mercredi 31 mai 2017

DAVID IRVING UNE VIE APRÈS LA PRISON (Guerre Civile Européenne) (9)

David Irving (voir photo), l'historien révisionniste anglais -et auteur d'un ouvrage remarquable sur le bombardement de Dresde- fait parler de lui a nouveau par le lancement d'un film sur le procès qui lui avait opposé dix-sept ans auparavant à une historienne américaine à qui il avait enjoint de fournir des preuves de ses affirmations sur l'holocauste et la seconde guerre mondiale. Pour rappel, le controversé historien britannique fut condamné par un tribunal de Vienne pour négationnisme et fit treize mois (et neuf jours) de prison à titre de prison préventive -après avoir été arrêté et mise en examen dès son entrée en territoire autrichien, le 11 novembre 2005- ayant recu une peine de trois ans et demi de prison réduite à un an en appel, suite à quoi il fut immédiatement libéré (le 20 décembre 2006) Il faut dire que pendant sa détention l'historienne américaine dont le film qu'elle aura promu vient d'être porté à l'écran, demanda publiquement son relâchement soi-disant pour ne pas en faire (sic) un martyr du négationnisme. De toute évidence -et pour les raisons qui soient- elle ne se gêne nullement pour autant de lui faire de la publicité gratuite, et d'attirer à nouveau l'attention de médias sur lui maintenant Par où nous venons à apprendre, lors de la dernière interview de celui-ci, qu'il habite a présent dans un grande maison en Écosse (quarante chambres) et qu'il roule en Rolls Royce (...) et qu'il ne se soucie nullement de combien de livres il vend monde à travers, car il est assailli par « les donations » « La presse papier se meurt, et Internet est là” aura-t-il déclaré à l'adresse de “ses ennemis traditionnels”, qui ne savent plus, d'après lui, comment faire face à ce défi. Comme s'ils se trouvaient -dit-il-devant une mauvaise herbe. Et de revendiquer trois à quatre cent mails par jour d'un public très jeune (14, 15, 16 ans) au États-Unis - «  une nouvelle générations les appelle-t-il, de sceptiques de l'holocauste »- , et plus de deux cents de ses causeries circulant en YouTube. En même tempos il se déclare grand admirateur de Donald Trump et ne manque pas d’éloges envers la personne du leader du Labour non plus (« a very fine man ») » Un parti qu'il voit déchiré par les accusations d’antisémitisme. Non, il n'a pas changé David Irving, après son incarcération, contre ce que certains craignions. Ce dont nous nous rejouissons, ne soit-ce que de par la place que son ouvrage sur Dresde mérite dans la mémoire collective et dans l'historiographie. Où il racontait comme les rues de Dresde pleines à craquer de foules d'enfants à l'arrivée de la nuit, dans une ville en fête, furent les théâtre d'un éclat de rire massif, gigantesque,  enfantin, en signe de joie et de liesse, à la vue des lumières de signalisations de l'aviation anglaise. (...) Non, nous ne pouvons pas le condamner David Irving, non. Nous l'empêchent la mémoire et la vérité historiques

mardi 30 mai 2017

LAÎQUES CONTRE "CATHOS"

Pilarisation est un phénomène typique des Pays Bas (au sens large du terme) sans parangons pratiquement sur le sol européen. Pas en Espagne en tout cas, et en France non plus. En Belgique par contre les piliers socialiste, libéral/franc-maçon et social/chrétien (catholique) sont incontournables et encore plus dans l”enseignement universitaire ou cette pilarisation e voit réduit à deux piliers à peine, le laïque et le « catho » La Universidad Complutense -actuellement à Madrid, héritière de celle d'Alcala (1495)- ne connaît pas ce phénomène ni l'ensemble non plus des universités d'état espagnoles qui ne peuvent pas se voir associées ou assimilée à un pilier ou à autre comme c'est bien le cas en Belgique francophone et flamande. Ou bien laïques -savoir, athées libre-penseurs outre un minorité protestante- , ou bien confessionnels (catholiques), il n'y a pas d'autre alternative. L”Espagne était depuis presque un siècle elle aussi en voie de pilarisation (rigide) de son monde académique et universitaire, de par l'emprise (tout-puissante) de l'Institución Libre de Enseñanza fondée au denier tiers du XIXe siècle à image de l'ULB, et qui fit implosion lors de l'éclatement de la guerre civile du 36. Comme l'illustre le cas de Miguel de Unamuno "institutioniste" notoire, et de son incident célèbre avec le fondateur de la Légion, Mlllan Astray, à l'Université de Salamanca au début de la guerre civile (voir photo) En France, ce phénomène n'existe pas non plus, et l'illustre le cas de l’Université de Lille (en phase de fusion géographique à présent elle aussi), héritière de la vieille université (catholique de Douai (1559) -dans les anciens pays-bas du Sud- , et qui reste catholique mais ne porte pas l’étiquette pour autant comme c'est le cas par contre de son homologue -si proche d'elle sous tant de rapports d'ailleurs- de Louvain, héritière de la vieille Université (catholique) de Louvain Studium Generale Lovaniensese (1425) Les recteurs de l”ULB, de l’Université de Liège (ULg) et celle de Mons (UMons) se son mobilisés maintenant en front laïque contre le projet de fusion de l'UCL et de Saint-Louis (Bruxelles) où ils voient un rapprochement confessionnel (sic) Rien de neuf dans le paysage académique, réplique les défenseurs de l fusion, et à mon humble avis, vu du dehors, je pense que ce dernier ont raison. Comment en pas voir en effet, un reflet -dans la réaction de ce front laïque- du vieux sectarisme pour compte de l”idéologie des Lumières des défenseurs attitrés de la Libre Pensée ? Et l'auteur de ces lignes sait un peu, ma foi, de quoi il parle.

lundi 29 mai 2017

MAIL SEXISTE MARCHE EN ARRIÈRE

De marche en arrière on peut parler en effet au sujet du mail “sexiste” à l'ULB. (voir mon entrée d'hier) Il y a eu des excuses bien sur de la part des organes recteurs. Du bout de lèvres, diront certains. Le fait est que la réunion d’aujourd’hui (lundi) convoquée à ce sujet par le doyen de la faculté de Médecine, l'aura été dans une optique de sensibilisation (sic) et non de punition. Résultat, il n'y aura pas de sanction pour le (ou la) responsable du mail qui a mis le feu aux poudres. Ce dont nos nous congratulons, bien que cela suscite déjà le courroux de certains. Et on peut parier que l’attitude mesurée et conciliante du doyen se fait l'écho du malaise indéniable qu'aura suscité dans le milieu étudiant -et chez les enseignants aussi?- de cette université, la polémique crée sur le sujet et enflée à dessein dans certains médias. Très loin d'une blâme ou d'une présentation d'excuses, ce second mail du doyen de la faculté, en effet. Le voici « Suite au mail que vous avez reçu concernant la cérémonie de proclamation, je tiens à préciser que vous pouvez bien entendu porter la tenue de votre choix, pour autant qu'elles soit correcte et conforme à l'aspect solennel de cet événement unique dans votre vie.../...Que vous soyez garçon ou fille, nous souhaitons simplement qu'il y ait une certaine harmonie entre la toge portée à cette occasion et votre tenue../...Au plaisir de fêter cet événement avec vous » Dont acte. Vive le compromis à la belge ! On peut dire aussi que la toge des nouveaux médecins (voir photo) soit une coutume -ancienne?- typiquement belge. Inconnue quoiqu'il en soit dans d'autres milieux universitaires européens. Chez les Espagnols, sans aller plus loin

samedi 27 mai 2017

JOLIS DÉCOLETÉS ET L'ULB

« Jolis décolletés”, la phrase qui a mis le feu au poudres à l'ULB. Au point que le porte-parole de l'université s'est senti dans l'obligation de présenter des excuses pour un mail jugé sexiste (…) envoyé, en vue de la proclamation des résultats, par le secrétariat de la faculté de Médecine de la dite université, vraisemblablement par une femme puisqu'on apprend que leur secrétariat est composée exclusivement d'elles. On marche sur des œufs, pour certaines questions, vous vous en doutez, chères lectrices et chers lecteurs de mon blog, et tous ceux qui liront cet article sauront lire (aussi) -je l'espère- entre lignes ( ...) La chose serait passé inaperçue sans la réaction du président de la Fédération des Étudiants Francophones (FEF) -s'il vous plaît-, une association sans doute représentative mais qui ne reflète pas moins le courant politique majoritaire (socialiste) en Belgique francophone. Aujourd'hui comme à l'époque où j'étais passé (comme étudiant) par cette Université. Qu'on le demande a Fabrizio Bucella, par exemple, étudiant de l'ULB et dynamique président de cette association quelques vingt-cinq ans en arrière. Et le doyen de la faculté de réagir aussitôt indigné au nom de l'égalité (sic) des sexes. Cela s'applique-t-il aussi au femmes voilées qui fréquentent de plus en plus cette université? (voir photo) Dans certaines salles de lecture du campus du Solbosch on ne voit presque pas autre chose désormais. On verra ce que cette polémique finira par donner, mais déjà les remous et le débat qu'elle aura provoqués sont des signes avant-coureurs que certaines choses commencent à bouger dans l'université de la Bonne Pensée (ou de la Bien-Pensance, comme vous voudrez bien l'appeler)

PAPE FRANCOIS ET LUTHER KING

La rencontre de Donald Trump et du pape François aura été marqué par un échange de cadeaux, des livres en l’occurrence. Du coté du pontife, un exemplaire -parmi d'autres ouvrages- de son encyclique sur des sujets écologiques “Laudato sí” et du coté du président des États-Unis par les écrits en plusieurs volumes de Martin Luther King l’apôtre (et martyr) de la lutte pour les droits civiles de la minorité noire aux États Unis. La cadeau papal est facile à décrypter compte tenu du profile de l'image de progressiste -dans la ligne de la théologie de la libération- que papa italo/argentin aura tant soigné pendant les années de son pontificat Celui du président américain l'est un peu moins,car il est difficile à croire que Donald Trump -el candidat attitré de "petits blancs" (voir photo) pendant la campagne présidentielle américaine, celui du slogan “America first” (l’Amérique d'abord)-, dont on connaît le différend sur plusieurs sujets qu'il entretient avec le papa François, ait voulu exprimer offrant pareil ouvrage au pontife la pensée intime et de points de vue personnels du président tel que semble l'être l'encyclique papale en échange. Une (sale) blague, voir un pied de nez carrément au pape des immigrés et des minorités, et de l'entendement à tout prix avec l'Islam (et les islamistes)? On peut se demander

vendredi 26 mai 2017

VALLS ET LA REVOLTE DES MÈRES

Dans son dernier ouvrage publié un mois après sa mort -”Un samouraï d'Occident. Le Bréviaire des insoumis”- Dominique Venner pointait du doigt les responsables politiques por la répression violente du rassemblement du 24 mars 2013 de la "Manif pour tous" (voir photo) où des manifestants furent gazés par les forces de l'ordre, des femmes et des enfants y compris, pour leur empêcher d'accéder à l'avenue des Camps Elysées -de l'autre coté de la place de l'Étoile- depuis l'Avenue de l a Grande Armée et celles adjacentes, en cela les gendarmes ne faisant qu’obéir des ordres provenant directement du ministère de l'Intérieur, et de son titulaire d'alors, Manuel Valls, lui-même. « Ils sont commis une lourde faute" glosait Dominique Venner juste avant sa mort. " Quand l’indignation mobilise des telles masses, des mères et leurs enfants, c'est le signe que se trouve transgressé au-delà du supportable une part sacrée de ce qui constitue une nation. Il est dangereux de provoquer la révolte des mères” (op. cit. p. 33) Et ces paroles aux résonances prophétiques nous reviennent maintenant à l'esprit à la vue de la solitude si pathétique -rejeté à la fois par son parti et par la (nouvelle) majorité présidentielle- dont se voit soudain entouré Manuel Valls, le guerre civiliste espagnol qui eut l'imprudence -comme le lui reprochèrent des internautes lors des primaires de son parti- de parler de guerre civile entre Français. D'en parler, et de chercher à l'allumer par tous les moyens, il faudrait y ajouter. Et on peut parier parier que ce fut la Manif pour tous plus que la loi du travail, la pierre d'achoppement ou l'ancien chef du gouvernement (socialiste) français il aura trébuché, celle qui aura eu raison d'une carrière politique si brillante et prometteuse

jeudi 25 mai 2017

PAPE FRANCOIS CRÉATURE D'OBAMA

La rencontre de Donald Trump et le pape François se sera écoulée sans faire de dégâts (majeurs) Tout le monde sait tout ce qui leur sépare, et tout le monde avait pu voir les scènes de la rencontre précédente du pontife actuel avec le prédécesseur de Trump a la Maison Blanche, Barack Obama. Infiniment plus chaleureuses que celles que les média ont pu nous offrir de la rencontre d’avant-hier au Vatican. Il avait de quoi le papa François en témoignant de façon si effusive sa reconnaissance à quelqu'un a qui il devait son poste, aussi clair que ça, après que le pontife antérieur Benoît XVI se vit obligé de démissionner -un cas inouï dans l'histoire de l'église catholique- suite aux pressions américaines, qui vinrent se matérialisées par la visite au Vatican de l'antérieur mandataire de la maison Blanche deux mois à peine avant la décision du pontife allemand lesté d'un passé inavouable (de tout jeune) pendant la Seconde Guerre Mondiale. Tout un monde de malentendus par contre, ce qui se laissait entrevoir entre le pape François et Donald Trump. L'immigration, le populisme, le climat, et surtout le pouvoir des médias -qui cajolent ce papa argentin presque autant qu'ils avaient encensé le pape polonais- et bien sûr, le défi identitaire. Un sujet qui tient à cœur -comme tout un chacun le sait- au mandataire américain et laisse de marbre par contre -tout le monde le sait aussi- au pape italo/argentin. Et des signes du malaise profond pouvaient-on lire dans les visages de l'épouse et la fille du président, et même dans la tenue de l'une et l'autre. Des voiles "mondains" que des femmes européennes ne se seraient pas permis auprès du saint/père. Ni catholiques ni protestantes. C'est vrai que l'épouse de Trump bien que d'origine slovène, n'est pas baptisée de ce que l'on sait, à limage sans doute de ce nouveau pays balkanique majoritairement catholique et post marxiste à la fois, et sans doute post chrétien aussi. Post chrétiens les voiles de l'épouse et de la fille du président des États-Unis ?

mardi 23 mai 2017

VALLS DÉFIÉ CHEZ LUI

Manuel Valls face à vingt-deux candidats (…) dans sa propre circonscription d'Évry la ville de l'Essone dont il fut longtemps maire avant d'accéder au gouvernement sous François Hollande. Le plus dangereux pour lui est peut-être le candidat communiste qui se voit parrainé par personne d'autre que Benoit Hammon qui entend ainsi rendre la monnaie de sa pièce à l'ancien premier ministre alors que celui-ci en infraction des règles des primaires avait finit par rallier Emmanuel Macron pendant les présidentielles. Et il vient de voir rejetée sa demande de rallier le parti du nouveau président. Nouveau pestiféré de la politique française le Français d'adoption, Espagnol de naissance (à Barcelone) et zélateur de la mémoire des vaincus de la guerre civile espagnole? Il y en a de toute évidence -outre que Benoit Hammon- qui lui en veulent toujours. Parmi ceux, le jeune Nolan Lapie (voir photo) qui l'avait giflé lors de son passage en Bretagne en campagne pour les primaires de son parti. Le jeune breton se fait accompagner de candidat suppléant par personne d'autre que Dieudonné (sans blague) Tant de candidatures finiront-elles par tourner à l'avantage de l'ancien premier ministre. C”est que craint le candidat de la France insoumise. Rien n'est moins sûr. Vers la porte de sortie Manuel Valls de la politique française?. Ce sera dur pour le Français d'adoption qui aimait tant donner des leçons de patriotisme aux autres Français (de souche) et de mémoire et de démocratie, et d'anti-fascisme et que sais-je encore

MANCHESTER. VISÉ DONALD TRUMP

L'attentat de Manchester s'est produit alors que Donald Trump ayant fait escale en Israël dans son premier voyage à l'étranger en provenance de l'Arabie saoudite rencontrait Mahmoud Abbas président de la Palestine. Un coup de semonce (sanglant) en extrême du terrorisme islamiste contre le premier mandataire des États-Unis. Ainsi peut-on interpréter le terrible attenta qui vient de se produire en grande Bretagne. Ce qui confère un surplus de crédibilité au discours du président des États-Unis en Arabie Saoudite appelant les états de la région à un engagement ferme contre le terrorisme. Et dans cela ma foi, la position et les attitudes de Donald Trump semblent parfaitement crédibles. Malgré les apparences en contraire parfois. Comme son prétendu revirement dans le conflit syrien tellement claironnée dans la presse globale. Il n'en est rien. Le journaliste français Thierry Messiaen, spécialiste de la guerre en Syrie, avait interprété l'attaque de la marine des États-Unis à une base de l'armée syrienne comme un bluff à l'attention de la dynastie saoudienne et de ses propres alliés dans la région, et destiné de m^me par voie de ricochet aux propres alliés des États Unis, la Grande Bretagne en tête, qui poursuivit ses propres visées dans la région, pour le convaincre de la nécessité de s'engager fermement dans la lutte anti-terroriste. Et ses ennemis semblent mas foi l'avoir ainsi compris

samedi 20 mai 2017

TRUMP BIENVENU À BRUXELLES?

