mardi 20 mars 2018

ASSAD A GAGNÉ LA GUERRE

Assad parmi les siens. La photo (ci-devant) prise lors de sa visite (éclair) aux lignes du front de la Ghouta orientale ces dernières heures vaut, croyez moi, pour le dernier bulletin (último parte) de guerre franquiste lors de la guerre civile espagnole (le premier avril 1939). Le bulletin de la Victoire. Et certains, j’en suis sûr, surtout ici en Belgique, feront comme toujours, comme d’habitude, comme si rien n’était, comme si Assad n’avait pas –en fin- gagné une guerre au sujet de laquelle tous ou presque tous, dans les medias et les classes politiques des pays ocidentaux (et surtout en Belgique) lui donnaient perdant à coup sûr, et lui augurait le triste (et macabre) sort de Moammar Gadafi, son ancien allié et ami, comme ces lycéens (des mineurs) l’annoncaient sur une affiche insidieuse (« Docteur, c’est maintenant ton tour ») plaquée dans les rues de Damas, et ayant allumé la flamme qui propagea (comme cèst ainsi toujours dans des cas semblables) le feu de la guerre civile. Et n’en parlons pas ici en Belgique, et non seulement sa classe politique, celle universitaire aussi et academique comme l’illustrait cette décision hautement politique (tel qu’elle s’avère maintenant), du recteur de l’ULB, et ancien doyen de sa Faculté de Philosohie et Lettres, Didier Viviers, d´ínterrompre à ses propres frais la collaboration scientifique et archéologique de l’ìnstitution qu`íl representait, avec la Syrie dans le cadre des programmes des fouilles et excavations des ruines d’Apamèe -pure merveille archéologique et architectonique au Proche Orient et mission belge la plus ancienne dans ce domaine (1930)-, en signe de punition ou de représailles contre le régime syrien en place, qui semblait alors sous un soeil couchant au cours de la guerre dans le pays. « Ethiquement hors de question" de porsuivre les travaux, ainsi fut-elle justifiée la suspensionn du programme belge des fouilles. De la pure langue de bois, et pari perdu hélas, il faut le crier maintenant sur tous les toits (et bien sûr à mes risques et perils) (...) Bart De Wever surprend maintenant à nouveau l’opinion publique belge et ses médias par des déclarations rétentissantes où il se sera montré aux dires des médias plus identitaire (sic) que jamais, outragés qu’il se seront sentis par des comparaisons du politicien flamand –parfaitement justes et pertinentes a mon avis et je parle de mon vécu les premières années de mon sejour ici en Belgique-, au quartier anversois des diamants (et diamantaires) entre la communauté ortodoxe juive (surtout à Anvers) et le colectif musulman en Flandres, et leurs comportements respectifs, où on lui aura retorqué que s’exprimant de la sorte il ne s’inmisceait pas moins dans la crise et les politiques du Proche Orient, comme si c’était de la chasse gardée (des tenants, sous entendu, du politiquement correct). Et comme si on mettez au même niveau (pensez-y !) le conflit (eternel) du Proche Orient avec la guere civile espagnole (et ses suites), interminables tous les deux, à cette différence près que dans le second, tout le monde –et n’en parlons pas de certains Belges- ont (on dirait) un droit de regard, ce qui est absolument exclu dans le premier des cas. On a pourtant tout à fait le droit a éxprimer son propre avis sur ce conflict ainsi que sur ses sequelles plus ou moins collatérales telle que la guerre civile syrienne. Franco et Assad. La comparaison inévitable car lópinion publique mondiale semble avoir parti pris â l’encontre de chacun des deux nommés. L’un fut entrainé –en raison de ses charges et ses hautes reponsabilités dans l’armée- à une guerre civile qu´íl n’avait nullement allumée ni préparée de quelque manière qui soit, l’autre s’était borné à resister –en reaction de legitime défense- á un mouvement insurectionnel –se répandant comme une trainée de poudre a la faveur de printemps arabes- qui voulait de toute évidence aussi bien son poste que sa tête (et sa peau) comme il s’avera être le cas du colonel lybien, sauvagement exécuté en dépit et en contravention de toutes les regles et conventions internationales. Et il avait dit résoluement non, ne pas vouloir jouer ce pion damé d’avance et placé´(nota bene) sous le stricte contrôle et surveillance de l’etat israelien. Des revoltés tous le deux, le président syrien et l'ancien chef d’état espagnol, face à des plans –de domination mondiale- qui leur passaient en survol par dessus la tête.

Alain Soral, le controversé polémiste français aux prises à la justice de son pays ce deniers jours pour des acusations de revisionisme et negationisme et xénophobie (et que sais-je encore) aura dénoncé l’éjection (sic) de Francois Fillon aux presidentielles francaises victime d’une campagne médiatique enragée des médias obieissant (aveuglement) aux ordres des garants et exécuteurs -dans la presse « mainstream » pariant tous pour Emmanuel Macron- de ce plan de domination mondiale toujours à l’oeuvre, aujourd’hui, à l’aube du troisième milennium, comme hier, au milieu des annés trente. Et ce plan de domination mondiale passe joujours fatalment par le Proche Orient et, cela va de soi, il passe aussi par le confict syrien qui se joue aussi bien dans le fronts de guerre sur le terrain que dans une guerre de propagande intermittente et interminable faisant rage ´dans le Ghouta oriental comme dans la bataille d’Àleppe et à travers les médias (main stream) du monde entier. Les vents ont changé donc.

Car le ressac du conflict syrien menacait de tout engloutir ou envahir, ma foi. Par cette vague surtout des refugies politique (mêlés a des innmigrés économiques de toute sorte) qui se etendait partout en Belgique –et n’en parlons pas d’autres pays europeens- dans la rue comme au sein de ètablissements publiques (universités et bibliothèques) Des enfants choyés par des autorités et respnsables belges de toute sorte, omniprésents, qui rien ne semblait arreter dans leurs pretensions, leur arrogance et outreuidance –et leur sectarisme et fanatisme (politique et historique et culturel et religieux à la fois) et parti pris par dessus le marché-, jusque au coup d’arret que fut –qu'on le vit bien d’ici-´le dénoument -traduit par un retentissant fiasco- de la crise des armes chimiques cela fait trois ans, lorsque la troisième guerre mondiale faillit avoir éclaté, si le president américain avait puni -comme il se vantait de vouloir le faire- le franchissement par le regime syrien des soi-disant lignes rouges. Malgre tout ca, malgre cette formidable pression médiatique, politique et diplomatique internationale, Bachar-el Assad. aura su résister un si grand défi. La nouvelle –telle que l’aurait appellée Frédérick Nietzsche- la plus terrible et plus extraordinaire de notre epoque. Assad a gagné la guerre. Bonne nouvelle !

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