lundi 17 avril 2017

CONVERTIS À L'ISLAM ENTRE LE FRIC ET LA FRIME

J'écoutais l'autre jour, le soir, sans y prêter, je l'avoue, trop de attention, les déclarations de l’entraîneur (coach) de l'Union Saint-Gilloise, lorsque je lui entendis, pantois, se feindre d'un éloge sas réserves de l'Arabie Saoudite, gardienne des haut lieux autour de la Mecque, ce grand pays ou il avait (sic) découvert le vrai Islam, où il avait même fait le Ramadan avec ses compagnons de l'équipe saoudien où il était alors engagé. Dans les meilleurs des mondes! Ma première réaction fut de tirer la sonnette d'alarme, si l'on pense que Saint-Gilles est une commune -elle l'était cela fait vingt-cinq ans en tout cas, lorsque j'y fixai pour un an mon domicile, et je ne crois pas que la situation ait changé substantiellement-, a forte composante d'immigrés européens et latino-américains, des secteurs particulièrement exposés à la tentation islamiste, ne soit-ce que pur rasons de voisinage avec les quartiers musulmans dans les grandes agglomérations urbaines de Belgique. Mais je finis -en me ravisant- par le prendre quelque peu au seconde degré. Fort de mon propre expérience d'ailleurs, ici en Belgique. En 2000 je fus écroué pendant trois mois (et dix-huit jours) -a titre préventif- dans la prison de Forest où je fus confronté à une réalité carcérale caractérisée (entre autres) par une forte majorité de reclus de confession musulmane, qui faisaient marquer le pas en quelque sorte à l'ensemble de l'établissement. De part leurs impositions alimentaires, de par l'appel à la prière, plusieurs dans la nuit, tolérées par les autorités de l'établissement (quel remède!), et de par le tabou intouchable qu'ils imposaient de facto autour de leurs convictions religieuses. Et je fus également témoin de la présence par mi les reclus belges (et d'autres européens) de certains qui arborait la foi musulmane également. Plus guère qu'un mimétisme de surface du à la pression ambiante, c'est l'impression que j'eus en tout cas, et cela me fut confirmé par la suite lors que je rencontrais en ville certains d'entre eux qui se faisait appeler toujours par leur prénom (belge) d'origine, bien entendu. Un islam de milliardaires, et d'amateurs et des grands vedettes et entraîneurs de foot (voir photo) doit sans doute être beaucoup plus facile ou léger à boire que ce défi de l'islamisme des grand banlieues auxquels nous nous voyons confrontés de plus en plus dans les pays occidentaux. Préoccupant quoiqu'il en soit

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