Alors que Donald Trump est attendu mercredi prochain à Bruxelles pour un sommet de l'OTAN, les environs du campus de l'ULB (Solbosch) sont couverts d'affiches depuis quelques jours appelant à manifester contre sa visite. Ce ne fut pas le cas lors du passage de son prédécesseur, Barak Obama. On ne peut pas comparer l'un et l’autre, c'est vrai. L'un était du déjà vu, l'autre doit encore faire ses preuves, alors qu'il effectue son premier voyage à l'étranger. Trump arrivera à Bruxelles en provenance de Rome où il aura rencontré le pape Fançois.. Pour lui demander peut-être de démissionner? On peut se demander, Comme l'avait fait de toute vraisemblance Joe Biden le vice-président (démocrate) de son prédécesseur, en visite au Vatican deux mois avant la démission du pape d'alors Bénoit XVI qui traînait (nota bene) un passé politiquement pas présentable du temps de la Seconde Guerre Mondiale (de tout jeune) Du jamais vu vu dans l’église à l'exception près d'un seul cas, celui du pape Célestin au moyen Age. Donald Trump arrivera à Rome en provenance d’Israël, et après une première escale en Arabie Saoudite ou il aura afficher la couleur se faisant accompagner de son épouse (voir photo) et de sa fille non voilées ni l'une ni l'autre. On dira que ce fut le cas avant elles de Danielle Obama. De l'actuel mandataire des États-Unis ses amphitryons saoudiens auraient certainement voulu beaucoup plus pour ce qui est de signes et de clins d’œil en matière religieuse. Pour des raisons plus qu'évidentes. Stratégie anti-ISIS payante celle de Donald Trump. C'est ce que semblent montrer les contrats juteux qu'il aura signés à Ryad. Détail tout sauf banal, Donald Trump est accompagné également dans sa visite de son proche conseiller, Steve Bannon, connu pour ses positions polémiques sur l'Islam

vendredi 19 mai 2017

POLICE DE COUVIN ECUSSON ANTI-MUSULMAN?

Tempête dans un verre d'eau? Un policier de Couvin a mis le feu aux poudres arborant un écusson connoté «extrême droite» pour certains. Une croix rouge sur fond noir ressemblant la croix des Templiers du temps (horresco referens!) des Croisades. Histoire belge? Serait-elle connoté extrême droite la statue de Geoffroy de Bouillon (voir photo), chef de la première Croisade  datant de 1848 et située dans la place Royale au centre de Bruxelles ? Le système politique belge -un secret de polichinelle- est incliné à gauche depuis la question royale (1950) et son dénouement. L'illustre le rôle de premier plan du parti socialiste belge francophone dans la politique belge des derniers durant suite à la fin de la Seconde Guerre Mondiale de même que son poids hégémonique depuis lors dans la Belgique francophone et en particulier en Wallonie. Une situation qui est peut-être en train de se voir drastiquement modifié suite au scandale Publifine qui frappe (surtout) des cadres du parti socialiste du plein fouet en Wallonie. Un autre échantillon de l’inclinaison a gauche su système politique belge dans l'après-guerre l'est sans doute le rôle d'épouvantail et de repoussoir réservé dans la politique belge, dans les médias et dans les comportements sociaux, au terme extrême droite, qui n'a pas son équivalent dans celui symétriquement opposé d'extrême gauche. C'est clair, on peut être d'extrême gauche en Belgique, de deux cotés de la barrière linguistique, on ne peut pas par contre être à l'extrême opposé. Une question toute innocente, cet écusson serait-inadmissible de par sa connotation suspecte, -«contre les arabes» pour être clairs et précis-, et ne le serait-elle pas par contre la couleur verte (celle de l'Islam) des uniformes que portent les employés municipaux de certains communes à forte présence musulmane de l'agglomération de Bruxelles?

jeudi 18 mai 2017

UN CÉLINE ESPAGNOL (Guerre Civile Européenne) (9)

César González-Ruano (voir photo) est pratiquement inconnu en langue française, ce dont je viens de faire le constat en navigant sur Internet et en cherchant en vain une notice quelconque à son nom dans cette langue. En anglais il y en a par contre. Ce qui illustre fort du caractère extra littéraire de cette méconnaissance ou plutôt de ce boycott -pour dire avec clarté et franchise les choses,- qui a indéniablement une origine française. Le maître incontesté de Francisco Umbral traîne derrière pour la postérité des boulets (rouges) des années de l'occupation allemande en France lorsqu'il fut correspondant à Paris -à cheval entre Berlin et la capitale française- des principaux journaux de la presse espagnole, et de l'après guerre immédiate lorsque il se vit accusé -sans preuves- et condamné (en 1948) -dans son absence- dans un tribunal français par intelligence (sic) avec l'ennemi. D'une nature un peu analogue mais moins documenté et plus mouvemnté tout de même que celle qui accompagne fidèle la mémoire de Céline, avec qui il offre tellement des points de rapprochement (personnels et littéraires) Un maître de style -en langue espagnole- incontestable, du journalisme et de la littérature de l'Espagne de l'après guerre -si inconnue dans les milieux académiques et universitaires au-delà des Pyrénées-, César González-Ruano, et on peut se demander si l'aura (sombre) de maudit qui entoure indéniablement son œuvre et sa figure -alors qu'il se voit progressivement réhabilité en Espagne parmi les nouvelles générations- ne soit pas à l'origine de la censure implacable -a la FNAC de Bruxelles à titre d'exemple, dans les universités belges- dont son disciple avéré Francisco Umbral se voit l'objet comme put bien le témoigner l'auteur de ces lignes. Et comme vous bien le savez lectrices et lecteurs de ce blog (non-conformiste) Un Céline espagnol encore plus qu'Umbral, César González-Ruano. De par sa plume, et sa trajectoire

mardi 16 mai 2017

"N'Y ALLEZ PAS" (ALAIN JUPPÉ)

