samedi 24 mars 2018

WEINSTEIN ET ANTONIO BANDERAS

Weinstein –Hervé, Harvey, de son prénom-, tout le monde sait qui c’est, qu’est-ce qu’íl est, comme tout le monde le savait de Dominique Strauss Kahn, un cas (scandaleux) comparable pour tant des concepts au sien. Et de grace je ne dis –à ce sujet- plus rien. L’inventeur, c’est lui, le detonant, l'allumeur de la guerre de sexes. ¿Rien à voir l’un et l’autre coté de la personnalité du bruyant cinéaste de Hollywood, l’un et l’autre de ses aspects ? Rien n’est moins sûr, le contraire, je dirai même relève de la pure évidence.L’íllustrent ces campagnes –« balance ton porc » (and so on)- qui furent déclenchées suite aux revélations scandaleuses sur le Grand Porc (Weinstein) , le porc/attitré, numéro/un, a l’image duquel sont –nous sommes- portraité et derriére lequel (comme il faut) nous sommes alignés tout le reste (des porcs) Mais certains -cela soit dit d’entrée-, nous ne nous reconnaissons pas du tout dans ce jeu de glaces ou miroirs si sordide et suspect. N’empêche, nous nou sentons fatalement dans l’oeil du cyclon depuis un moment. Figurations genre parano, diront certains. Rien n'est moin sur non plus , et la preuve à l’appui est de l’ordre chronologique à peine : cinq mois après, presque jour pour jour, de mon eviction (« manu militari ») de la Bibliothèque Royale (de Bruxelles) accusé sans preuves de harcelement sexuel(sic)  (6 mars 2017), ce fut à peine alors (le 5 octobre 2017) que fut declenche « urbi et orbe » le scandale Weinstein et avec lui toute cette campagne tous azimuts –et dans les médias et les réseaux sociaux- sur base des plus grossière amalgames entre harcelement et ce qui ne l’est pas, d’un coté –drague insistante, maladroite (...) (and so on)-, et de l’autre, toute sorte des horreurs das le domaine de la sexualité –des crimes, des violences, des viols-, chacun plus infame plus affreux et plus éhonté et scandaleux que tout le reste. Je suis conscient en empruntant ce terrain miné, ces sentiers tortueux, des gros tabous, ma foi, entourant ce qu’íci je veux dire, ou du moins ce que je prétend. Et une illustration flagrante me l’apporte le congrès -des femmes, sur les femmes et pour les femmes- "Sexologie et Ideologie (du respect !) à l'âge de institutionalisation" en cours à l’ULB à l’instant même où je rédige ce lignes, avec le scandale Weinstein -mécène de Hillary Clinton nota bene lors des dernières présidentielles- en toile de fond, et animé –et je ne dis exprès aucun nom propre- par des intervenantes dont certaines furent melées à mon affaire d’expulsion de tout près. Acune mention nénamoins (ne fut-ce que purement verbale) en effet, n’y figure, n’y est attendre –pensez y- du cinéaste affreux par qui le scandale arrive, de qui c’est et de ce qu’il est comme personnage, du scandale et aussi de tous ces bruits de débats et congrès et campagnes de prise de conscience, de dénonciations, bref, de la guerre de sexes. Et une autre illustration en extrème flagrante l’apportent le célèbre star de Hollywood Antonio Banderas et ses récente déclarations dans le journaux de la grande presse se voyant (fatalement) questionné par l’affaire Weinstein. Une figure emblematique. Antonio Banderas, de stars cinématographiques espagnols au grand succés –au-delà des Pyrénées-et exemple suprême (et non moins piteux) des espagnols/de gauche –come une particularité ethnique voire balcanique, ma foi- qui triomphent à l´étranger et se sentant par là dans le devoir, comme un prix de péage –comme les braves lacais ou des subalternes soumis en effet quíls sont- de salir la figure de l’antérieur chef d’état pour ainsi dissiper des equivoques –et des mauvaises images superposées- et pour sauvegarder ainsi leur brilliantissimes carrières, d’emprunt d’ailleurs –soit dit en passant pour la plupart d’entre elles. « C’est avec Franco que nou etions tous coupables sauf preuve (dans l’innocent) du contraire », vient-il de déclarer maintenant. Emboitant ainsi le pas des adversaires de ces campagnes de dénonciation abjectes , mais seulement (au risque si non de ètre classé ipso facto et traité comme un porc, un porc pure/race, par dessus le marché, autrement dit, espagnol) (...), au prix de fournir illico de gages crédibles et suffisants- –d’antifranquisme, bien sûr- chez les Espagnols de Hollywood. Comme le fit d’ailleurs celui qui passe pour être –en Espagne en tout cas- son amant de plus jeune et le patron de sa (belle) carrière, Pedro Almodovar, en tirant aux boulets rouges contre le PP et Jose Maria Aznar –et non pas contre les islamistes (pensez-y !)- à Cannes, lors des attentats de Madrid (11 mars 2004) Lui demande-t-on autant dans ces milieux manitenant ? Car par là il fait éveiller fatalemen toute sorte de soupcons. D’ailleurs il laisse entendre lui-même, dans ces déclarations, de l’avoir, lui, bien connu, le dit Weinsten, et d'être beaucoup plus au parfum ou au courant qu'il ne l`avoue  de toutes ces (sordides) affaires qu'eurent dans le tout puissant cinéaste son principal protagoniste.(...) Lui aussi en somme, dans l’oeil du cyclon, Antonio Banderas, le cinéaste espagnol choyé des médias de la presse main /stream, fils d’un policier -soit dit en passant- de l’ancienne époque (...) Qui entend se racheter maintenant (encore) se caractérisant, pour son nouveau film, de Picasso (voir photo), l’icone espagnol de gauche plus vénéré au monde entier, Le sort fatal (je veux dire , le retournement, montrer, vite, patte blanche aux nouveaux maîtres du monde) on dirait des Espagnols -de droite ou de gauche d’ailleurs-, qui se risquent un jour ou l’autre au-délà des propres frontières. Vae victis. Le triste sort, la fatale destinée des vaincus –ou des perdants- pour les siécles des siécles. Car tout se passe comme si (...) (que l’on dirait suivant la clause de style marque ULB, à la mode là-dedans, dans mon époque en effet) (...) Tout se passe en effet comme si dans cette affaire ou a cause de celle-ci, certains se voient obligés de raser les murs –comm ils le font d’ailleurs depuis cinq siécles- et d’autres par contre, pas de raser les murs (pensez-y), mais de agir se croyant désormais tout permis (...) Comme de la race ou du peuple elu, depuis 1945. Eux, et nous par contre, on le voit: des « conquistadors » à des chiens battus. Jusqu’a quand serons-nous le nouveaux boucs émissaires, parbleu?

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