lundi 27 mars 2017

FAUX ET USAGE DE FAUX ALORS? NON ET MILLE FOIS NON!

Faux et usage de faux de la part de Pénélope Fillon? Quelle feuilleton! Et je sais un peu de quoi je parle m'ayant vu condamné en 1994 en justice à Bruxelles -comme un vulgaire faussaire- pour des charges pareilles si"politiques" (étroitement liées en effet dans la chronique judiciaire de tous les jours , avec d'autres, comme le trafic d'influences, le blanchissage d'argent, la fraude fiscale à la figure fétiche de corruption) Savoir, pour avoir omis de mentionner dans mon inscription au barreau néerlandophone la mention d'une peine à l'étranger déjà entièrement accomplie et donc blanchie -et pour la part de peine effectivement accomplie et pour la part de liberté conditionnelle- conforme à des principes élémentaires du droit, ne m'ayant nullement senti donc dans l'obligation d'engager la procédure dite de réhabilitation et ne me sentant pas non plus dans l'obligation morale d'endosser le sort des « inciviques” belges (ceux de la Seconde Guerre Mondiale) ceci en tant qu'étranger, et compte tenu en plus du caractère absolument exceptionnel -et médiatisé (nota bene)- de mon cas (“tentative d'attentat” contre le pape Jean Paul II à Fatima en mai 1982) et qui m'aurait condamné fatalement -au cas d'en avoir fait mention- a me voir cloué au pilori des médias comme cela finit par être le cas d'ailleurs. D'ailleurs la polémique allait éclater dans la doctrine belge juste après ma condamnation alors sur le sujet du blanchissement des peines. Et je me sens aujourd'hui blanchi comme je me le sentis alors, quoique cela me valut la rupture -jusqu'aujourd'hui- avec un prestigieux cabinet d'avocats de Bruxelles qui persistaient à vouloir me culpabiliser là-dessus. Faux et usage de faux alors? Non, mille fois non ! Et je le répète avec autant de force aujourd'hui que certains -par des procédures disciplinaires- voudraient me convaincre on ne sait pas au juste de quoi (à nouveau)

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