« N'y allez pas » D'après le Canard Enchaîné, c'est ce que Alain Juppé aurait dit à son poulain Edouard Philippe, avant que celui-ci ne soit nommé à Matignon. « Vous allez passer pour un traître », aurait-il-ajouté. Rien n'y fait. Le maire (LR) du Havre semble ainsi vouloir acquiescer pleinement à la manœuvre du nouveau président de la République visant carrément, sans le cacher le moins du monde, à déstabiliser la droite face aux législatifs de juin prochain. La nomination du nouveau premier ministre aura été tout de même mal reçue dans son parti, mise à part une vingtaine de personnalités qui cherchent eux aussi à se joindre -par tous les moyens on dirait- au vainqueur de la présidentielle. Une erreur d'optique du nouveau président et de certains médias français ? La droite, c'est clair, ne va pas éclater de suites des manœuvres présidentielles de déstabilisation aussi rusées fussent-elles. François Fillon n'aura pas réussit son pari mais il aura tout de même laissé un parti soudé à ses successeurs. Depuis Trocadero (voir photo) Et Macron a vaincu certes mais il est loin d'avoir convaincu cette fraction (considérable) -majoritaire?- de l'électorat français qui de toute évidence ne voulait pas de lui. Et le commentaire d'Alain Juppé va sans doute dans ce sens

lundi 15 mai 2017

WOLUWE-SAINT-LAMBERT FÊTE DES MÈRES GACHÉE

Fête des mères. Le directeur d'un école de Woluwe Saint-Lambert a mis le feux aux poudres en interdisant les cadeaux pour la fête des mères. Les raisons qu'il avance sont sans doute fondées, la décision en elle même ne le semble pas néanmoins vue la tollé qu'elle aura suscitée parmi les parents de élèves. Familles monoparentales? Soit, il y en a de plus en plus, c'est vrai. L'auteur de ces lignes divorcé et m'ayant vu condamné -par les circonstances- a ne voir mon fils que de temps à autre pendant les années où il grandit, sait un peu de quoi il parle. Aura-t-il souffert mon fils de la situation de fils de parents divorcés? Sans doute, mais jamais il se plaignit d'avoir souffert pour ce motif à l'école quoiqu'il en fût. Couples homosexuels? Là on rentre dans toute autre débat, celui qu fiat naître en France "la Manif pour tous" (voir photo), lors du « printemps français » (2013) Et je ne veux pas rentrer là-dedans sur ce blog, de propos délibéré Un signe de temps néanmoins la réaction de ce directeur d'écôle suite à l'élection d'Emmanuel Macron à la présidence de la République française? Relance des débats de société chez les Français et aussi chez les Belges par ricochet? En Belgique ce genre de débats se voit gêné d'emblée par la posture traditionnel d'un catholicisme -confession toujours majoritaire- sur la défensive depuis des décennies, cautionné dans cela par les évêques, ce qui empêchent en grande mesure que des tendance identitaires puissent effleurer dans la société belge, et se manifester au grand jour. Voila qui est dit

dimanche 14 mai 2017

EUROVISION ET LA VIERGE DE FATIMA

En politique les miracles sont plutôt rares, mais lorsque le show business s'y mêle tout devient possible. C'est ce qui vient d'arriver au concours d'Eurovision 2017 à Kiev, où la Vierge de Fatima est intervenue en personne, miraculeusement pour faire triompher le Portugal, un pays qui n'avais jamais gagné ce concours d'Eurovision jusqu'ici, a la date précisément -Ô divine surprise!- du 13 mai, dans le Centenaire (nota bene) des apparitions de notre/dame dans ce haut/lieu d’apparitions portugais. Un canular qu'on entendait souvent dans les milieux traditionalistes français -lorsque j'y fus parmi eux, avant mon geste de Fatima (le 13 mai 1982)- disait que le plus grand miracle du (bon) pape Jean XXIII, celui qui avait convoqué le concile Vatican II, l'étaient tous les voix par centaines de milliers qu'à chaque échéance électorale allaient grossir les listes des partis de gauche pendant les années de son pontificat. La Vierge avait dit a Fatima par la bouche des trois petits bergers -en réalité on le leur fit dire après coup lorsque deux des trois n'étaient plus- que la Russie (sic) était une sorte de abrégé de tous les maux de la planète, d'après ce qu'on appelle le troisième/secret qui ne finit pas d'être révélé en entier après que le secrétaire d'état de Jean Paul II eut déclaré depuis Fatima à la face du monde, sans sourciller -le 13 mai 2000- que le destinataire du secret, celui dont la Vierge parlait c'était bien le pape polonais, ce à quoi le monde entier -médias interposés- avait semblé a acquiescer, sans broncher le moins du monde. Depuis, le suspens continue, alimenté par des rumeurs que les courroies de transmission ecclésiastiques au Vatican et ailleurs se chargent d'amplifier et de propager, comme quoi le fameux troisième secret n'aurait pas été encore dévoilé en entier. Et après le coup de théâtre d'Eurovision dans son édition de cette année -dont fut exclue (nota bene) la représentante de la Russie- Vladimir Putin a tous les motifs à craindre, ma foi, que les vrais destinataires du troisième secret, les dindons de la farce pour être clair, ne soient autres -à la grande joie de l’église uniate (catholique et anti-orthodoxe, et anti-russe) ukrainienne- que lui et son pays, diabolisés par la très/sainte/Vierge qui descendit exprès du ciel pour ce faire. Vive la Russie!

MACRON ET LES INDIGNÉS

Emmanuel Macron pèche par néo-libéralisme, c'est l”accusation qui vient d'être portée contre lui par un (grand) pontife de la gauche européenne, le grec Varoufakis (voir photo), ancien ministre du premier gouvernement de Syriza, avant que son leader, Tsipras, la corde des gouvernements européens au cou, n'eût décidé in extremis de donner un coup de barre à droite dans sa politique et dans son gouvernement. Pourtant Varoufakis venait de louer le nouveau président de la république française il y a quelque jours. Mais Emmanuel Macron il faut bien le reconnaître, ne se laisse pas coiffer et encore moins définir. Lors de l’éruption cela fait un an du courant protestataire “Débout la Nuit” il était l'une des cibles indéniables de la colère et la hargne des indignés français, qui eurent dans le grec Varoufakis (nota bene) un de leurs référents. On présente Macron comme un homme des banques, autant dire quelqu'un qui dot faire encore ses preuves en politique. L'homme des banques, et l'homme de médias aussi, me le niera-t-on? Un nouveau style le sien, quoiqu'il en soit, dans la politique française, que cela nous plaise ou pas. Très différent de celui de son ancien supérieur hiérarchique, Manuel Valls. Un style ni de droite ni de gauche qui pourtant déplaisait fort aux indignées Heureusement pour lui

jeudi 11 mai 2017

ABATTAGE ANIMAL QU'EN PENSENT-ILS À L'ULB?

