Le fait tragique survenu dans une mosquée au Québec met fatalement en lumière le cas tout à fait atypique de l’immigration au Canada et en particulière dans la région francophone du Québec, comme le prouvent les articles que consacrent a ces sujet le journal français « Le Figaro » dans son édition d'aujourd'hui. Les victimes de l'attentat était tous des ressortissants des pays musulmans -l'Algérie,le Maroc, la Tunisie et la Guinée (Conakry)- et un d'entre eux, un Marocain, était professeur réputé de l'Université (catholique) de Laval, celle ou suivait ses études l’auteur de l'attentat. Un pays désagrégé -de l'image qui se dégage du reportage du journal français-, le Canada, avec de villes comme Toronto (4 millions d'habitants, comme Madrid) et Vancouver (600.000) à majorité immigrée ayant devenu (sic) villes asiatiques, à commencer de par leur physionomie.
Comme l'est devenu Londres -peut-on y ajouter- dans certains de ses quartiers. Et avec des perspectives de croissance qui rendraient de provinces entières -comme celles de Toronto et Vancouver- pour ses trois cinquièmes composée de population musulmane dans l'espace de quinze ans. L'attentat à la mosquée se serait vu précédé d'un jour par l'annonce du premier ministre Justine Trudeau, francophone (voir première photo) -fils de Pierre Eliott Trudeau, figure emblématique (de gauche) de la politique canadienne et québecoise des années soixante et septante (du siècle dernier)- dont la politique en matière d'immigration basée sur la multiculturalité (sic) rencontre un fort rejet auprès de certaines franges de la population surtout chez les Quebecois de souche, d'être prêt a accueillir tous les immigrés refoulés des États-Unis par les nouvelles mesures -de prohibition d'entrée dans le territoire de ressortissants d'une liste de sept pays musulmans- renforçant ainsi la croissance annuelle d’afflux d'immigrés dans le pays, de l'ordre de 320.000 l'année dernière, et qui se prévoit qu'atteigne le 450.000 dans l'espace de cinq ans. Le tout dans le cadre d'un plan ambitieux de expansion démographique -en fonction d'objectifs à la fois politiques, démographiques et humanitaires- pour l’ensemble de la population du Canada qui compte pouvoir atteindre le chiffre de cent million d'habitants (sic) à la fin du siècle. L'annonce du premier ministre canadien -dont le gouvernent compte plusieurs ministres d'origine asiatique -Afghans, Indiens sikhs, comme le ministre de Défense (voir la seconde photo)- aura été suivie des déclaration de son ministre de l'Immigration -d'origine somalienne- déclarant que leur politique migratoire se base (sic) sur la compassion. De quoi rallumer -on conviendra- par derrière le formidable débat que l'immigration en masse provoque dans les pays occidentaux, un autre plus ancien de nature philosophique -et religieuse- qu'avait soulevé Frédéric Nietzsche de par les critiques et accusation versées contre l compassion/chrétienne (sic) versés dans son ouvrage l'Antéchrist”
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