dimanche 16 décembre 2018
LA ROYALE ET MOI
mercredi 14 novembre 2018
RETOURNEMENT DE MARINE LE PEN
Cher monsieur, bon jour. Je viens de regarder et écouter en caméra vidéo le discours de Marine Le Pen à Verdun, en souvenir de la fête de l'Armistice, et de la victoire francaise dans la guerre 14-18. Et je dois dire que j’en garde un goût fort amère, et un sentiment indelébile de frustration, pas tant par ce qu'il y aura eté dit mais de par tout sur quoi elle se sera tue, a bon escient, bien sûr. Sur le marechal Pétain, d'abord, qu'elle aura reussi à evacuer (sic) dans son discours. En contradiction flagrante d’ailleurs avec ce qui enseigne et prêche depuis toujours –dans son dernier « journal de bord » sans aller plus loin- son père, Jean Marie Le Pen. Et silence aussi de Marine sur l'Espagne -qui lui offrit, généreuse, refuge et accueil. à elle et aux siens, lors de leur depart de l'Algérie- et le monde hispanique dans son discours, truffé de tant de'evocations et des références à tant des peuples amis (européens). L’Espagne, certes, fut neutre dans la Grande Guerre, et les sentiments et les préférences pour l’un et l’autre des camps opposés furent considérablement partagés au sein des Espagnols. Ce qui aurait pu amener facilement en échange Marine Le Pen à se questionner, comme fit Charles Maurras, sur les raisons qui éxpliquent ce que ce dernier voyait comme une incapacité dont les Francais et et ses Alliés firent alors preuve, savoir, celle de convaincre les Espagnols dans leur ensemble, un peuple catholique et de culture latine somme toute, comme les Francais, et les Italiens, du bien fondé de leur cause et de leur combat.
dimanche 11 novembre 2018
CENTENAIRE DU 11 NOVEMBRE, HOMMAGE AU MARÉCHAL PÉTAIN
mercredi 24 octobre 2018
SAINT-JOSSE, ET LE GRAND REMPLACEMENT
vendredi 19 octobre 2018
MOLENBEEK, "¿OU SONT LES FEMMES?"
vendredi 21 septembre 2018
MARINE LE PEN ET LA PSYCHIATRIE (ET MOI)
mardi 4 septembre 2018
À BAS L'ISLAM !!!
jeudi 30 août 2018
ARRET "SPAGHETTI" POUR DES ESPAGNOLS?
vendredi 17 août 2018
CATALOGNE ET LA MAGISTRATURE BELGE
Un mise en demeure ou coup de semonce du moins ou avertissement sérieux, à tout le moins, à tous les Espagnols que residons ici, cette assignation en justice du juge Llarena (voir photo), fort apprecié et respectée par un large majorité de l'opinion publique espagnole. Et c'est de se tenir coi, de ne pas se sentir ni en sureté, -ou a l’abri des plus grossières des provocations- ni en égalite des droits avec les autres citoyens, même ceux en provenance des pays etrangers. Cést ce qui me semble voir dans la nouvelle et derrière tout un nuage d’apparences qui vont de pair avec elle. Exagère-je ? Dans un article publie sur mon blog en langue espagnole, je commente egalment cette nouvelle, et je me permets de la mettre de pair avec la figure de Leon Degrelle, dont l’ombre du souvenir hante toujours certains esprits ici. La preuve indiscutable que la guerre continue. Et avec elle, la vulnerabilite, le manque flagrant de protection des droits les plus élementaires, comme la présomption d’inocence, le droit à l´honneur et a la bonne image, à la merci –à l’heure même où nous sommes- des capagnes de lynchage ou d diffamation quelconques. Devant le manque ahurissant de preuves. Et, en echange, la Seconde Guerre Mondiale toujours en flammes, et ses suites ici en Belgique, comme le confirme o certifie la condamnation a mort qui pend toujours sur le leader rexiste, mort –de sa belle mort (á la Costa del Sol) il y a belle lurette.
