a mon expulsion de la Royale sous le poids d’accusations (calomnieuses, sans preuves) de harcèlement sexuel (...) S’en suivit, de l’AVC, une expérience pénible et traumatisante, de hospitalisation à laquelle, au bout d’un mois, je mis fin, de mon propre pied et de ma propre iniative, –moyennant une declaration ("lettre de décharge") signée ou l’on assume ses propres responsabilités- ce qui est parfatement compris dans le cadre legal belge. En théorie seulement, comme il me fut, hélas, donné de constaster, a mes propres frais. Car je ne pus atteindre mon but –de sortir de la (de cette sorte d’archipel hospitalier)(...) - qu’à la troisième tentative, et au prix de devoir affranchir toute sorte de barrières et d’obstacles –por ne pas dire des barreaux (...)- émamants de la part du personnel comme de la direction. Et ce fut en réponse aux brimades de toutes sortes –aussi bien de la part des infirmières que de la direction- dont je me voyait l’objet, resultantes en partie (ce qu’il me serait aisé de prouver) du systeme de la (dite) discrimination positive (savoir, en faveur de inmmigrés), mais surtout de la volonté obstinée voire de la fixation aveugle de la part de la direction du service –la neurologue en charge, de l’Hôpital Molière- de me clouer (pour le reste de ma vie a ce qu’il parait) à une chaise roulante sous des pretextes futiles, insidieux et infondés, comme ils se sont averés par la suite, plus d’un an passé après que je m’en etais enfui de là, par mes propres pieds et à mes propres frais (....) Mais le spectre de la psychiatrisation où il est ici question –pour des motifs extra-médicaux- ressortit brutalement aussitôt après, de par le rapport que la neurologue en question s’était cru devoir d’accrocher (a mon nom) dans le catalogue des ordinateurs des réseaux –hospitaux Iris Sud- dont fait partie l’hospital Molière, où elle rend ses services. Où elle se permettait de refléxions, tout à fait deplacées inconvenientes et malvenues, sur mon passé judiciaire et sur mon refus de me soumettre (volontairement) –ce que j’assume- à des nouvelles expertises psychiatriques (non judiciaires) Sur base à des confidences soutirées -sous pression psycologique il faut supposer- de quelqu'un de mes proches. Et de toile de fond, c’était assurément le bruit fait par mon expulsion de la Royale et de motifs invoqués (...). Ceci, dans le contexte on ne pleux plus ennuyeux en outre, de la vague des suspicions et d’emoi collectif suscitée par l’irruption, alors justement (...), du mouvement Me Too, et dans le cadre d’un service, d’un secteur, de l’établissement hospitalier en question, géré (exclusivement) par des femmes, ce qui plante inmediatement le décor (...) Par où on voit néanmoins que mon cas et celui de Marine Le Pen ne sont pas tout a fait comparables, à ceci pres que cela peut lui servir absolument à titre de guide et d’orientation -ce que je n’aime pas mieux- de ce qui pourrait désormais (Dieu lui en garde) lui arriver, pour d’autres motifs et dans d’autres circonstances. Cela ne lui arrivera pas néanmoins du á sa decision de ne pas se rendre a la convocation. ¡Bien joué, Marine Le Pen !
mardi 4 septembre 2018
À BAS L'ISLAM !!!
