Deux ans demain, jour par jour, du lâche assassinat de Samuel Paty sauvagement égorgé en crime rituel au nom de la loi islamique Charia, et pour compte des caricatures du prophète. A Conflans Saint-Honorine au surplus, où j'avais vécu -fin des années septante- au sein de la FSSPX de Monseigneur Lefebvre . Où j'avais laissé auprès des catholiques traditionalistes fervents qui suivaient l'archevêque français des nombreux bons amis, tous placés aujourd'hui sur la menace comme le journal Le Figaro d'hier dans un article éditorial retentissant a daigné de le dénoncer, à l'occasioN ceci du refus de la marie de Conflans d'assigner le nom d'une rue de cette commune à l'enseignant assassiné. Suivant, à croire à ce journal, le "pas-de-vaguisme" ("ne pas faire de vagues") des consignes du ministre français de l'Intérieur. Il n'était pas des nôtres, je me presse de le souligner. "Hussards noirs" de la laïcité, c'est parmi eux qu'il se voulait, ce qu'il n'a pas hésité à maintes reprises d'ailleurs de le proclamer. N’empêche, car derrière lui nous nous sentons tous -français de naissance ou d'adoption à peine ou de vocation, laïques ou catholiques ou croyants dans n'importe quel (autre) religion- unis de cœur. Et menacés tous désormais, ce à quoi nous disons d'une forte voix, NON!!! Et nous laissons de coté exprès, la question pénible à l’extrême et ennuyeuse du port du voile. À plein dessein (...) Liberté oui, mais pas la liberté de menacer, d'infliger des menaces aussi insidieuses fussent-elles. Car n'appartenant pas a la classe politicienne, et ne nous sentant pas pour autant soumis de la manière qui soit aux habitudes de celle-ci -parmi d'autres, celle de rentrer dans des faux débats,- nous nous tenons au contraire à l'essentiel de ce grand défi, au fond de l'épineuse question. Faisant face ainsi sans réserves ni complexes à ce qui de tous ses visages s'apparente a une (nouvelle) guerre de religion. Ou comme le déclarait en discours d'hier Eric Zemmour, à une suite de (l'interminable) guerre d'Algérie, lequel à l'instar de la guerre civile espagnole ne finit toujours pas, tant d'années passées. Ou comme c'est également le cas, de la guerre du Maroc (...) Ne voulant ainsi qu'exprimer le mieux possible l'enjeu politique religieux et spirituel en même temps où nous place tous -en France comme en Espagne ou en Belgique- le lâche assassinat de Samuel Paty: rien d'autre que le (cruel) dilemme où se voient dorénavant placés tous les musulmans -et musulmanes- ayant opté résolument pour l'intégration (voir photo), à la mesure de cet autre où nous nous voyons confrontés tous. Intégration ou remigration. Voila qui est dit!
samedi 15 octobre 2022
SAMUEL PATY, ANNIVERSAIRE
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