Marine Le Pen. On se connaît. Savait-elle qui j'étais? En tout cas j'avais bien donné à l'entrée du siège du FN à Nanterre lors de sa conférence de presse internationale en avril 2011, bien clair mes deux noms et mon prénom, aussi bien que le nom du journal digital espagnol pour lequel je couvrais alors un blog -parfaitement bénévole- ce qui m'accréditait chez eux. J'eus tout le temps de la conférence, débout à coté de moi, Florian Philippot. Et Marine Le Pen surpris d'abord lorsque j'avais levé la main à l'heure des questions, m'avait laissé gentiment parler deux bonnes minutes, très gentille mais d'un air (amusé) de ne pas me prendre trop au sérieux, comme tous ces journalistes professionnels -tels que l'envoyé du journal espagnol El País- qui m'écoutaient ébahis. Toujours est-il que j’avais senti que ma présence -et ma personne- etait tolérée. Comme lorsqu'à la fin, j’avais posé quelques questions a son père, Jean Marie Le Pen présent dans l'acte, qui m'avais répondu très aimable et courtois. C'était avant leur rupture qu'ils viennent étaler maintenant à nouveau -c'est l'impression qu'ils donnent en tout cas- au sujet de François Fillon. M'aurait-on laissé parler aujourd'hui, suite aux changements survenus dans leur parti ?
vendredi 2 décembre 2016
LES LE PEN. ON SE CONNAIT
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Vous considérez qu'elle aurait pu gagner contre Macron, si elle avait été contre certains "réformes" macroniennes? Genre, droit du travail etc?
RépondreSupprimerParlant de "vous", je vous ai trouvé à partir de cette recherche, sur un "The Pope's bodyguards immediately tackled and arrested Krohn, an ultra-conservative priest from Spain."
RépondreSupprimerDois-je dire "mon père"?