jeudi 2 février 2017
FILLON, TENEZ BON!
On nous l'a déjà joué il y a quelques mois avec la fameuse phrase de Donald Trump sur les femmes, quel lynchage! Et ayant été lynché moi-même pendant des années -quoi? des décennies- je sais de quoi j'en parle. On a vu aussi la campagne de sabotage, presque un an, de tous ou presque tous les médias espagnols tirant à boulets rouges contre Mariano Rajoy. Quelle image qu'ils auront réussi à donner depuis un moment les médias d'eux mêmes! D'ailleurs le journaliste n'est pas seulement quelqu'un qui rapporte des ragots ou des informations soient-elles fausses ou vraies, mais quelqu'un qui sait dire aussi son avis le moment arrivé, et je dirai plus, quelqu'un qui sait parier, ce qui n'est au fond qu'une forme de voyance quelque chose qu'on est en droit d'attendre des journalistes qui rendent digne leur métier, ou leur activité dans le cas de journalistes périodiques et non professionnels comme c'est bien le cas de l’auteur de ce blog. Et mon pari dans cette affaire est clair. Comme l'avait été à l'occasion des élections pour la présidence de la Droite laquelle avait semblé se jouer dans un mouchoir de poche. A l'époque François Fillon (2F comme l'appellent les internautes) avait surpris et prit de court tout le monde par sa ténacité devant l'adversité et la mauvaise foi de l'adversaire -quelles magouilles dans le camp d'en face!- et par sa résolution inébranlable. Et le temps allait finir par lui donner (amplement) raison. D'aucuns ici seront surpris peut-être de mon choix à la vue du rapprochement que certains de mes articles laissent entrevoir d'avec la fille Le Pen. Erreur d'optique. J'estime dans tout ce qu'elles valent la personnalité politique de Jean Marie le Pen et même celle de sa fille et je reconnais toute l’importance du Front National dans la vie politique française à l'heure où nous sommes. Je n'ai jamais tout à fait compris néanmoins (au fond) cette PS/connection du parti fondé par Jean Marie Le Pen, quelque chose qui remonte à la présidence e Mitterrand, où cette formation nationaliste allait émerger électoralement parlant. Des accointances réels ou présumés avec un parti socialiste français qui aura traîné au cours des décennies ce que les Francais appellent le syndrome de la guerre d'Espagne -avant et après Mitterrand-, quelque chose qui se sera perpétué jusqu'à nos jours comme le prouve le cas de Manuel Valls dont je me serais occupé à plusieurs reprises ces dernières semaines. « On est face à un coup d'état institutionnel », aura déclaré François Fillon. Un coup institutionnel de la gauche qui désespérant de pouvoir gagner las présidentielles « veut -dit-il- placer le combat sur un terrain autre que celui de la démocratie" Et honnêtement je crois qu'il a raison. Hisser Macron -où à la limite Hamon- à l'aide de Marine Le Pen et de ses partisans? La ficelle est trop grosse cette foi-ci. Fillon, tenez bon!
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