mardi 13 juin 2017

REQUÊTE CONSEIL D'ETAT DERNIÈRES NOUVELLES

Je tiens a vous faire part, lectrices et lecteurs de mon blog, de la note de la partie adverse -qui vient de m'être remise par mon avocate- en réponse a ma double requête en suspension et annulation, devant le Conseil d'État, de la mesure qui m'aura frappée d'expulsion de la Bibliothèque Royale. Elle est signée par deux avocats du barreau de Bruxelles appartenant au cabinet Xirius, Me Emmanuel Jacubowitz, et Me Diego Gutierrez Caceres. Au nom de Mme Zuhal Demir, Secrétaire d'État à la lutte contre la Pauvreté, à l'Égalité des chances, aux Personnes handicapées, et à la Politique scientifique. On m'y reproche d'avoir médiatisé l'affaire -à travers de ce blog- et partant, d’être le seul et ultime responsable de l'attente à l'honneur que mon expulsion de la Royale m'aura fatalement infligée. Ce qui n'est pas juste, ni exacte. Ce ne fut pas moi à avoir donné de la publicité à mon expulsion, étant quelque chose, bien au contraire, qui ne faisait que découler fatalement des circonstances qui accompagnèrent mon éviction du bâtiment. Dans des heures d'ouverture -vers quatre heures de l'après-midi- et me voyant accompagné de membres de la sécurité du bâtiment qui m'éconduisirent -me gardant et surveillant de près à la fois- dès l’intérieur des salles de lectures jusqu'à la sortie de l'établissement. Pas moins de deux cent personnes -de la Salle de Travail, de deux salles de lecture et du personnel- furent ainsi témoins oculaires de mon expulsion manu militari, le 6 mars dernier. Certains d'entre eux des gens qui me connaissaient bien, et qui m'appréciaient fort. Dans la note de la partie adverse on fait également une demande de confidentialité (sic) pour les plaintes -à caractère sexuel- dont je me vois objet, autrement dit, ne pouvant pas ainsi être consultées par la partie requérante. Dix sept charges (dix sept), chacune -on s'en doute- plus scabreuse et colorée et imagée que tout le reste. Toutes « confidentielles » et toutes anonymes et entendant vouloir le rester -sans blagues- tout le long du procès. ¿Estamos aquí o en Flandes ? A vous de juger, chers amies et amis de mon blog. Je vous tiendrais au courant des ultérieurs développements, je vous le promet

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