On doit payer, c’est clair -et c’est pour certains ici, ce qui compte-, payer por le refuge dont jouit le leader rexiste en Espagne ce qui lui permit d’echapper a la justice répressive –des vainqueurs contre les soi-disant inciviques- jusqu’à la fin de sa vie. De s’être joué (eperduement) des plusieurs tentatives (en vain) de l’extrader, voire de le prendre en otage. Grace a la protection (solide) dont il jouit de la part des autorités espagnoles. Et l´occasion tant desirée donc du reglement historique des comptes, vient maintenant avec la tentative sécessioniste en Catalogne. Tant pis pour ce qui puisse arriver ici par la suite. Séparatisme seulement chez les autres ? Cela laisse reveur.. Mais il y en a –même chez des magistrats- qui font comme s’ìls ne se rendaient pas compte.
Dans mon article du blog espagnol je parle de « contubernio », un mot qui peut etre traduit en francais par concubinage ou alliance contre nature. Un terme du jargon politique de la presse officielle (du régime antérieur) –contubernio de Munich- cela fait des décénies. Venu a mon esprit tout à fait par hasard ou de par des resemblances ou des analogies plus qu’évidentes? Rien de moins sur, car ils me viennent a l’esprit presque à la fois les mots de Staf de Clercq –repris dans sa biographie, par Bruno de Wver, le frère de Bart et comme tel hors de tout soupcon- où il prenait des distances (en avril 1937) par rapport a ses amis de la veille, les nationalistes basques (pendant la guerre civile espagnole) Nous voulons epargner a notre peuple –dit-il alors- le drame d’un peuple catholique comme les sont les Basques, entrainé par l’aveuglement de ces dirigeants á une alliance contre nature avec les bandes marixistes (....)
Or, puissent-ils se le permetrre les Belges pour compte de l’íntégrité d'un pays qui reste pourtant si proche pour les liens de l´hisoire et bien d'autres ? On peut, c'est vrai prendre en compte –afin de le disculper- beaucoup de choses, comme le fait de se sentir –de par leur situation géographique- a la croisée des chemins ("la Belgique, une auberge et un chemin", -un camino, y un mesón- tel quélle est décrite dans la litterature contemporaine en langue espagnole) et de ce fait au centre des décisions qui lient le destin de certains pays, plus au Sud de preference. De cette vieille tradition, en suite, qui poussent les Belges –les Flamands de préférence- à se sentir (royalement) dans le droit de se mêler –à distance un tout petit peu (ma non troppo)- des affaires d’un pays dont ils hesitent toujours à reforcer les liens, ou à bien marque par contre les distances et les differences (....) Si bien qu’ils croient peut-étre (certains) l´heure venue de doner le coup de pouce décisif a l’indépendance de la Catalogne.
Profitant de la conjoncture, aussi bien sur le plan internatoinal que celui de la politique espagnole, a la faveur du changement du gouvernement et l’arrrivée au Palais de la Moncloa –siège du gouvernement espagnol- d’un mandataire socialiste qui serait moins rétif ou réfractaire aux ingerences belges dans la politique espgnole, in casu dans la situation –au bord de la reupture- en Catalogne. Et ceci grace un concubinage ou alliance contre natura de nationalistes flamands avce la gauche espagnole et les separatistes catalans, tributaires nota bene d'une memoire de gauche heritée pour la plupart de celle des vaincus de la guere civile espagnole Et en vertu –par dessus le marché- de cette vieille tradition ou routine de la politique en Belgique –que jái deja denoncée ici à maintes reprises- de chercher le compromis (« à la belge « ) aux frais toujours de l´Éspagne et des Espagnols (dans leures affaires internes) Mais ils risquent de se laisser prendre au jeu cette fois-ci, ma foi.
Car personne n’est a l’abri d’un revirement soudain de la situation politique si fréquents la-bas, ni d’un sursaut en dedans et en dehors de Catalogne, de l’opinion publique dans la Peninsule qui puisse se sentir (en fin) jouée et bafouée dans sa fierte comme peuple, das sa dignite individuelle comme colective- par des pays ou des puissances du dehors qui veulent décider à tout prix –comme toujours- de son destin, et fixer ou ímposer le devenir politique de la nation, avec son calendrier et ses feuilles de route.
Puissions-nous donc nous écrier –à l’aide d’une tirade restée memorable dans la lignée des phrases -et des discours- plus marquantes de l´histoire européenne –et tant pis si certains se sentent choquës ou scandalisés par les rassemblances ou analogies. Reveille-toi peuple espagnol secoue-toi, débarrasse toi de tes complexes et du poid de tant des cliches désobligeants, dehonorants –et maolodorants- , qui collent à ta peau depuis si longtemps, en viguer toujours ici pour ton compte-, de tant d’échecs et des defaites –surtout en Europe-, et que la tempête (sturm) se déchaîne ! Dábord, parmi les Belges
ADDENDA (urgent) Un rappel se fait attendre de l'ambassadeur à Madrid en effet. Jusqu'à quand?
vendredi 3 août 2018
CATALOGNE ¿NATIONALISME OU HISPANOPHOBIE?
Les textes (scandaleux) qui précèdent appartiennent -mais ils ne sont pas de son crû, une paraphrase (hispanophobe) à peine d'un écrivain et poète connu, bilingue, castillan et catalan- à Joaquin Torra (voir photo) qui a été chargé de succeder à la tête de la Generalitat (de Catalogne) a Carles Pugdemont (nommé par celui-ci même) dont la presse vint de diffuser la nouvelle de sa candidature de tête de liste de la N-VA pour les prochaines élections en Belgique. Et je me suis permis de transcrire litteralement ces textes en espagnol (castillan) car après trente ans de residence ininterrompue en Belgique je ne suis (plus) dupe, mais bien avisé de ce jeu typiquement belge de faire semblant, en s’agissant d’Espagne et des Espagnols. Et face à ce sentiment (irreprimimible) de honte d’autrui, pour commencer, devant tout ce qui puisse de près ou de loin leur rappeler si non les propres origines, sí leur prope passé –ou « période » ou «régime »- espagnol. Lorsqu'íls entendent, par exemple, parler (en public) ma langue, et cela ne s’en va pas sans me rappeler de mes yeux les expressions (genées, narquoises à la fois) indubitables (et penibles par dessus le marché) de ces flamands avec qui jetais obligé de cohabiter pour raison de recherche d’emploi-et des « contrats sociaux »- , qui voulaient me convaincre (peine perdue) que leur compréhension (sic) pour le revindications de l’ETA et des Basque séparatistes n’avaient rien de hispanophobie, ou d'anti-espagnol (savoir, hispanophobe et raciste) Tu penses ! Lorsqu'íls font semblant –un autre exemple -flamands ou frcophones d’ailleurs- quil sont parfaitement ignares et distants (et etrangers) aux désaccords entre Espagnols, ceux derivés du fait de l’inmigration ou ceux autres (assimilés aux autres et néanmoins pires, plus irreductibles encore) derivés de la guerre civile. « N’ayant pas (eux) à se meler d’un conflit dans un pays etranger » comme il avait (sèchement) tranché à l’èpoque, Joris Van Severen, se démarquant ainsi des mouvements ideologiquement homologables partout dans le monde alors, au sujet de la guerre d'Espagne. L'exception flamande ou belgo/flamande, oh combien revelatrice -une de plus- de l´hispanofobie ou du complexe belgo/español ! (....) Et preuve de ce que je dis, l’apporte Christiane Stallaert proffesseure de l'Universié d'Anvers, hispaniste de renommée et spécialiste en « nationalisme etnique » (parmi les Espagnols) Et c’est lorsqu’elle disait que l’expression Jan Alleman (Monsieur tout le monde) n’a pas son equivalent en espagnol, que cela n’existe pas (sic) chez eux (chez nous), que dire un Espagnol et rien dire c’est la même chose, car il n’y a que des Espagnols de droite ou de gauche, c’est à dire indissociablement associés a une barrièrre (de tranchées) heritée de la guerrre civile. Bien vu en effet (1). Une autre preuve l’apporte Bruno De Wever (2), frère plus agé du dirigent de la N-VA. Et cétait dans des déclarations relativement récentes au sujet de la Catalogne où il décrivait la constitution espagnole –gran rempart contre les tentatives de secession, les plus solide et iébranlable à l´heure qu'ìl est- comme une constitution pas a part entiere. Car -venait-il dire- personne ici n’est dupe que ce ne fut qu'un arrangement ou compromis (bon marché) pour sortir du franquisme. Une originalité espagole (ou spanjole) et rien de plus, avec le (peu de) respect que cela mérite, sous-entendu. Et avec tout ce qui précède, il est aisé à comprendre que la tanscription littérale –tel que fut difusèe et publièe par la presse espagnole (Catalogne y comprise)- des déclarations –messages Tweeter pour la plupart- du successeur de Puigdemont, permettent de mieux comprendre tout ce qu’elles vehiculent de cru, d’authentique, « d’espagnol », donc de belligerant, d’irreconciliable (à première vue) et de hargneux, á des années lumiere de la douceur de vivre de ces « pays bas »-et ses confllicts linguistiques-, et toute sa force de déflagration –savoir de déchirure et de séparation, heritée nota bene de la guerre civile (qui dure encore)- sans qu’ìl n’y eut aucun besoin –pour des Belges- d’ínterprête ou de traducteur (d'espagnol) Bien sûr que non. Et devant le racisme et la xenophobie si grossiers, si primaires dont suintent les textes –flagrants scandaleux- mentionnès là-dessus, d'une personnalite si saillante de l’indépendentisme catalans, la réaction prévisible des Belges (francophones ou flamands) c'est –comme toujours- celle de faire semblant, et celle de faire comme s'íls ne savaient de rien, comme si cela ne les regardait de pres, comme s'íls n’avaient rien à voir avec des histoires d’Espagnols. Pensez-y! Indépendance pour des autres seulement ? Vaut cela seulement chez des Espagnols ? (...)
(1): Bien vu mais un peu tard (hélas) Bien après la publication de son ouvrage –si tendancieux, bourré de préjugès (idéologiques aussi bien qu'académiques)-, "Etnisch nationalisme in Spanje" et le grand battement médiatique que cela amena et l’échange de correspondance entre nous deux dans le journal espagnol de Bruxelles, juste avant mon acte de protestation –et mon arrestation- devant le Palais Royal (mai 2000) lors de la visite du roi Juan Carlos en Belgique. Car il est fort a parier qu´elle vit chez moi alors-de ses yeux quelque peu èberluès-, un Espagnol de mentalité pas (tout a fait) comme les autres qu’elle avait croisés ou frequentés ici dan la vie de tous les jours, et au cours de sa carriére d´hispaniste en Belgique
(2): Illustratif au plus haut point en effet, ce dédouanement (habile)–de l’Espagne et ses affaires internes- de l´historien flamand. Et c’est de ce que j’appelle compromis a la belge (savoir, entre Belges) pour compte du passé espagnol ici, et en dernier ressort d’Èspagne et des Espagnols. Dans sa biographie de Staf De Clercq (1987) nèanmoins, Bruno De Wever prouve bien avoir compris –et réussi à exprimer à la fois- la vision lucide et à la fois nuancée du leader du VNV prenant distance (nette) pendant la guerre civile espagnole du nationalisme basque, alter ego des nationalistes catalans, aux yeux surtout, des nationalistes flamands (de ceux de la N-VA, comme ceux du Vlaams Belang d’ailleurs)
ADDENDA Il ne va pas non plus sans commentaire la germanophilie des nationalistes catalans –soigneusemnt passé sous silence par les medias belges plus engagés avec l’indépendance de la Catalogne. Elle avait eté montrée au grand jour par la guerre de Sécession, entre les Bourbons francais et la maison d’Áutriche, que l´historiographie en vigueur a présenté et expliqué toujours come un rejet catalan du centralisme des Bourbons et de la Monarchie absolute. Moins centraliste l’Empire des Habbourg ? Tu penses ! Et devant cete difficulté insurmontable en apparence, le principal historien contemporain du nationalisme catalan ne fit que se rendre à l’évidence –comme je le rappellais dans mon livre « Cataluña en guerra » redigé entièrement à Bruxelles, à la Bibliothèque Royale. « Oui, il faut en conclure –écrit-il, d’un ton quelque peu désabusé- les Catalans aimaient la maison d’Autriche » Il y avait en effet un fondement historique proprement ancestral à cette germanophilie (« austraciste ») dans le passé, qui remontait à l’époque –au milieu du Moyen Age (pendant la Reconquista) - où la Catalogne avait fait partie de l’Empire, la Marche hispanique. Et où ils prirent part pour leur compte à l’entreprise européenne des Croisades (la Castille et l’Aragon étant absorbés par la Reconquista, dans la Peninsule) Et ce chapitre historique catalan faisait figure ou jouait le rôle de titre de legitimité européenne, comme le rappelait l’archiduc Otto d´Habsbourg, ancien président de la Commission Européenne, lorsqu’íl s’exclama grandiloquent (et démagogique): « Enfin, les Catalans ! Presque mille ans l’Europe les attenda! », á l’occasion de la demande d’entree dans l’UE de la Catalogne comme état indépendant, fait par les indépendentistes. Mais cette germanophilie éclata surtout au grand jour lors de l’accueil enthousiaste, triomphale –et les documents graphiques ne manquent surtout pas- que les catalans reservèrent a Heinrich Himmler en 1939, dans les rues de Barcelonne, venant juste de se terminer la guerre civile espagnole. Dyalectique Nord-Sud â l’oeuvre dans le conflict catalan, tel que l’expriment le textes (hispanophobes) transcrits ci-dessus ? Soit, mais de quel Nord s’agit-il ? De la France et l’Angleterre qui l’emportèrent sur l’Espagne lors des guerres de religion, ou de l’Allemagne et l’esprit nordique qui furent pour la littérature en catalan de l´âge moderne –voir par exemple Joan Maragall- principal motif d’inspiration ? Catalogne à la croisée des chemins. Entre le séparatisme, calqué de celui des flamingants –N-VA ou Vlamms Belang- et les courants identitaires gravitant autour du Front National.
mardi 24 juillet 2018
"ME TOO" ET LES CURÉS DÉFROQUÉS
« Me Too » et ses dindons de la farce, et ses casseroles. La dernière en date c’est l'expulsion –démis de ses fonctions- du scientifique et professeur espagnol, Francisco Ayala, (voir photo) de l’Université d’Irvine en Californie où il occupait des postes de la plus haute influence et responsabilité, après avoir été l’objet d’une procédure d’investigation et de quelques quatre-vingt dénonciations (quatre-vingt), accusé d’abus et de harcèlement sexuels. L’affaire fait du bruit, normal dirait-on, aussi bien das les milieux de la dite Université que dans la presse –papier et digitale à la fois- en Espagne, son pays d’origine. « On a converti -déclare-t-il d ans la presse espagnole- mes gestes de courtoisie en accusations de harcèlement sexuel ». Choc de cultures –entre les États Unis et l’Europe où certaines des manières qu’on lui reproche sont acceptées en toute normalité ? Anachronisme dû a son âge ? Le bruit et la poussière que la polémique aura déclenchés laissent transpercer tout de même la volonté inflexible, déterminée, dans certains milieux des Etats-Unis, d’imposer certains codes de conduite et de comportement sur le plan de relations sociales, et d’exclure et de bannir d’autres qui sont vues comme propres à d’autres pays, ou à d’autres continents –l’Europe, p. ex., le double baiser dans les (deux) joues- ou comme un défi aux croyances (sic) en vigueur dans ces milieux, à entendre les déclarations sur cette affaire du recteur de l’université concernée.
