mardi 3 janvier 2023
SANDRINE KIBERLAIN ET LA GUERRE CIVILE EUROPÉENNE
Sandrine Kiberlain est mon actrice préférée, à quoi bon de le cacher, je ne l'ai nullement caché ici d'ailleurs, à chacun de le voir, de ceux qui me lisent bien entendu. Ce charme, cet attrait, ce caprice, cet engouement proche de l'obsession. Une française plus française que les françaises, avec le sens de la repartie, du référentiel (un respect) et de l'humour, drôle et glaçant parfois de trop, avec, et de l'accent et du français parlé qu'on attend que d'elles (genre titi parisienne, elle, en bonne bourgeoise et grande blondasse, nuance) donnant des leçons a tort et à travers, de débrouillardise et savoir vivre, du glamour en outre, et du sexy à profusion, à elle, très personnel (....) Avec sa démarche très particulière, et ses bottes à talons hauts, grands et fuyants -dommage!- qu'on arrive à voir à peine dans le films, mais que l'on voit tout de même (raté!) Plus française que les françaises, et plus juive que les juives -grands-parents, deux, trois, juifs, accompagnant-, Sandrine Kiberlain, et victime de naissance (comme il faut, donc), dont Alain Soral se plaignait qu'en pleine crise des gilets jaunes, elle s'était fendue dans un grand journal de la presse mainstream d'une interview essentielle (sic), et c'était de tout ce que, dans sa vie, elle avait souffert (....) Pauvre Sandrine, pitié! Juive, et dans ce genre encore -plus juive de naissance ou depuis toujours que toutes les autres, m'a-tu-vu (?)-, très fréquent d'ailleurs au-delà des Pyrénées, faut-il s'étonner? Et l'on la comprend et l'on écoute -de bouche-bée, et des yeux éberlués- toute la panoplie de ses leçons, et parmi elles, une d' un genre un peu spécial qu'on ne s'attendait pas d'elle, ma foi. Une leçon -en bonne et due forme- d'histoire et de géopolitique a la fois! Et c'est lorsqu'elle parle dans une scène de ce film ("Le parfum vert") de son sejour en Israël, une expérience qu'elle dit avoir partagée avec son partenaire (dans le film), de même que la passion juive que semble enflammer tous les deux. Et c'est surtout quand elle dit (texto), Israel n'est que le résultat d'une guerre civile européenne (sic) Et là, vraiment, chapeau! Ce qu'on ne s'attendait pas à entendre -mais du jamais des jamais!-, ce titre (en noir sur blanc) de l'un des ouvrages principaux d'Ernst Nolte, l'historien maudit allemand (horreur!), ni de la part en outre des voix les plus autorisées de la recherche et du discours historique politique ou géopolitique en cours, on vient l'entendre d'une charmeuse d'actrice, et donneuse de leçons (....) Plus juive que les juives, Sandrine, tu parles! Avec ce prénom. Et avec ce (joli) nez, très à elle, que je ne cesse une et autre fois de regarder (...) Et gageons que ces réflexions à haute voix et à bout portant, n'aient nulle part des échos, mettant ainsi un grain de sable -ou du plomb dans l'aile (ou un poil dans la soupe plutôt)- à sa foudroyante carrière, et à l'engrenage si bien engraissé -comme un cycle fermé- du show business et de l'industrie (sic) du septième art, où nous ne connaissons rien, mais rien de rien. Et encore moins que rien, aux coulisses des Grand Prix du Festival de Cannes, dont elle fait partie, en tant que membre du jury, s'il vous plait (...) Mais nous croyons en échange -les yeux fermés- à l'art et a la poésie -kultur en allemand- y comprise (à ma grande découverte et à ma grande surprise), la poésie du Septième Art, celui où triomphe en reine, Sandrine Kiberlain. Grâces lui en soient données!
Inscription à :
Publier les commentaires (Atom)
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire