vendredi 31 mars 2017
MELANIA TRUMP, EN PORTE-À-FAUX SUR LE FÉMINISME?
lundi 27 mars 2017
FAUX ET USAGE DE FAUX ALORS? NON ET MILLE FOIS NON!
vendredi 24 mars 2017
"CABINET NOIR" A L'ÉLYSÉE?
jeudi 23 mars 2017
DORIOT, DU COMMUNISME À LA COLLABORATION. MOTIF DE REFLEXION (Guerre civile européenne) (6)
mercredi 22 mars 2017
THEO BROUNS ET L'ENGRENAGE TERREUR CONTRE-TERREUR (Guerre Civile Européeenne) (5)
mardi 21 mars 2017
FRONT DE L'INDÉPENDENCE DES ROUGES ET DES CURÉS ENSEMBLE (Guerre Civile Européenne) (4)
Et rien ne s'explique sans cette particularité remontant à la Seconde Guerre Mondiale -et au Front de l'Indépendance- de la politique belge dans l'après-guerre, d'un parti social-chrétien francophone -aujourd'hui étiqueté humaniste-, à titre d’exemple, toujours à remorque de la gauche socialiste pendant des décennies, comme si c'était leur seconde nature. Il y eut des curés dans la Collaboration comme il y en eut dans la Résistance. Plus du coté francophone ceux-ci, plus du coté flamand ceux-là. Guerre civile européenne (Nolte), la Seconde Guerre Mondiale. Souvent entre catholiques. Des curés doyens engagés dans la Résistance -comme celui de Charleroi (voir photo 1), victime des représailles de Courcelles- et des rexistes en face, des anciens louvanistes pour la plupart, comme ce fut le cas de Léon Degrelle ou de Victor Matthys, fusillé à la Libération (voir photo 2, en civil, au centre de la photo) Ce sont des évidences qu'on doit pouvoir rappeler après trente ans -le 11 mars dernier, jour anniversaire- de mon séjour en Belgique
lundi 20 mars 2017
BELGIQUE LE PRINTEMPS ET LA GUERRE CIVILE ESPAGNOLE
samedi 18 mars 2017
STÉPHANE MOREAU ET L'INMIGRATION ESPAGNOLE
Il y a des chiffres qui réveillent les morts. C'est le cas du million d'euros -brut, par an- qui vient de confesser dans les auditions devant la commission parlementaire du cas Publifine le principal impliqué Stéphane Moreau -qui aura avoué avoir souffert du manque d'argent (sic) beaucoup dans sa vie (....)-, dont je n'avais jamais entendu parler auparavant ce qui prouve mon désintérêt d'une certaine politique belge dont je m'aura senti victime plus qu’autre chose les trente années que j'aurais vécues en Belgique jusqu'à présent. Le socialisme en Belgique (francophone) c'est un poulpe de millier des bras et tentacules. Parmi eux et non pas les moindres, les soi-disant comités de secteurs, dont l’opinion publique entend parler maintenant -à tour de bras- pour la première fois. On en parle mais on n'explique gère de quoi il s'agissait. Et il faut lire entre lignes pour y voir clair. En fait c'est des organismes contrôlés par les partis, in casu le Parti Socialiste francophone hégémonique en Wallonie depuis la Seconde Guerre Mondiale, non décisoires -apprend-t-on- et destinés somme toutes a mettre leurs membres grosso modo devant le fait accompli ; des grosse rémunérations moyennant. Il y en avaient -come c'est le cas du dénommé Mohammed Bougnouch (voir photo) qui ne savait même pas -vient-il de déclarer- de quoi on parlait dans ces réunions. Comme des polypes cancérigènes qui parasitent le secteur publique en Wallonie. Et les syndicats en tout cela ? N'y étaient-ils pour rien ? Depuis quelque semaines ils essaient de nous le faire croire. Ils ne touchaient pas les parachutes (dorés) des autres, d'accord, il ne touchait pas rien pour autant. En trente ans en Belgique je n'acceptai jamais de m'affilier. Des espagnols arrivaient ici des cartes syndicales en main -les bonnes je veux dire (de gauche)- et dans quelques semaines les portes leur étaient ouvertes. Partout. Ce ne fut pas mon cas, ma foi ! Il me fallu des années -voir plus d'une décennie- pour atteindre certains droits dont ces Espagnols immigrés d'extraction ouvrière -et la guerre civile bien présente dans leur mémoire pour la plupart- commençaient jouir au bout de quelques semaines de séjour en Belgique à peine. Je ne le regrette pas. Pour ça je peux parler haut et fort de certains sujet maintenant. Ce que la plupart de ces Espagnols en Belgique ne firent pas, sans doute parce qu'ils ne pouvaient pas. Après tout ils étaient entre camarades (...) Comme Stéphane Moreau, malgré son million (brut) par an
vendredi 17 mars 2017
FILLON ET LA FRANCAFRIQUE
jeudi 16 mars 2017
WILDERS VAINQUEUR MORAL
mercredi 15 mars 2017
PAY BAS ERDOGAN A LA RESCOUSSE
mardi 14 mars 2017
CATHOLIQUE OU PROTESTANT GEERT WILDERS?
lundi 13 mars 2017
ERDOGAN ET LA BELGIQUE
samedi 11 mars 2017
MON EXCLUSION DE LA ROYALE(Vidéo)
Errata (4:06)
Non: verbalement et par écrit
Oui: verbalement et physiquement
vendredi 10 mars 2017
30 ANS DE MON ARRIVÉE EN BELGIQUE
mercredi 8 mars 2017
LETTRE DU DIRECTEUR DE LA ROYALE (TEXTE INTÉGRAL)
(Date: 6 mars 2017)
Une dizaine de lecteurs se sont plaints de harcèlements de votre part au sein de la Bibliothèque Royale et ont déposé un dossier circonstancié. Il s'agit aussi bien de faits récents que de faits survenus sur plusieurs années. Il y a de plaintes concernant des avances continues et des allusions sexuelles indésirables, aussi bien oralement que par écrit.
Ce actes sont parfois accompagnés d'attouchements qu'il est difficile d'interpréter autrement que comme des tentatives de contact corporel indésirable. Les lecteurs adaptent leur comportement parce qu'ils sont peur de vos tentatives d'approche et de vos réactions parfois agressives lorsqu'ils vous repoussent. Le responsable de la salle de lecture doit attribuer d'autres places a certains lecteurs afin de les éloigner de vous. Certains lecteurs quittent la salle prématurément de peur d'y rester seuls en votre présence, par ex. lors de la fermeture de la salle de travail. Plus d'un lecteur évite la salle de travail ou la Bibliothèque Royale pour ne pas devoir entrer en contact avec vous.
En octobre 2016, nous vous avons déjà confronté à ces faits et nous vous avions averti que si vous n'adaptiez pas votre comportement, des mesures seraient prises.
Nous avons reçu votre lettre du 28 février dans laquelle vous niez les faits qui vous sont reprochés. Nous ne pouvons pas toutefois ignorer toutes les plantes que vous ne réfutez pas dans votre lettre.
Sur base des faits qui nous ont été rapportés par les différents plaignants nous ne pouvons que constater qu'en agissant de la sorte, vous perturbez fortement le calme dont les lecteurs de la Bibliothèque ont besoin pour travailler et que vous portez préjudice au bon fonctionnement de notre établissement. En outre, vous n'avez pas respecté l’avertissement qui vous a été donné en octobre 2016. Pour ces raisons nous vous excluons de la Bibliothèque Royale pendant un an, et ce à partir du lundi 6 mars 2017. Après cette période, vous aurez uniquement accès à la salle de lecture générale et jusqu'à nouvel ordre vous n'aurez plus d'accès à la salle de travail.
Nous espérons que de tels faits en se reproduiront plus à l'avenir.
Meilleures salutations
Signataires: Sara Lammens (Directeur des Services d'appui) Robert Nowen Directeur operationnel (Collections patrimoniales) Patrick Lefèvre (Directeur Générale)
APPEL À TEMOINS
Je fais ici un appel à tous ceux qui m'ont connu et croisé à la Bibliothèque Royale, parfois régulièrement, plusieurs jours par semaine et même pendant des années, à témoigner dans ma défense de tout ce qui est contenu dans cette lettre d'accusation. J'en appel aussi bien aux lecteurs -tant de la salle de travail que de la salle de lecture générale- qu'au personnel de la Bibliothèque et même à ces cadres, parmi les quelles je compte tant d'amis sincères, de longue date même certains d'entre eux, de bien avant même que M. Lefévre n'ait accédé au poste de directeur de la Bibliothèque Royale. Je les appelle aussi à témoigner de faits plus qu'évidents et faciles à prouver allant dans le sens contraire justement des incriminations qui sont versées dans cette lettre d’exclusion.
Monsieur Lefèbvre ne peux pas ignorer le coté médiatique de ma personne et de ma trajectoire, et ne peux donc pas s'étonner de ce que je fasse publique sa lettre et de ce que j'en appelle à témoins dans ma défense.