Par là oú il fait sans doute aussi allusion aux positions polémiques de ce scientifique espagnol en faveur de la théorie de l’évolution, sujet sensible s’il en est aux Etas-Unis, spécialement dans ses milieux les plus conservateurs, marqués par un fondamentalisme religieux de signe protestant qui, avec l’arrivé de Donald Trump à la présidence auront connu –après l’ère Reagan néanmoins- son plus grand essor. Et enfreignant par-dessus le marché, des postulats inamovibles dans l’argumentation concernant l’ADN –devenu comme une sorte de religion ou pseudo-religion laïque- de la propagande (de couche surtout ecclésiastique) contre l’avortement. Un trait et de la personnalité et de la trajectoire du professeur incriminé prête le flanc surtout, à mon avis, à ce genre d’accusations, et c’est le fait qu’il s’agit d’un ancien membre du clergé, ce qui plus est, un ancien moine (prêtre dominicain) sécularisé cela fait bien des années. Plus de trente (et encore plus) Peu importe, car la mémoire de l’institution -comme chez bien d’autres d’ailleurs-, est longue et elle a tout le temps devant elle, comme disait, faisant montre de cynisme éprouvé, le personnage central –un inquisiteur anglais- du "Nom de la Rose". Ainsi, ce passé, révolu à jamais, pour le propre intéresse devient fatalement le passé qui ne passe pas, prêt a lui rattraper au premier tournant, comme il lui est arrivé maintenant. À la merci par dessus le marché, de stigmatisations de toute sorte, attachées a la personne et à l’image des ecclésiastiques sécularisés, ou dans d’autres termes, des curés défroqués.
Et particulièrement celles –qui nourrissent toujours certaines imaginations ma foi- qui les dépeignent comme des êtres sexuellement dépraves (ou pervertis ou pervers ou dévoyés). Je n’y peux rien, devant une réalité tenace dont moi-même j’aurais été témoin et victime a la fois pendant tant d'années. Aggravé en Belgique d’ailleurs par une triste chronique d’actualité judiciaire la plus brulante –les cas de pédophilie- ces toutes dernières années. Croire au scientifique accusé, ou à celles qui l’accusent ? La question n’est pas là, car en stricte procédure –judiciaire ou disciplinaire administrative- ce sont les preuves (tangibles) qui commandent. Et le manque flagrant, retentissant dans ce cas comme dans tant d’autres ne peut pas être compensé par des temoignages –toujours soumis a caution- à l’encontre de l'accusé, aussi nombreux furent-ils, loin de là. Ce qui frappe aussi c’est tout ce que ces cas auront eu la vertu de mettre en lumière et c’est entre autres le caractère secret de la procédure, qui dans le cas que nous occupe n’aura été levée qu’après le bruit médiatique déclenché par cette affaire. Fantasme de l’Inquisition (espagnole)
Car tout se passe en effet comme si on assistait au retour du refoulé, d’un passé historique –ce qu’on appelle « la période » ou « le régime espagnol »- que les Belges ont du mal a assumer. Et je ne voudrais pas insister trop la-dessus, à dessein, conscient –ma foi- du coté sensible délicat, à fleur de peau, toujours resté plaie vive, du sujet. « L’Université se résistait a rendre publique certains témoignages à son encontre car –disait-il- ils étaient parfaitement banales »
De même, je les enjoigne, vivement, à rendre publique ces témoignages ou preuves par écrit (sic) dont il est question dans ma lettre d’expulsion de la Royale. Car si certains en rient, de la farce je veux dire, nous voulons en rire tous, car nous en avons le droit, même des Espagnols ici, avec qui –d’après un cliché fortement ancré dans la mémoire collective belge- « en Flandres on arrêta de rire » (c’est ce que j‘appris du moins à l'ULB) Assez de farce dans cette affaire!
