Les défections ou désertions se succèdent en cascade, sans arrêt à intérieur du RN, l'ancien Front National, la dernière en date pas la moindre d'elles en effet.
Au point que cela prend -comme le dénoncent les médias- la tournure
d'une OPA (offre publique d'achat), ce qui, fut-ce vrai, ne nous
convainc pas le moins du monde, à quoi bon de le cacher. Car autre chose
c'est de vaincre et de convaincre comme Eric Zemmour réussit
(brillamment) a en faire jusqu'ici -auprès de plus jeunes et plus
déterminés en tout cas, mais tout a fait!-, et toute autre est cette saignée (sic) des cadres et militants et non des moindres
(telle qu'une lente agonie) que le candidat vedette de la
présidentielle semble avoir entrepris pour de bon d'infliger, et avec ma
foi un foudroyant succès. Se faisant écho ainsi des plaintes de la
Marine de vouloir (sic) les tuer. Est-ce vrai? Car le fait ne le semble
pas moins, et c'est celui du manque des propositions (sic) que d'après un des (hauts)
responsables du parti Reconquête s'attendent-ils toujours (dise-t- il) de la
partie d'en face à recevoir. Ayant trait ceci -ce refus- a la
personnalité de la Marine? On peut y songer, d’après les reproches
-d'excès d'autorité voire de népotisme -venant mème de son père.
("L'écarteuse" l'appel-t-il en allusion à ce flot de militants -en
trombe-à répétition dont les purges du FN -nouvelle direction- aurait fait irruption
jusqu'ici. Nous l'ignorons, mais toutefois nous devinons
aisément à la fois les difficultés de diriger et gérer une quelconque
formation politique, en France au surplus, et encore plus d'une
formation pareille. Affaire réglée de famille donc tout ces querelles,
d'héritage qu'on dirait (non moins déchirants et douloureuses, par dessus le marché)? Où père, fille, petite fille et maintenant la nièce ou arrière-petite-fille même,
entrent l'une derrière l'autre en dance sans un (véritable) chef
d'orchestre ou maitre du bal derrière? Ou peut le penser et réagir par
la suite de par l'indifférence la plus totale ou
le manque (olympique) d’intérêt. Ce que j'avais choisi de faire en
m'engageant à distance mais pas moins complétement sur le fond derrière la
candidature d'Eric Zemmour, chose que je ne regrette pas. Je me demande
tout de même -à ce que l'on peut en conclure eu égard à ce sentiment qui me gagne,
qui risque de m'envahir devant la tournure que les événements semble
prendre au jour le jour- si on ne me demande un peu plus en effet.
Je n'y suis pour rien, je vous précise volontiers d'emblée, ni dans la scission en cours ni dans celles qu'ont (drôlement) secouée le parti depuis quelques années. Ce qui me rend plus à l'aise à l'heure de formuler mes analyses et de faire mon choix a l'avenant. Je regrette et je ne approuve nullement pas (loin de là!) la défenestration du père par sa fille que beaucoup de militants -dont la plupart des transfuges à l'heure actuelle- semble lui en tenir rigueur, ne l'ayant pas du tout digérée A qui, ou a quoi bon se plaindre?, réagissent d'autres, lui qui avait obstinément -contre l'avis d'une bonne moitié de ses partisans- voulu imposer sa fille, tel qu'un roitelet africain (sic) -déplorent certains témoins- l'aurait également fait. Et ainsi de suite, toutes les plaintes et reproches qui leur tombent maintenant comme des averses enragées-, sur la tête à tous les deux, père et fille que l'approche de la débâcle semble pour de bon rapprocher. Et c'est ce que nous nous sentons du coup dans le devoir impérieux d'éviter (mais toi tu te prend pour qui?) ou du moins endiguer.
Car cela nous fait mal, a quoi bon de le cacher, et c'est en pensant à tous ces braves gens (hommes et femmes et de tous les âges) que j'avais eu l'occasion de rencontrer lors de mon passage en France -début des années quatre-vingt- dans le cadre de la FSSPX (Rouen, Bordeaux et grand banlieue-Ouest parisienne)- et chez qui devant l'absence du Menhir on les voit -ainsi j'entends du moins m'en rappeler- un peu comme des orphelins du père, c'est du moins ce que des commentaires dans les réseaux sociaux laissent entendre ou semblent pour le moins refléter.
Un brave peuple des vaincus ou de laissés pour compte de l'Histoire (en majuscules) tous ces "tradis" -"catholiques et français"- que fustigeait tantôt la Marine (des propos qu'elle aura regretté juste après). Dont le souvenir (touchant) m'est resté fidèle. Et avec ceci le sentiment non moins oppressant de craindre que dans le déluge en vue, un monde d'espoirs -depuis ma plus fière et ardente jeunesse- risque à la fois de sombrer. Celles que Jean Marie Le Pen avait réussi seul à la face du monde à allumer et à projeter. A lui l'hommage de mes respects.
Et partant j'entends depuis ici (humblement) proposer un pacte de non agression -vu qu'il faut se rendre a l'évidence, que la Marine devant une OPA (voire une opération de sabotage) si furieuse semble pour le moins résister-, seulement après qu'on aurait finit par reconnaitre l'échec de la dédiabolisation (et d'autres calculs ou analyses purement électoraux) -et c'est en quoi celle-ci avait de compromission et de défection et reniement (voire de trahison)- avec ceux autres jouissant les bons offices de médiation, savoir les laissés pour compte d'une des répétées scissions que connut le parti.
La première d'elle -de la part des anciens d'Occident et Ordre Nouveau-, pour quoi pas? (voir photo) Où l'on arriva aux mains, petit détail tout sauf dépourvu d’intérêt. Manière d'ailleurs de freiner cette nouvelle OPA -a l'ensemble de l'opinion publique- qu'envisage (au besoin) Emmanuel Macron avec son prévisible voyage à Kiev. Mourir sinon pour Donetsk?
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