vendredi 26 mai 2017

VALLS ET LA REVOLTE DES MÈRES

Dans son dernier ouvrage publié un mois après sa mort -”Un samouraï d'Occident. Le Bréviaire des insoumis”- Dominique Venner pointait du doigt les responsables politiques por la répression violente du rassemblement du 24 mars 2013 de la "Manif pour tous" (voir photo) où des manifestants furent gazés par les forces de l'ordre, des femmes et des enfants y compris, pour leur empêcher d'accéder à l'avenue des Camps Elysées -de l'autre coté de la place de l'Étoile- depuis l'Avenue de l a Grande Armée et celles adjacentes, en cela les gendarmes ne faisant qu’obéir des ordres provenant directement du ministère de l'Intérieur, et de son titulaire d'alors, Manuel Valls, lui-même. « Ils sont commis une lourde faute" glosait Dominique Venner juste avant sa mort. " Quand l’indignation mobilise des telles masses, des mères et leurs enfants, c'est le signe que se trouve transgressé au-delà du supportable une part sacrée de ce qui constitue une nation. Il est dangereux de provoquer la révolte des mères” (op. cit. p. 33) Et ces paroles aux résonances prophétiques nous reviennent maintenant à l'esprit à la vue de la solitude si pathétique -rejeté à la fois par son parti et par la (nouvelle) majorité présidentielle- dont se voit soudain entouré Manuel Valls, le guerre civiliste espagnol qui eut l'imprudence -comme le lui reprochèrent des internautes lors des primaires de son parti- de parler de guerre civile entre Français. D'en parler, et de chercher à l'allumer par tous les moyens, il faudrait y ajouter. Et on peut parier parier que ce fut la Manif pour tous plus que la loi du travail, la pierre d'achoppement ou l'ancien chef du gouvernement (socialiste) français il aura trébuché, celle qui aura eu raison d'une carrière politique si brillante et prometteuse

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