Abattage animal. Les cultes chrétiens (sic) viennent maintenant a toute hâte à la rescousse des confessions juive et musulmane. Cultes chrétiens? En substance, l'église catholique majoritaire en Belgique et les confessions protestantes, hégémoniques dans leur ensemble -en Belgique et ailleurs- suite au dénouement de la seconde guerre mondiale. « Contre les catholiques tu peux faire et dire tout ce que tu veux, contre les protestants par contre, tu le payes " C'est ce que j’avais entendu une fois, mes premières années en Belgique, d'une connaissance à moi, un Italien résident ici depuis longue date et revenu à la pratique religieuse après une longue période de militance à l’extrême gauche dans sa jeunesse. Et tant les uns que les autres, quoiqu'il en soit, payent maintenant tribut au principe du droit absolu (sic) à la liberté religieuse qui est un terme et un concept comme chacun le sait à géométrie variable. Valable dans les pays occidentaux mais pas dans les pays musulmans. Je ne suis pas suspect, car je défends la corrida, fidèles à mes racines, mais quoique certains puissent en penser, ce ne sont pas de sujets comparables. La corrida est une tradition culturelle des Espagnols, millénaire et comme telle, parfaitement respectable, comme l'avait déclaré à un moment donné -hors de tout soupçon- le président de la république française en fonctions alors, Nicholas Sarkozy. Et c'est tout de même une pratique qui n'aspire qu'a se voir reconnue pleinement dans ses lieux d'origine -l'Espagne et le Portugal et certains pays de l'Amérique latine-, ou, en outre,  à être toléré (localement) dans d'autres pays -en France par exemple- sans prétendre a se voir érigé en droit absolu et universel comme prétendent certains de l'abattage avec étourdissement de l'animal. Dans le cas de l'église catholique cela prouve une fois de plus leur soumission à deux autres grandes religions hégémoniques, savoir judaïsme et l'Islam. Et cela au nom de l'œcuménisme, tel que l'avait mis en scène Jean Paul II (voir photo) par la réunion œcuménique d'Assise (1986) qui avait provoqué la rupture des catholiques traditionalistes. À propos, qu'en pensent-ils dans les milieux de la laïcité (et de l'ULB) ?

mercredi 10 mai 2017

MARION ET JEANNE D'ARC

Marion s'en va. Et beaucoup dans son parti s'attristent de la nouvelle. Motifs d'ordre personnel ou signe infaillible que le FN, suite aux (modestes) résultats de la présidentielle, entre dorénavant dans une zone de turbulences ? Il n'est un secret pour personne que la petite fille du fondateur représentait à l'intérieur du parti une sensibilité visiblement différent à celle de l'actuelle direction. Souverainisme (anti-UE) du coté celle-ci et affirmation identitaire de l'autre, des partisans de Marion, ainsi semblait se dessiner à l'intérieur du Front National le clivage entre les deux sensibilités qui s'y affrontent. Quoiqu'il en soit, le départ de Marion Le Pen risque de changer de bout en comble la corrélation de forces au sein de son parti. Ce qui à terme -et dans l’hypothèse (prévisible) de mauvais résultats dans les législatives de juin prochain-, pourrait aggraver la crise toujours latente à l'intérieur de sa formation. Et la petite fille étant parti, qui représentait au Front national la sensibilité plus proche à celle de son grand-père, on ne voit pas bien comment ce départ ne vienne pas a consommer la perte d'une emprise quelconque du fondateur sur sa créature politique,. A moins d'un miracle. Celui du retour en force -après un retrait purement temporaire- de celle chez qui certains voient une nouvelle Jeanne Arc

mardi 9 mai 2017

MISE AU POINT (À L'ATTENTION DES AUTORITÉS COMPÉTENTES)

Je ne tombe que maintenant à peine sur un articule publié dans le journal Le Soir le 17 mars dernier sous le titre en extrême éloquent “Le Pape en danger” où mention (in extenso) est faite de ma personne. Et c'est justement dans le dernier paragraphe, sous un titre pas moins éloquent et significatif, “Le plus grand risque, le pèlerinage à Fatima” où sont évoqué ma détention à Fatima le 12 mai 1982 et aussi mon ultérieure détention devant le Palais Royal de Bruxelles, le 16 mai 2000 à l'occasion de la visite du roi Juan Carlos, et dans le contexte de la deuxième visite du pape Jean Paul II à Fatima trois jours plus tôt (le 13 mai 2000) L'auteur de l'article sait bien ou devrait savoir que mon acte de protestation devant le Palais Royal avait été immédiatement précédé d'un nouveau lynchage à mon encontre dans les médias belges, espagnols, portugais, italiens et que sais-je suite à un mandat d’arrêt international d'Interpol (sic) à mon encontre, alors que je résidais légalement en Belgique depuis dix sept ans déjà, et que mon domicile était parfaitement connu des autorités belges et enregistré en bonne et due forme dans les services de l'état civil de la commune (Ixelles) où je résidais. Et suite à l'article que je viens de mentionner, je me sens maintenant à nouveau, comme alors, mis (à contre cœur) au devant de la scène, cloué au pilori des médias et signalé à la vindicte publique. Et en outre, à la merci de nouvelles mesures de surveillance (et que sais-je encore) dont je pourrais devenir l'objet. Honnêtement, peut-on trouver injustifié ou déplacé mon état d'esprit à la vue d'un article (de dénonciation) pareil ? Il me semble donc parfaitement à propos de mentionner ici deux liens récents publiés sur internet, l'un, d'un reportage paru en langue portugaise, où sont recueillis témoignages de membres -haut gradés- des forces de sécurité portugaises qui faisaient partie du dispositif de sécurité autour du pape Jean Paul II à Fatima en 1982 y qui à ce titre prirent part à mon arrestation. Le second, en langue italienne, c'est un articule d'un vétéran journaliste américain, directeur pendant vingt-cinq ans de l'agence Associated Press, qui assista aussi à ma détention à Fatima. Eux tous ils sont formels -contredisant ainsi déclarations d'il y a neuf ans diffusées partout dans le monde (y compris en Belgique) de celui qui fut secrétaire personnel du pape Wojtyla- que je n'avais pas blessé le pape à Fatima. Et je tiens à faire cette mise au point (urgente) à la vielle de la visite du pape François à Fatima (à l'occasion du centenaire des apparitions dans ce lieu) À ma décharge, et à l'attention des autorités belges compétentes

