mardi 13 décembre 2016
PRO-WALLON OU PRO-FLAMAND UN ESPAGNOL EN BELGIQUE?
Une polémique fait rage ces deniers jours dans la presse francophone belge, elle était déclenchée en mai dernier par le Paris-Match sous le titre choc de la flamandisation de la Belgique un sujet qui tient particulièrement à coeur l'opinion publique en France- dans un reportage -justice, police, sécurité- qui faisait état de la supériorité presque écrasante actuellement en Belgique de Flamands dans des postes clé de l’État belge et de sa représentation à l'étranger. Un sujet particulièrement sensible dans certains secteurs francophones de la Belgique suite à la formation (octobre 2014) d'une coalition dite “suédoise” de gouvernement qui compte seulement une formation francophone dans son sein -le MR (libéraux, ou réformateurs)- à laquelle appartient le premier ministre, et comme tel ne dispose pas de majorité du coté francophone de la barrière linguistique qui divise la Belgique par la moitié (grosso modo) Une polémique qui met depuis toujours mal à l'aise l’auteur de ces lignes, Espagnol en Belgique, et comme tel, traînant des liens culturels indéniables -ceux de la latinité (en plus d'historiques en tant qu'Espagnol)- avec les francophones de Belgique (et les habitants du Grand-Duché de Luxembourg), et des liens particuliers sur le plan historique non moins indéniables (et plus forts que pour ce qui est des Wallons même) avec les Belges flamands et ayant des attaches sur le plan personnel en plus -des liens de sang- avec la Flandre, et aussi avec Bruxelles, mon lieu permanent de résidence pour une grande partie des années (déjà trente) ayant vécu en Belgique. Et en outre, je tiens à avouer ici des liens sentimentaux et spirituels- avec la mémoire des vaincus de la Seconde Guerre Mondiale en Belgique aussi bien du coté wallon que du coté flamand. Et c'est dans la mesure ou j'ai toujours ouvertement revendiqué -même en Belgique- une mémoire historique des vainqueurs de la guerre civile espagnole de 36, dont j'hérite par la voie de l'ascendance familiale. Ce qui m'a toujours poussé à revendiquer sur un plan historique la figure de Leon Degrelle (sur la photo, de son exil à Malaga), qui prôna toujours une Belgique unie et bilingue (o trilingue à la rigueur) jusqu'à la fin de ses jours
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