mardi 9 mai 2017
MISE AU POINT (À L'ATTENTION DES AUTORITÉS COMPÉTENTES)
Je ne tombe que maintenant à peine sur un articule publié dans le journal Le Soir le 17 mars dernier sous le titre en extrême éloquent “Le Pape en danger” où mention (in extenso) est faite de ma personne. Et c'est justement dans le dernier paragraphe, sous un titre pas moins éloquent et significatif, “Le plus grand risque, le pèlerinage à Fatima” où sont évoqué ma détention à Fatima le 12 mai 1982 et aussi mon ultérieure détention devant le Palais Royal de Bruxelles, le 16 mai 2000 à l'occasion de la visite du roi Juan Carlos, et dans le contexte de la deuxième visite du pape Jean Paul II à Fatima trois jours plus tôt (le 13 mai 2000) L'auteur de l'article sait bien ou devrait savoir que mon acte de protestation devant le Palais Royal avait été immédiatement précédé d'un nouveau lynchage à mon encontre dans les médias belges, espagnols, portugais, italiens et que sais-je suite à un mandat d’arrêt international d'Interpol (sic) à mon encontre, alors que je résidais légalement en Belgique depuis dix sept ans déjà, et que mon domicile était parfaitement connu des autorités belges et enregistré en bonne et due forme dans les services de l'état civil de la commune (Ixelles) où je résidais. Et suite à l'article que je viens de mentionner, je me sens maintenant à nouveau, comme alors, mis (à contre cœur) au devant de la scène, cloué au pilori des médias et signalé à la vindicte publique. Et en outre, à la merci de nouvelles mesures de surveillance (et que sais-je encore) dont je pourrais devenir l'objet. Honnêtement, peut-on trouver injustifié ou déplacé mon état d'esprit à la vue d'un article (de dénonciation) pareil ? Il me semble donc parfaitement à propos de mentionner ici deux liens récents publiés sur internet, l'un, d'un reportage paru en langue portugaise, où sont recueillis témoignages de membres -haut gradés- des forces de sécurité portugaises qui faisaient partie du dispositif de sécurité autour du pape Jean Paul II à Fatima en 1982 y qui à ce titre prirent part à mon arrestation. Le second, en langue italienne, c'est un articule d'un vétéran journaliste américain, directeur pendant vingt-cinq ans de l'agence Associated Press, qui assista aussi à ma détention à Fatima. Eux tous ils sont formels -contredisant ainsi déclarations d'il y a neuf ans diffusées partout dans le monde (y compris en Belgique) de celui qui fut secrétaire personnel du pape Wojtyla- que je n'avais pas blessé le pape à Fatima. Et je tiens à faire cette mise au point (urgente) à la vielle de la visite du pape François à Fatima (à l'occasion du centenaire des apparitions dans ce lieu) À ma décharge, et à l'attention des autorités belges compétentes
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