jeudi 21 juin 2018
DES JUIFS COLLABORATEURS DANS LE MYSTÈRE DE L'HISTOIRE (Guerre Civile Européenne) (19)
mercredi 9 mai 2018
AU NOM (ANTICHRÈTIEN) DE LA LIBRE PENSÉE
Ursula Haverbeck, la « mamie » nazie objet d’un mandat d`arrêt. Et arrêtée (manu militari) et écrouée en exécution d’une condamnation à une peine de deux ans de prison ferme, pour négation de l´holocauste (juif), à l’âge de quatre vingt neuf ans. Du jamais vu et entendu. Même pas ici en Belgique. Et pareille nouvelle ne peut pas se passer de commentaire dans ce blog, quitte –c’est vrai- à ce que le ciel nous tombe a nouveau sur la tête, car il n’est pas dit et il n’est pas prouvé que le chapeau d’antisémite, lourd en effet, le soit plus a porter (injustement) que celui de harceleur sexuel –et de harceleur sexuel espagnol, par dessus le marché- ici en Belgique. Pour un délit d’opinion, et d’opinion religieuse en outre. Doublement anticonstitutionnel donc, contre le droit (certifié par la Constitution belge) à la liberté d’expression et contre le droit (également certifié) a la liberté religieuse. Quoi ? s’écrieront aussitôt certains (indignés) Religion juive de l´holocauste (Shoah) en effet, objet donc d’une croyance et pas un simple objet de recherche historique ou scientifique.
mercredi 25 avril 2018
OUBLIÉE LA RÉSISTANCE BELGE? (Guerre civile européenne) (17)
lundi 16 avril 2018
ORDRE DE YALTA EN ECHEC EN SYRIE
vendredi 30 mars 2018
ALIBI CATALAN DE LA HAINE DES ESPAGNOLS
samedi 24 mars 2018
WEINSTEIN ET ANTONIO BANDERAS
mardi 20 mars 2018
ASSAD A GAGNÉ LA GUERRE
Alain Soral, le controversé polémiste français aux prises à la justice de son pays ce deniers jours pour des acusations de revisionisme et negationisme et xénophobie (et que sais-je encore) aura dénoncé l’éjection (sic) de Francois Fillon aux presidentielles francaises victime d’une campagne médiatique enragée des médias obieissant (aveuglement) aux ordres des garants et exécuteurs -dans la presse « mainstream » pariant tous pour Emmanuel Macron- de ce plan de domination mondiale toujours à l’oeuvre, aujourd’hui, à l’aube du troisième milennium, comme hier, au milieu des annés trente. Et ce plan de domination mondiale passe joujours fatalment par le Proche Orient et, cela va de soi, il passe aussi par le confict syrien qui se joue aussi bien dans le fronts de guerre sur le terrain que dans une guerre de propagande intermittente et interminable faisant rage ´dans le Ghouta oriental comme dans la bataille d’Àleppe et à travers les médias (main stream) du monde entier. Les vents ont changé donc.
Car le ressac du conflict syrien menacait de tout engloutir ou envahir, ma foi. Par cette vague surtout des refugies politique (mêlés a des innmigrés économiques de toute sorte) qui se etendait partout en Belgique –et n’en parlons pas d’autres pays europeens- dans la rue comme au sein de ètablissements publiques (universités et bibliothèques) Des enfants choyés par des autorités et respnsables belges de toute sorte, omniprésents, qui rien ne semblait arreter dans leurs pretensions, leur arrogance et outreuidance –et leur sectarisme et fanatisme (politique et historique et culturel et religieux à la fois) et parti pris par dessus le marché-, jusque au coup d’arret que fut –qu'on le vit bien d’ici-´le dénoument -traduit par un retentissant fiasco- de la crise des armes chimiques cela fait trois ans, lorsque la troisième guerre mondiale faillit avoir éclaté, si le president américain avait puni -comme il se vantait de vouloir le faire- le franchissement par le regime syrien des soi-disant lignes rouges. Malgre tout ca, malgre cette formidable pression médiatique, politique et diplomatique internationale, Bachar-el Assad. aura su résister un si grand défi. La nouvelle –telle que l’aurait appellée Frédérick Nietzsche- la plus terrible et plus extraordinaire de notre epoque. Assad a gagné la guerre. Bonne nouvelle !