lundi 8 mai 2017

FRONT NATIONALE ÉCHEC DE LA DEDIABOLISATION

Échec (cuissant) de la dédiabolisation. Lors du second tour des élections présidentielles françaises de dimanche dernier, le Front Nationale nouvelle mouture n'a pas réussit à faire sauter le plafond de verre pas plus -toutes proportions gardées- que ne l'avait réussit un FN diabolisé comme on ne peut plus aujourd'hui imaginer, cela fait une quinzaine d'années. Marine Le Pen parle maintenant de refonder le parti, mais sa démarche n'a pas l'air frais de la nouveauté le moins qu'on puisse dire, car elle ne vient qu'à rappeler des vieux poncifs associés étroitement aux souvenirs d'autres formation protagonistes de la politique européenne des dernières décennies idéologiquement proches du Front nationale, et aujourd'hui bel et bien mortes, et je pense en particulier au Mouvement Sociale Italien (MSI) -néofascistes- rebaptisé au fil d'un psychodrame interminable et des successives scissions (minoritaires) Alleanza Nationale par celui quI fut longtemps son secrétaire général Gianfranco Fini (voir photo) qui joueraient un rôle du premier plan dans la politique italienne les années de l'ère Berlusconi pour s'éclipser après rupture avec ce dernier. Et ma foi, on ne voit pas comment un Front Nationale dédiabolisé et rebaptisé pourrait échapper à ce triste sort. Et les législatifs de juin prochain risque de confirmer ces prévisions, plus sûrement que l'improbable partition des Républicains que d'aucuns tiennent déjà pour sûr à l'avance, à commencer par le nouveau président de la République. Quelqu'un élu « sans envie ni enthousiasme » Et avec un chiffre record d'abstentions (25 %) et de votes nuls et blancs (15%) dans l'histoire de la Ve République

vendredi 5 mai 2017

MARINE LE PEN SAISIT LA COMMISSION ÉLECTORALE

Marine Le Pen saisit la Commission Électorale. Son équipe de campagne aura dénoncé des irrégularités en masse  dans des région entières où les bulletins de voix de la candidate du Front national se voient systématiquement déchirés et ceux d son rival Macron en échange parfaitement intactes. De retour au temps de la Terreur et de la Convention?

jeudi 4 mai 2017

WRANGEL MORT À BRUXELLES, OÙ? (Guerre Civile Européenne) (8)

Dans son histoire de la guerre civile russe, Dominique Venner dresse un portrait plus que convaincant du baron général Wrangel (voir photo), dernier chef des armées blanches ayant succédé à Dénikine qui avait fini par s'effacer devant lui après avoir échoué dans sa grande offensive vers Moscou (octobre-décembre 1919) Le denier à quitter le navire, Wrangel, à s'y embarquer plutôt, il convient mieux de dire, lors du retrait de la dernière armée blanche à ses ordres du port de Sébastopol dans l'ordre et la discipline. Une opération brillamment réussie -des bâtiments de la marine française à l'appui- que Dominique Venner chiffre en 150.000 évacués. Ce qui ne réussirent pas plus tard les Rouges entassés au port d’Alicante, en mars 1939, lors de la guerre civile espagnole. Tout un exploit, ma foi. De tous les chefs blancs, Wrangel était le seul à prôner la restauration de la monarchie, ce qu'il fit lors de la proclamation de la république blanche de Crimée en avril 1920 où il avait assumé le pouvoir suprême en tant que régent; une désignation qui était échue avant lui successivement à l'amiral Koltchak, et à Denikine. Un détail marquant de sa biographie est passé nonobstant sous silence dans ce titre de Dominique Venner, c'est qu'il vécut les trois dernières années de sa vie à Bruxelles, où il s'installa comme ingénieur, et où il mourut. Où? J'y habite depuis vingt-cinq ans, et faisant sans doute honneur à mes origines - "Espagnols, arpenteurs des nuits" avais-je lu une fois en langue française- j'ai toujours aimé me promener en ville, aussi bien pendant le jour que le soir arrivé. Jamais nonobstant je n'ai repéré la moindre trace, la moindre plaque ou signe commémoratif du séjour ou de la mort du chef des armées blanches dans la capitale belge. Cela redonnerait néanmoins un visage à cette diaspora russe blanche -troisième quatrième génération- qui m'a toujours donné une impression quelque peu fantomatique ici en Belgique (¿simple impression d'un « occidental » à peine?) Après tout, ne rappelle-t-on le séjour de Karl Marx ? Un Blanc pour un Rouge, donnant donnant. Jusqu'à quand si non la guerre civile européenne ?

ADDENDA (16 mai 2019) J'ai laissé jusqu'ici de coté longtemps, faute de trouver le moyen de lui donner réponse dans mon blog, -qui se refusait à s'executer a chaque fois-, le commentaire (anonyme) joint ci-dessous (donnant juste reponse au tître de cet article) Et ceci depuis la date de son envoi (26 septembre 2013) Et en attention a l'auteur du commentaire et a l'intérêt de ce-ci, susceptible d'être éveillé à coup sûr, chez mes lecteurs, j'ai décidé donc de le publier sans plus de retard, avec des voeux très sinceres et ardents en outre, que cela puisse aider à renouer le cotacte perdu, involontairement de ma part -et suite a un problème d'ordre tecnique exclusivement. Je prends acte donc du renseigment si précis qu'ìl y fournit sur les souvenirs de Wrangel, à Bruxelles, que j'ignorais, et je trouve comme lui très vraisemblable l'empoisonement du chef des armées blanches par les Soviétiques, hypothèse la plus admise et repandue jusquíci en effet
 