Et je l'enjoigne ici publiquement a rendre publique l'identité des plaignant(e)s. O du moins à organiser en présence de témoins, des confrontations avec les auteurs des incriminations à mon encontre. Et notamment celle de la personne -chercheuse de l'ULB (FNRS, s'il vous plaît)- que je présume se trouver derrière de toute cette machination et tout ce montage préfabriqué de toutes pièces. D'elle aussi bien que de M. Peter Lagrou, professeur ordinaire à l'ULB qui s'était fait écho de toutes ces accusations et qui s'était permis de m'agresser à l'intérieur de la salle de lecture en présence de témoins, le lundi 27 février dernier.
Il y va de mon honneur, car ce n'est pas d'une simple procédure disciplinaire dont je me vois ici l'objet, mais bien d'une accusation (grave) -et rendue publique- contre ma personne
lundi 6 mars 2017
INTERDIT D'ENTRÉE À LA ROYALE
Et c'est de ce qui s'avère être une injustice flagrante, entachée de toute sorte d'irrégularités. Sans preuves, et sur base à une instruction rigoureusement secrète (en ce qui me concerne) et à d'accusations parfaitement anonymes. Et j'annonce mon intention de porter plainte en justice, contre une chercheuse de l'ULB -dont je me réserve le droit de divulguer le nom le cas échéant- vraisemblablement à l'origine de ces plaintes, et aussi contre Pieter Lagrou, professeur ordinaire à l'ULB, directeur du groupe de recherche dont la chercheuse référée fait partie, de la part duquel je fus l'objet d'agression et d'accusations calomnieuses devant des témoins à l’intérieur de la Bibliothèque Royale le lundi de la semaine dernière, 27 février, vers six heures moins quart. Il est clair que je vais porter plainte pour un délit de calomnies et d'attentat à l'honneur. En attendant je ne peux pas m’empêcher de pointer ici le contexte où ces attaques à mon encontre se produisent maintenant. Et il relève en premier lieu de mon contentieux ancien avec l'ULB dont fait partie le professeur mentionné, où je fus exclus -sans motifs fondés- des cours de doctorat il y a quelques années comme je l 'ai dénoncée à plusieurs reprises, et en particulier récemment dans ce blog. Je ne peux pas ignorer d'autre part l'étiquette idéologique -polémique, controversée, je l'admets, et de notoriété publique à la fois- que je traîne de précédents traitements médiatiques dont j'aurais fait l'objet, périodiquement, les années ayant résidé en Belgique jusqu'à présent, et dont il me serait facile d'apporter les preuves. Et un contexte marqué aussi de par l'existence de mon blog, que je couvre de façon quotidienne depuis déjà plusieurs années sur les sujets d'actualité les plus brûlants et variés et où je défends régulièrement et de façon claire des positions politiques et idéologiques bien définies. A ce sujet, on ne peux pas faire l'impasse sur la caractère éminemment politique d'un poste comme celui de directeur de la Bibliothèque Royale de Bruxelles, ce qui se voit étayé de par la réputation idéologique certaine qu'on attribue à l'actuel titulaire de ce poste.
A ce sujet son prédécesseur à la tête de la Royale, feu Raphaël De Smedt, avec qui j’avais eu un bon rapport de son vivant, alors qu'il était remplaçant sans être nommé, de l'antérieur conservateur, décédé, m'avait confié un jour qu'il ne serait jamais nommé à ce poste car il n'avait pas (sic) la bonne carte de parti politique. Et dans le contexte de ces accusations dont je me vois maintenant l'objet on ne peut pas faire abstraction non plus de la légende noire anti-espagnole (Leyenda Negra) dont il est beaucoup questions dans les milieux académiques et journalistiques en Espagne, née au Pays Bas (anciens) et qui colporta -jusqu'à de nos jours- des accusations principalement d'ordre sexuel. Je tiens également ici à évoquer un fait qui eut lieu à la Bibliothèque Royale, en mai 2012 le jour de la Gai Pride dont je fus témoins directe. Et ce fut l'entrée dans la salle de lecture-sans qu'a l’accueil lui fut opposé le moindre refus d'entrer- pour aller s'asseoir du coté des ordinateurs, d'un travesti, jeune, qui portait des souliers de femme de hauts talons. J'avais signifié la chose tout de suite à l'agent de la sécurité en fonctions ce jour-là, et s'en suivit une lettre que j'avais adressée à l'actuel directeur, M. Patrick Lefèvre, déjà en fonctions alors, ou je dénonçais ce fait, sans avoir eu jamais jusqu'à présent la moindre réponse de sa part. Sans doute que la lettre ou ma personne elle-même ne la lui méritait pas. A d'autres reprises, d'ailleurs, je m'étais adressé à lui par écrit -toujours de façon irréprochablement correcte- sans avoir jamais eu la moindre réponse non plus, ni de lui ni de ses subordonnés. Dont acte