Police de moeurs islamiques ici en Belgique? Dans la piscine Calypso (communale) -voir photo- (en Watermael-Boitsfort)? À visage découvert. Car c’est celle que j’ai fréquentée de facon reguliére (et paisiblement) une fois par semaine, dimanches et jours feriés, ces dix dernières années de mon séjour (trente ans déja) en Belgique. Et c’est au sujet de l’incident (sérieux et tout sauf banal ou anodin) ou j’aurais été mêlé et qui m’aura valu –encore !- une nouvelle expulsion dans la la liste qui menace de s’allonger –Bibliothèque Royale, ULB, Bar d’Ixelles « l’Últime Atome » (...) et qui montre carrément le problème que commence poser pour certains –peu ou prou- ma présence en Belgique et plus exactement à Bruxelles où j’ai résidé de facon ininterrompue, presque toujours dans la commune d’Ixelles, les vingt dernières années –les deux tiers donc de celles ayant rèsidé en Belgique. A bas l'Islam !!!. A visage decouvert, oui, à pleins poumons et à mes risques et perils et tant pis pour les consequences. Et n'en déplaise à Alain Soral (¡chapeau tout de même pour son courage!) C’est le cri que j’ai proferé, à cor et à cri vraiement – et « sans d’autres temoins (dans ma défense) entre le ciel et le terre » (...), et je persiste et signe- hier dimanche, lors de l’altercation aux portes de cette piscine communale, qui m’opposa -devant toute sa famille, ses frères, ses femmes et ses (innombrables) marmots- (...)-, à l’un des maîtres nageurs (musulman) de l’établissement, après (nota bene) quìl m’ait defié au duel quelques minutes auparavant en présence des tèmoins-, devant mon refus d’obtemperer a sa prohibition de poursuivre ma baignade à cause de mon maillot de bain dont il ne sut pas m’expliquer, ma foi, en quoi il enfreignait le réglement, si ce n’est pas par quelques remarques confuses sur le tissu –« coton » ou pas "coton"- de la pièce en question. Qui faisait penser ma foi à se trouver devant une police de moeurs (parallèle) visant l’observance estricte, à tout prix, de certains critères vestimentaires de nature incontestablement religieuse -et dans tous les cas de figure absoluement étrangers au réglement interne de l’établissement´-, ceci devant un maillot -pas un Bermuda attention- qu’íl jugeait de toute évidence faire une entorse au règles de la décence et des bonnes moeurs. Ce qui n’était nullement le cas, et je le defie lui ou n`importe qui à essayer de prouver le contraire. D’autant plus flagrante et discriminatoire cette imposition –fut-elle « positive » ou négative- qu'elle contraste fort avec la tolerance dont furent l’objet jusqu'íci –et dont je fus témoin- les femmes (maghrebines par règle générale) se baignant sans se couvrir la tête, en faisant ainsi cas omis de maintes affiches enjoignant le contraire, postées toujours, tout au long des murs de l’établissement. Peu importe d’ailleurs d’essayer de leur convaincre ou pas. Car le problème que pose dans les pays occidentaux l’application (stricte) de la Charia ou loi islamique se trouve justement lá, dans la sphère des comportements individuels et plus particulierèment vestimentaire, et partant dans tout ce qui touche de près ou de loin –dans cet entourage- le domaine du sexe ou de la différence des sexes (...) Ce qui fait –et suite en cela au phenomène de l’inmigration musulmane- des piscines et d’autres établissements publiques, des vrais champs de bataille, et ma foi je sais de quoi je parle. Or, ils n’ont pas le droit de faire de la police de moeurs, ni dans des piscines ni ailleurs, ceux que la loi n’habilite pour ce faire. Eh bien, je me trouve maitenant devant des faits accomplis, et c’est devant la mesure d’expulsion de la piscine Calypso qui m’est notifie par un courriel (en date d’aujourd’hui) du directeur de l’établissement, M. Pascal Duchatel -qui ne me connait pas, que je n’ai jamais rencontré dans ce longue intervale (dix ans déja !)- á mon encontre. Et qui n'a même pas pris la peine de m'écouter personnellement avant de m'expulser.Et c’est pour mon comportement « agressif » et « xénophobe » et « ayant entendu les parties interessées ». Où il omet de m’inclure, cela va de soi (encore une fois) Pourquoi ? En raison d’être qui je suis, de mon passé, de ma nationalité ? J’étais tente de laisser les choses telles qu’elles sont a présent, mais les événemments où j’aurais été mêlé ces derniers temps –in casu, mon expulsion de la Royale- nous ont rendu (tous) beaucoup plus sérieux (Nietzsche dixit) dans les choses de l’esprit. Et les choses ne vont pas rester là, ma parole. Et c’est pour cette flagrantre violation des droits de la defense et de la presomption d’innocence à laquelle nous assistons. Assez de rester sans voix (aucune) au chapitre alors qu’on se laisse (scandaleusement) monter la tete à mes depens, qu'on leur casse -sans arrêt- du sucre sur mon dos, pour compte de mon présent ou de mon passé (convenablement médiatisé)! Dupes, dindons de la farce, une fois, mais pas tout le temps. A bas l’Islam et Vive la Belgique (fidèle a elle meme) ! Car l’Identité –to be or not to be- c’est ce qui compte. (Ou est-ce que les seuls Espagnols qui ont le droit de s’afficher identitaires en Belgique, ce sont les Catalans ?)
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