"J'ai un jour vu une plaque commémorative rue Lincoln ou avenue Bel-air à Uccle. Il existe aussi un document exposé au musée de l’armée, dans une petite section sur les russes blancs, emanant de la commune d'Uccle, avec la description physique de Piotr Wrangel, sa photo et son adresse. Tout ça est donc bien documenté. Les causes de sa mort restent par contre encore incertaines. Un empoisonnement par les Soviétiques étant une des hypothèses généralement admises"

mercredi 3 mai 2017

MARINE LE PEN ET LE SOUVERAINISME CATALAN

Dans la préface a un ouvrage de Dominique Venner, « Le soleil blanc des vaincus », sur la guerre civile américaine » celui qui fut son ami et compagnon de route Alain de Benoist compare la doctrine et la problématique des « droits des états » qui d'après lui gravita de près sur les causes prochaines du conflit entre le Nord et le Sud des États Unis allant déboucher sur la guerre (dite) de Sécession, aux doctrines de souverainisme en bogue dans l'actualité. Un principe dont la candidate du Front Nationale, Marine Le Pen s'est fait le héraut dans sa campagne pour les présidentielles, face à l'UE et en guise de justification idéologique et doctrinale de sa proposition de sortie de l'euro, qu'elle aura tout de même mise en sourdine dans la dernière phase de sa campagne, comme vient de le prouver son débat télévisé de ce soir. Souverainisme égale a droit des états ou égale au droit des peuples à leur autodétermination? Vérité en déca des Pyrénées erreur au-delà, disait Pascal. Et il est fort à craindre qu'un triomphe de Marine le Pen et ses postures de sortie de l'Euro et de l'UE ne vienne pas -à l'insu certainement de la candidate anti-inmigration-apporter de l'eau au moulin  de nationalistes catalans -et des nationalistes basques en moindre mesure- qui s'autodéfinissent  eux aussi souverainistes

mardi 2 mai 2017

FILLON PORTE PLAINTE

François Fillon porte plainte contre deux journalistes du Canard Enchaîné -dont le rédacteur en chef-, la revue qui sortit l'affaire des emplois fictifs qui valurent au candidat de la droite d'être mis en examen -ainsi que son épouse- et de voir sa candidature fatalement de par la campagne qui s'en suit à son encontre, traduite par des vrais lynchages (du jamais vu dans la V République) Et il se base sur l'article de la loi électorale française qui punit la propagation de « fausses nouvelles » ou de « bruits calomnieux » ayant pour but de détourner les suffrages (exactement ce qu'il arriva) Pour quoi ne le fit-il pas plutôt? La question dans beaucoup de lèvres, sans aucun doute. Par calcul, par respect du jeu démocratique? Quoi qu'il en fût, de par ce geste, François Fillon prouve qu'il n'entend pas laisser les choses comme ça, et qu'il place son honneur personnel -et celui des siens- au dessus de sa carrière politique. Nous ne croyons pas François Fillon un homme politiquement mort quoi qu'il en soit. La preuve, le récent discours de Marine Le Pen (voir photo) reprenant des pans entiers d'un autre discours du candidat de droite lors de la campagne pour le premier tour. Ce qui incite à penser -comme d'aucuns l'avions déjà prévu dans ces pages- à une inflexion de la campagne de la candidate du Front Nationale, se tournant du coté des électeurs déçus de François Fillon, qui pourraient se montrer décisifs si non lors du premier tour dimanche prochain, si par contre dans les législatives prochaines qui pourraient bouleverser complètement le paysage politique de l'Hexagone (au grand dam de certains)

lundi 1 mai 2017

AGRESSEUR TURCOPHONE DU DÉPUTÉ PTB

Il faut le dire même si la plupart de journaux le cachent soigneusement. L'agresseur du jeune député du PTB s'exprime en turc. Et il faut le dire, et le répéter, non pas pour faire de l'amalgame ni pour jeter le discrédit, l’opprobre et l'anathème sur toute une communauté -loin de là-, si non pour bien mettre en relief jusqu'à quel point la guerre en Syrie fait clivage à l'intérieur des différents pays européens et de leurs paysages politiques respectifs. Je ne sais guère de ce que le PTB revendique mise à part l'étiquette d’extrême gauche qu'ils se voient décernée dans les journaux. Toute ressemblance avec la réalité purement fortuite? À l'entendre parler à la radio, le dirigent maintenant agressé fait plutôt étudiant d'idées « avancées », ce que les Français appellent un « bobo » (de gauche) Or, j'ai cru avoir eu affaire cela fait mille déluges, à l'époque où ceux-là mêmes ou une formation proche tenaient une librairie au boulevard Lemonnier près de la gare du Midi -est-elle toujours là?- et où je m'étais fourvoyé une fois pour être aussitôt rebuté par l'accueil qui me fut offert, à des gens qui ne faisaient pas bobos mais plutôt militants ouvriers enragés et enflammés de la même fièvre guerreciviliste de la plupart des immigrés espagnols qui habitaient (alors) dans ce quartier. C'est l'impression qui m'en était restée (gravée) en tout cas. Depuis -cela devait se passer vers le milieu des années quatre-vingt-dix- des années se sont écoulées, des déluges même. Parmi ceux-ci, les printemps arabes et l'éclatement de la guerre en Syrie. Au point que certains anciens gauchistes ne se reconnaissent plus dans une gauche qu'ils ne sentent plus la leur. L'agresseur du député PTB, dans un texte qu'il aurai distribué sur le lieu de l'agression semblait utiliser un langage de gauche. Sa victime en échange, dans le discours qu'il tint à prononcer juste après l'agression -avant d'aller se faire soigner à l'hôpital- évoqua le français Jean-Luc Mélenchon (voir photo) et aussi (horresco referens) les Espagnols de Podemos. Deux échantillons de la gauche radicale, c'est vrai, mais montrant un commun dénominateur eux tous sur la guerre en Syrie, tous alignés (nota bene) sur des positions pro-russes et pro-iraniennes favorables au régime de Bachar el-Assad. Ce qui met le feu dans l’immigration musulmane, à ne pas douter. Clé d'explication d'une agression à première vue si insolite et inexplicable? Tout arrive chers ombres!